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208 résultats

ACKERMANN (René).

[JEU de l'OIE] Gänse-Spiel.

Wissembourg, Imagerie Alsacienne R. Ackermann Wissembourg, succr. de F.C. Wentzel, [circa 1890]. 303 x 389 mm.

Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 63 cases numérotées. Les règles du jeu sont données au centre du jeu. Les coins sont illustrés de scènes d'enfants. Bel exemplaire. The Journal of American Folk-Lore, The Game of Goose, Volume VIII, April-June 1895, n° XXIX, 1895, p. 148.

ACKERMANN (René).

[JEU de l'OIE] Neues Hintz- und Peter-Spiel.

Wissembourg, Imagerie Alsacienne R. Ackermann Wissembourg, succr. de F.C. Wentzel, [circa 1890]. 370 x 300 mm.

Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 85 cases de quatre couleurs. La dernière case au centre représente les deux personnages Hintz et Peter avec le commentaire "Bravo ! Le gros lot a été remporté !". Les règles du jeu sont données au bas du jeu. Bel exemplaire. The Journal of American Folk-Lore, The Game of Goose, Volume VIII, April-June 1895, n° XXIX, 1895, p. 148.

ACKERMANN (René).

[JEU] Mensch ärgere dich nicht ! Ne te fâche jamais !.

Wissembourg, Imagerie Alsacienne R. Ackermann Wissembourg, succr. de F.C. Wentzel, [circa 1910]. 363 x 301 mm.

Jeu en allemand et en français, lithographié en couleurs. Le jeu "Mensch ärgere dich nicht", en français "Ne vous fâchez pas" ou "T'en fais pas" est un jeu dont le titre même s'attaque à la colère que peuvent provoquer les jeux de société. Le principe est simple : le premier joueur à déplacer toutes ses pièces de l'autre côté du plateau gagne. Le jeu a été inventé entre 1907 et 1908 par l'allemand Josef Friedrich Schmidt. Bel exemplaire.

ADAM (Victor-Jean).

La Chaise de poste. La Silla de posta. Post chaise.

Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 333 x 446 mm.

Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam. Signée en bas à droite. Exemplaire à très grandes marges. Petites rousseurs claires dans les marges.

ADAM (Victor-Jean).

La Diligence. La Diligencia. Stage coach.

Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 333 x 447 mm.

Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam. Sur la diligence figure le nom de "Rue Notre Dame des Victoires", d'où partaient les messageries impériales. Signée en bas à gauche. Exemplaire à très grandes marges. Petites rousseurs claires, essentiellement dans les marges.

ADAM (Victor-Jean).

La Malle-poste. El Coche correo. Post chaise with 5 horses.

Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 332 x 446 mm.

Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam, figurant la malle-poste de Saint-Etienne. Signée en bas au centre. Bel exemplaire à très grandes marges.

ADAM (Victor-Jean).

L'Estafette. La Estafeta. Mail coach.

Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 337 x 448 mm.

Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam. Signée en bas à gauche. Exemplaire à très grandes marges. Rousseurs claires.

ALSA.

Jeu de l'Alsa offert par la véritable Levure Alsacienne Alsa.

[vers 1950]. 397 x 518 mm, se repliant en huit, et protégé par une couverture de 210 x 135 mm à trois volets.

Planche en couleurs d'un jeu de l'oie en 63 cases, édité et offert par la Levure Alsacienne Alsa. La planche est montée et repliée sur le dernier volet de la brochure promotionnelle Outre le célèbre sachet rose de levure chimique, ce jeu présente tous les autres produits de la marque, tels que les flans et préparations pour gâteaux et desserts. La règle se trouve sur le premier volet de la couverture. Créée en 1896 par Émile Moench, la société Alsa commercialise la poudre à lever, bientôt suivie par de nombreuses préparations pour desserts. Bel exemplaire. Petits frottements sur les pliures de la couverture. Princeton University Library, A catalogue of the Cotsen Children's Library, 2000, p. 515, 5303.

ANONYME.

Chasse au lion.

[vers 1860]. 714 x 520 mm, en deux feuilles montées sur carton très épais et se pliant (montage de l'époque).

Très rare chromolithographie rehaussée figurant un plateau de jeu de 100 étapes, inspiré du jeu de l'oie. Il se joue avec un ou deux dés sur deux parcours qui présentent des parties communes et qui serpentent dans un paysage africain peuplé de nombreux lions poursuivis par des chasseurs africains ou des soldats français (en uniforme de zouaves ou de chasseurs d'Afrique). Très rare jeu dont nous n'avons trouvé aucune trace. Légères taches et piqûres sur le plateau. Coins usagés, petits frottements et quelques taches au dos.

ANONYME.

Jeu de l'oie (nouvelle version).

[vers 1950]. 400 x 400 mm, monté sur carton.

Planche en couleurs d'un jeu de l'oie en 63 cases avec la règle au milieu. Destiné aux enfants, ce jeu de l'oie met un scène de jeunes écoliers et leur parcours durant l'année scolaire, et se termine sur le prix de vertu (case 63). Au dos se trouve un plateau de jeu des petits chevaux. Exemplaire usagé, traces de frottements et griffures, manques sur le jeu des petits chevaux.

ANONYME.

Jeu des combinaisons électriques, renouvelé du Jeu de l'Oie.

[Années 1930]. 330 x 330 mm ; monté sur carton fort.

Très rare plateau de jeu de l'oie en brun, rouge et bleu, composé de 68 cases avec la règle au milieu. Sur chaque case est représenté un appareil électrique dont la liste se trouve au dos du jeu. On y trouve un vibro-masseur, un moteur pour machine à coudre, une cireuse, un trolleybus, un ventilateur, un radiateur, une cafetière, un poste récepteur de T.S.F., une horloge, une machine à laver, une armoire frigorifique, une bouilloire, un chauffe-fer à friser, un projecteur, un grille-pain, une aspirateur... le tout fonctionnant à l'électricité. Ce que justifie le slogan qui se trouve au bas du jeu « Tout par l'électricité ». Et même la case de la mort est représentée par une chaise d'électrocution ! Bel exemplaire, en parfaite condition.

ANONYME.

Nouveau jeu de société. Jeu de Tramway - Tramway game.

[vers 1880]. 226 x 368 mm pour le plateau, 184 x 264 mm pour le titre, et 184 x 126 mm pour la règle du jeu.

Chromolithographies d'un jeu de parcours proche du jeu de l'oie, à 63 cases et double parcours, sur le thème du tramway tracté par des chevaux, ou tramway hippomobile. Les oies sont remplacées par des portraits de conducteurs et par des têtes de chevaux. Parmi les cases pénalisantes se trouvent un tramway qui s'engage sur un pont, un tramway dans la gare d'évitement, un tramway qui déraille, ou encore un tramway engagé dans la mauvaise voie. Le plateau est accompagné d'un feuillet illustré portant le titre, et d'un feuillet recto-verso contenant la règle du jeu. Le tramway hippomobile fit son apparition en France dans les années 1870. Ce moyen de transport, très utilisé à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, fut souvent utilisé comme premier moyen de transport public dans les grandes agglomérations du monde, telles Londres, Toronto au Canada, Omaha aux États-Unis, ou encore Paris et Montpellier en France. Entre 1896 et 1929, dans la quasi-totalité des villes, les voitures à traction hippomobile furent remplacées par des tramways électriques et par des lignes de métro. Il existe un plateau de jeu très similaire au nôtre, intitulé Jeu du Tramway (et non "de" tramway), avec le titre uniquement en français, et la règle du jeu en français, en anglais et en italien. Très bonne condition. Petites déchirures restaurées, manque de papier sans perte de texte au feuillet imprimé. Rickards, This is ephemera, Collecting printed throwaways, 1977, p. 46.

AUBRY (Charles).

[COSTUMES MILITAIRES] Uniforme des grenadiers du (...) régiment d'infanterie de la garde royale.

1823. 364 x 251 mm.

Belle planche de personnages en costumes militaires, lithographiée en couleurs par Motte d'après un dessin de Charles Aubry. Bel exemplaire.

AUBRY (Charles).

[COSTUMES MILITAIRES] Uniforme des voltigeurs et soldats du centre du (...) régiment d'infanterie de la garde royale.

1823. 370 x 250 mm.

Belle planche de personnages en costumes militaires, lithographiée en couleurs par Motte d'après un dessin de Charles Aubry. Bel exemplaire.

AUBRY (Charles).

[COSTUMES MILITAIRES] Uniforme du (...) régiment des grenadiers à cheval de la garde royale.

1823. 374 x 256 mm.

Belle planche de personnages en costumes militaires, lithographiée en couleurs par Motte d'après un dessin de Charles Aubry. Bel exemplaire.

AUTOMOBILES ROSENGART.

Le Rallye Rosengart.

Paris, Éditions de l'Automobiliste, [1939]. 383 x 534 cm ; monté sur un support rigide.

Planche en couleurs d'un jeu de l'oie de 63 cases, avec la règle imprimée au centre. Jeu publicitaire de la marque automobile Rosengart, La Grande Marque Française des Petites Voitures comme elle aimait à se désigner, créée en 1928 par Lucien Rosengart. Il met en lumière deux modèles de la marque, la Super-5 et la Super-7, produites de 1935 à 1940 pour la première, et de 1937 à 1939 pour la seconde. Les cases du jeu illustrent les qualités de sobriété, de confort et de fiabilité des deux modèles. Bel exemplaire. Paris-Soir, grand quotidien d'informations illustrées, 22 janvier 1939, p. 3 (avis de publication du jeu).

BARBIER (Georges).

Laissez-moi-seule.

1919. 265 x 183 mm.

Superbe planche gravée et finement coloriée au pochoir, avec rehauts d'or, issue des Feuillets d'art, luxueuse revue des débuts de la période Art Déco, publiée entre 1919 et 1922, et consacrée à la littérature, au théâtre, aux arts plastiques et aux arts décoratifs, à la musique et à la mode. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°104. Robe de linon imprimé.

1913. 170 x 91 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°112. Manteau de velours blanc brodé de perles. Robe de damas blanc. Souliers roses.

1913. 170 x 91 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°150. Petit manteau de velours, robe de linon.

1914. 168 x 91 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°15. Robe de plage en foulard garni de tussor gros grain, chapeau en Suède rouge.

1912. 164 x 99 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°164. Costume de yacht : veste de drap, jupe de toile, chapeau de cuir.

1914. 170 x 91 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°179. Toilette de taffetas imprimé. Chapeau de paille.

1914. 170 x 90 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°21. Robe de drap blanc bordé d'un ourlet couleur de rose. Ceinture de roses au crochet.

1912. 167 x 96 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°30. Manteau de zibeline à col et poignets de renard blanc.

1912. 167 x 100 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°35. Manteau de damas rose garni de renard bleu. Coiffure de paradis noirs.

1912. 170 x 89 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°39. Robe de crêpe de Chine blanc garnie de renard. Manteau de loutre et skunks.

1912. 169 x 90 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°3. Toilette d’été. Blouse de linon sur jupe de foulard.

1912. 170 x 90 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°51. Pour S.t Moritz. Ratine blanche garnie de skunks et brodée de laines.

1913. 166 x 95 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°71. Manteau de théâtre.

1913. 167 x 90 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°80. Robe de charmeuse noire avec corsage et panier formés d'un obi drapé.

1913. 171 x 91 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°84. Grande robe du soir en tulle et satin. Écharpe de velours à glands de perles.

1913. 170 x 92 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°91. Robe de taffetas gris à col et manchettes de linon, et gilet de satin à boutons d'émail.

1913. 170 x 91 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & GAZETTE du BON TON.

Rugby. Costume tailleur de Redfern.

Avril 1914. 220 x 135 mm, tranche supérieure dorée.

Planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant un tailleur de Redfern en cheviot neigeuse, orné de parements et de brandebourgs noirs. Le petit gilet et le col de la veste sont en ottoman. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.

BARBIER (Georges) & IRIBE (Paul) & COSTUMES PARISIENS.

[ÉVENTAILS] Costumes parisiens. Planche n°42. Éventails de Paquin d'après G. Barbier et Paul Iribe.

1912. 170 x 90 mm.

Planche dessinée par Georges Barbier et Paul Iribe, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BASSET (Paul André).

Damier français. Pouvant servir à jouer aux échecs et au trictrac.

Paris, Basset, [vers 1810]. 347 x 439 mm.

Rare planche gravée figurant un damier à huit cases de côté, permettant de jouer aux échecs, et à douze triangles, permettant de jouer au trictrac, ce dernier étant semblable au backgammon. Exemplaire replié. Petits manques au damier, et manque de papier dans la marge inférieure.

BASSET (Paul André).

[JEU de l'OIE] Jeu de l'Histoire Sainte depuis la naissance de Moïse jusqu'â sa mort.

Paris, Basset, [1824]. 457 x 613 mm.

Rare jeu de l'oie éducatif composé de 63 cases illustrant la vie de Moïse telle qu'elle est exposée dans le livre de l'Exode, deuxième livre de la Bible. Le jeu commence avec l'épisode de Moïse dans son berceau, sauvé des eaux du Nil par Thermutis, fille de Pharaon, et se termine avec Moïse tenant les Tables de la Loi, avec le titre "Moïse législateur des Hébreux". Les coins sont décorés de scènes de culte, du tabernacle renfermant l'Arche d'Alliance, et de la scène montrant la mère de Moïse déposant le berceau sur le Nil. Marges courtes, rousseurs, déchirure restaurée entre les cases 20 et 21. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, 1824, p. 741 ; D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 209.

BASSET (Paul André).

[JEU de l'OIE] Règles invariables du jeu mythologique du Phénix.

Paris, Basset, [circa 1810]. 430 x 536 mm ; monté sur toile.

Rare jeu de l'oie dédié à la mythologie grecque, romaine et égyptienne, composé de 63 cases représentant des scènes, des dieux et des déesses de l'Antiquité. Le jeu commence avec des représentations de Saturne, dieu du Temps, et Janus, dieu de l'âge d'or, et se finit avec une représentation du Phénix, oiseau révéré des Égyptiens. Les angles sont illustrés de scènes de la mythologie. Le premier qui atteint le Phénix, oiseau vanté par les poètes, gagne la partie non sans avoir rencontré de grands obstacles sur sa route : il aura à se garantir des serres de l'Aigle, oiseau de Jupiter (n°5), des coups de bec du Paon, oiseau de Junon (n°9), des regards perçants du Coq (n°14), du cruel Épervier poursuivant la timide alouette (n°23), des Tourterelles de Cypris (n°27), de l'Alcyon, oiseau marin, et du chant perfide des Sirènes (n°36), de l'Ibis d'Égypte (n°41), du Héron grand croqueur de grenouilles (n°50), ou encore du Hibou qui n'ose se montrer au grand jour (n°59). Déchirures au niveau du plateau et dans les marges, traces de pliures, manques dans la marge inférieure. D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 211 ; Grand-Carteret, Vieux papiers Vieilles images, 1896, p. 275, XVIII ; de Vinck, Iconographie du noble jeu de l'oye, Catalogue descriptif et raisonné de la collection de jeux formée par le Baron de Vinck, 1886, pp. 43-44, 97.

BASSET (Paul André).

Jeu instructif des Fables de La Fontaine.

Paris, Basset, [1812]. 448 x 576 mm ; en deux sections montées sur carton et se repliant, papier gaufré rouge au dos (montage de l'époque).

Jeu de l'oie de 63 cases, avec la règle imprimée au centre, sur le thème des fables de Jean de La Fontaine. Chaque case porte le titre d'une fable, sauf la dernière qui présente un buste de La Fontaine avec le portrait d'Ésope sur le piédestal. La Fontaine n'ayant pas écrit de fable avec des oies pour héroïnes, celles-ci ont été remplacées sur les cases par le mot «Volatiles», légendées par des titres de fables dans lesquelles interviennent des oiseaux (La tortue et les deux canards, Le renard et la cigogne, Les perdrix et les deux coqs...). Pour les autres cases traditionnelles, le pont est illustré par Le chien et son ombre, le labyrinthe par Les femmes et le secret, et la prison par le lion pris dans un filet, pour Le lion et le rat. Quatre autres fables sont représentées aux angles du plateau, ce qui fait un total de 66 fables illustrées sur les plus de deux cents écrites par le fabuliste. Le jeu a été coupé au trait d'encadrement pour être monté, et ne montre donc pas la mention de l'éditeur Basset devant figurer au bas de la planche. Coins usagés, coupes frottées, déchirures sans manque à la pliure. Bibliographie de l'Empire Français, ou Journal de l'Imprimerie et de la Librairie, 31 janvier 1812, p. 207, 208 ; D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 211 ; Grand-Carteret, Vieux papiers Vieilles images, 1896, p. 269 ; Catalogue général d'imagerie, estampes, en noir et en couleur, principes d'écriture et de dessin pour la figure, l'ornement et le paysage, et cartes géographiques composant le Fonds de Basset, 1822, p. 9.

BASSET (Paul André).

Nouveau jeu de l'oie renouvellé des Grecs.

Paris, Basset, [1847]. En quatre sections montées sur toiles et repliées, formant une planche de 426 x 518 mm.

Planche gravée et finement coloriée à l'époque, présentant un jeu de l'oie traditionnel en 63 cases avec la règle au centre. Chaque case est illustrée d'une figure : fleurs, vase, instrument de musique, navire, globe, pont chinois, etc. Dans les angles se trouvent les paroles d'une chanson en quatre couplets à la gloire de l'oie, illustrées d'angelots. Bel exemplaire. D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 203 ; Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1847, p. 226, 486.

BENITO (Garcia).

Dogaresse.

[vers 1930]. 369 x 269 mm.

Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.

BENITO (Garcia).

Florentin.

[vers 1930]. 370 x 270 mm.

Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.

BENITO (Garcia).

Geisha.

[vers 1930]. 370 x 270 mm.

Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.

BENITO (Garcia).

Noailles-duc.

[vers 1930]. 371 x 271 mm.

Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.

BENITO (Garcia).

Scheherazade.

[vers 1930]. 369 x 270 mm.

Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.

BONNOTTE (L.).

Sirène. Modèle de Francis.

[1919-1920]. 237 x 130 mmn.

Belle planche gravée et coloriée au pochoir, issue de La Guirlande. Album mensuel d'art et de littérature, publié par Brunelleschi et Georges Barbier. Bel exemplaire.

BORELLI-VRANSKA (M.).

[COSTUME de BAIN].

[1914]. 184 x 149 mmn.

Belle planche gravée et coloriée au pochoir. Bel exemplaire.

BORELLI VRANSKA (Zoé de) & GAZETTE du BON TON.

La Tendre Nourrice.

Juillet 1914. 206 x 133 mm.

Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant un costume de nourrice tiré des habillements des paysans dalmates. La robe est en bure bordée et garnie de laine, et la chemise en toile écrue. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.

BOUASSE-LEBEL.

[BOTANIQUE] Éléments de botanique.

Paris, Bouasse-Lebel Édit. Imp., et Anc.ne M.son Basset réunies, [1865]. 495 x 636 mm.

Beau tableau synoptique de botanique, lithographié en couleurs pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié en 1865 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. L'exemplaire est dans de très beaux coloris de l'époque. Ce tableau présente deux-cent-vingt-sept espèces de végétaux, classés en cinq parties : racines, feuilles, fleurs, fruits et tiges. Chaque espèce est numérotée et nommée dans le texte explicatif, qui comprend également un tableau de la classification du botaniste Jussieu. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque. Extrait du catalogue de la Maison A. Éloffe se trouvant à la fin de l'ouvrage de Perrot, Courses géologiques, Localités les plus favorables pour étudier les terrains du bassin de Paris, 1865, p. 47.

BOUASSE-LEBEL.

[CHAMPIGNONS] Champignons. Encyclopédie Bouasse-Lebel.

Paris, Maison Bouasse-Lebel, Édit. Imp. et Anc.ne Maison Basset réunies, [1862]. 465 x 617 mm.

Beau tableau de classification des champignons, lithographié en couleurs pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié en 1862 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. L'exemplaire est dans de très beaux coloris de l'époque. Cent vingt-cinq espèces de champignons sont représentées. A chaque espèce est attribuée une lettre : C pour comestible, S pour suspect, et V pour vénéneux. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire dans de beaux coloris de l'époque. La Science pittoresque, Tablettes mensuelles, 4 avril 1862, 1862, p. 2.

BOUASSE-LEBEL.

[MÉCANIQUE] Mécanique élémentaire. Encyclopédie Bouasse-Lebel n°121.

Paris, Bouasse-Lebel,[circa 1860]. 507 x 616 mm.

Belle et rare planche consacrée à la mécanique, issue de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publiée par la Maison Bouasse-Lebel vers 1860. L'exemplaire a été finement colorié à l'époque. Cette planche illustre la mécanique dans le domaine hydraulique. Parmi les illustrations, on trouve des pompes à piston, des puits artésiens, une vis d'Archimède, une pompe foulante à système, des pompes rotatives, une balance hydrostatique Galilée vers 1600, un hémisphère de Magdebourg, un baromètre Torricelli de 1643, et des aérostats. Les illustrations sont accompagnées de définitions sur les principes d'hydrostatique et d'hydrodynamique appliqués à l'hydraulique. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.

BOUASSE-LEBEL.

Nouveau jeu de l'oie renouvellé des Grecs.

[Paris, Bouasse-Lebel Édit. Imp., vers 1860]. 372 x 461 mm ; en quatre sections, montées sur carton et se repliant (montage de l'époque).

Planche gravée et coloriée figurant un jeu de l'oie classique en 63 cases, avec la règle imprimée au centre. Les angles sont illustrés de vignettes montrant des enfants jouant aux billes, au billard, à la balançoire et aux quilles. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. Frottements au dos et aux coupes. La mention de l'auteur-éditeur Bouasse-Lebel devant figurer au bas de la planche à gauche, a été coupée.

BOUASSE-LEBEL.

[PAPILLONS] Le Collectionneur de papillons. Encyclopédie Bouasse-Lebel.

Paris, M.son Bouasse Lebel, Imp. Édit et A.nc M.son Basset, réunies, [1865]. 495 x 649 mm.

Belle planche conçue pour les collectionneurs de papillons, issue de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publiée en 1865 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. L'exemplaire est dans de très beaux coloris de l'époque. Soixante-deux espèces de lépidoptères sont représentées, divisées en trois familles, les diurnes, les crépusculaires et les nocturnes, et neuf genres. Toutes sont numérotées et nommées dans la légende. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire dans de superbes coloris de l'époque. Extrait du catalogue de la Maison A. Éloffe se trouvant à la fin de l'ouvrage de Perrot, Courses géologiques, Localités les plus favorables pour étudier les terrains du bassin de Paris, 1865, p. 46 ; Bulletin d'insectologie agricole, Journal mensuel de la Société centrale d'apiculture et d'insectologie, 1876, p. 14.

BOUTET de MONVEL (Bernard) & GAZETTE du BON TON.

La Commode en laque. Robe du soir de Worth.

Mai 1914. 208 x 130 mm.

Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une robe du soir de Worth se composant d'une longue tunique en mousseline de soie sur une jupe en crêpe de Chine. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.

BREPOLS & DIERCKX.

[JEU de l'OIE] Het nieuw vermakelijk Ganzenspel - Le nouveau Jeu d'oie.

[Turnhout, Brepols & Dierckx, circa 1880]. 372 x 312 mm.

Rare jeu de l'oie en flamand et en français, gravé sur bois en couleurs. Il est composé de 63 cases numérotées formées par des portiques à colonnettes. Les cases autres que les oies représentent un pont de droit (pont à péage), un logement, des dés, un puits, un dédale, une prison, et la mort, représentée par un squelette armé d'une faux. Les angles supérieurs sont décorés d'écoinçons feuillus. Les angles inférieurs et la fin de la spirale sont ornés de vignettes montrant un pierrot sonnant de la trompette, une gardeuse d'oies déroulant un jeu, et quatre joueurs attablés s'amusant au jeu de l'oie. Au centre du jeu se trouve la règle en flamand et en français. Bel exemplaire. Tampons au dos "Collection Louis Ferrand". Van Heurck & Boekenoogen, Histoire de l'imagerie populaire flamande et de ses rapports avec les imageries étrangères, 1910, pp. 110-111.

BRISSAUD (Pierre) & GAZETTE du BON TON.

"Rentrez vos Blancs Moutons". Une Bergère par Chéruit.

Février 1913. 207 x 135 mm.

Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une bergère vêtue par Madeleine Chéruit d'une jupe panier en velours prunelle. La casaque décolletée, en carré et découpée en larges pans, est taillée dans une grosse peau de soie. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.

BRUNELLESCHI (Umberto) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°103. Toilette d'après-midi.

1913. 170 x 92 mm.

Planche dessinée par Umberto Brunelleschi, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BRUNELLESCHI (Umberto) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°10. Robe de promenade en Surah à damiers et taffetas peint à la main, bordée de velours noir. Chapeau de paille orné d'un panache en duvet de cygne.

1912. 167 x 94 mm.

Planche dessinée par Umberto Brunelleschi, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BRUNELLESCHI (Umberto) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°181. Robe à volant de satin brodé.

1914. 167 x 91 mm.

Planche dessinée par Umberto Brunelleschi, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

BRUNELLESCHI (Umberto) & GAZETTE du BON TON.

La Fleur et Le Miroir. Robe du soir de Chéruit.

Décembre 1912. 204 x 136 mm.

Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une robe du soir de Madeleine Chéruit, en satin souple blanc et en drap d'or, garnie d'un panier de tulle noir sur une fausse jupe en grosses perles de jais. Le corsage est de soie ancienne brochée d'or. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.

BURCKARDT (Charles).

[JEU de la CHASSE au LIÈVRE] Neues Hasen-Spiel.

Wissembourg, C. Burckardt, [circa 1885]. 350 x 299 mm.

Jeu en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 73 cases sur le thème de la chasse au lièvre. La dernière case au centre représente un chasseur montrant fièrement son gibier. Les règles du jeu sont données au bas du jeu. Charles Burckardt reprit l'imprimerie Wentzel à la veuve de Charles Wentzel, en 1880, et fut actif jusqu'en 1888. Bel exemplaire. The Journal of American Folk-Lore, The Game of Goose, Volume VIII, April-June 1895, n° XXIX, 1895, p. 148.

BURCKARDT (Charles).

[JEU de l'OIE] Neues Gänsespiel.

[Wissembourg, circa 1885]. 393 x 310 mm.

Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 100 cases numérotées. Il a été publié par Charles Burckardt, tel qu'indiqué par les quatre lettres majuscules au bas du plateau, C.B.N.W. pour C. Burckardt's, Nachfolger Wentzel, en français C. Burckardt, successeur de Wentzel. Charles Burckardt reprit l'imprimerie Wentzel à la veuve de Charles Wentzel, en 1880, et fut actif jusqu'en 1888. Bel exemplaire. The Journal of American Folk-Lore, The Game of Goose, Volume VIII, April-June 1895, n° XXIX, 1895, p. 148.

BURCKARDT (Charles).

Les quatre Saisons.

Wissembourg, [circa 1880]. 4 planches, chacune 355 x 484 mm.

Quatre planches figurant les quatre saisons, lithographiées en couleurs et publiées par Burckardt à Wissembourg. Titres en 5 langues. Beaux exemplaires. Lègères rousseurs marginales à la planche de l'automne.

BURNET (John).

Les joueurs de dames.

Paris, Basset, [1830]. 302 x 213 mm.

Planche gravée à l'aquatinte par Joly d'après une peinture du graveur et peintre écossais John Burnet, dont le titre original est Playing at draughts. Elle a été publiée par Paul André Basset en 1830. On y voit deux hommes assis à une table à l'extérieur d'un cottage et jouant aux dames. L'homme de gauche lève la tête en riant, tandis que son compagnon a le regard concentré sur le plateau de jeu. Un chien se tient à leurs pieds. À l'arrière, debout dans l'embrasure de la porte, une femme, tenant un enfant et une cruche, les observe. Bon exemplaire. Petite déchirure dans la marge gauche. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, Mars 1830, p. 175.

CHANTEAU (Alphonse).

Le jeu thérapeutique.

Paris, Établissements Fumouze, [1925]. 477 x 650 mm ; monté sur carton, se pliant en quatre avec une fente pour faciliter le pliage (montage de l'éditeur).

Plateau de jeu de l'oie en couleurs, composé de 64 cases, avec la règle sur le côté droit. Il a été imprimé par H.M. Boutin à Paris, et publié par les Laboratoires Fumouze en 1925. Ce jeu publicitaire met en avant les produits commercialisés par les Laboratoires Fumouze, fondés en 1804, parmi lesquels les globules pour le rhumatisme, le sirop Delabarre pour la dentition des bébés et des enfants, les produits Chaumel (poudre, ovules, suppositoires), les pilules Lartigue pour la goutte, ou encore les capsules de Raquin. À chaque maladie ou symptôme sont associés plusieurs traitements parmi lesquels les cigarettes Barral contre l'asthme, le cidre qui guérit la goutte, et bien sûr, les globules Fumouze « quand une maladie ne guérit pas » ! Alphonse Chanteau était peintre, céramiste et graveur. Il fut nommé peintre officiel de la Marine en 1910, en même temps que son frère jumeau Gabriel, avec qui il fit toute sa carrière. Les deux frères exposèrent au Salon de la Société nationale des beaux-arts pendant une dizaine d'années, décorèrent de nombreux hôtels particuliers et des villas de Morgat, et collaborèrent à de nombreuses revues illustrées comme le New York World, Le Courrier français et le Pearson's Magazine. Bel exemplaire. Traces de mouillure et frottements au dos. D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 227.

CHATELAIN (Henry Abraham).

[BLASONS] Carte du blason ou la sience de la noblesse avec des instructions pour conduire à cette connoissance.

Amsterdam, circa 1720. 490 x 598 mm.

Bel exemplaire.

CHATELAIN (Henry Abraham).

[PAVILLONS] Carte des pavillons accompagnée d'observations pour en faire comprendre le blazon et les différentes devises aussy bien que d'une table alphabétique pour les trouver facilement.

Amsterdam, circa 1720. 490 x 585 mm.

Planche contenant les pavillons arborés par 88 pays dont Malte, Alger, Venise, la Chine, etc. Marge gauche brunie, sinon bel exemplaire.

CIUFFETTI (Domenico).

Il novo et piacevole gioco del pela il chiu.

Lucca, Domenico Ciuffetti, [circa 1700]. 467 x 336 mm.

Très rare bois gravé figurant un plateau de jeu de dés originaire d'Italie, nommé Pela il chiu ou Plume le hibou. Devenu populaire en Italie dans les années 1580, ce jeu fut introduit en France au XVIIe siècle sous le nom de Jeu de la Chouette ou à qui plumera son compagnon. Le Jeu de la Chouette est un jeu de hasard simple dans lequel les joueurs paient ou prennent des mises dans une «poule» (mise engagée par chacun des joueurs au début d'une partie) en fonction du lancer de dés. Le plateau est composé de quatre ovales concentriques contenant des cases avec des dés, des personnages (un aveugle, une gitane, un Cupidon, un satyre de la mythologie grecque, le dieu Bacchus, un Pedrolino et un Francatripe de la Commedia dell'arte, un Turc, un barbare...), des métiers, des objets (piège à oiseaux), ou des hiboux. Parmi les métiers, on trouve un forgeron, un marchand de ciambelle (gâteaux), une marchande de légumes, un bouffon, un boulanger, un marchand d'eau de vie, un porteur d'eau, un marchand de citrons, un marchand de peignes, un astrologue... Au centre figure un hibou couronné posé sur une couronne reposant sur trois dés représentant des six, avec la devise Tira honoranza tutti, ou Tout prendre avec honneur. La règle est donnée dans les angles. Il faut lancer les trois dés et placer son pion sur la case qui présente la même configuration sur l'un des deux ovales concentriques, puis exécuter les instructions écrites : la lettre T signifie «Tira», c'est-à-dire l'instruction de prendre le nombre de quattrini (ancienne monnaie) indiqué («Q») ; la lettre P signifie «Paga», c'est-à-dire l'instruction de payer le nombre de quattrini indiqué. Un lancer de trois six permet de remporter tout. Très rare. Nous n'avons trouvé aucune trace de cette édition publiée par le libraire-imprimeur Domenico Ciuffetti à Lucca (Toscane) vers 1700. Bon exemplaire. Traces de pliures, essentiellement dans les marges.

COSTUMES PARISIENS.

Manteau d'après-midi en duvetyn citron, avec une boucle de moire.

1914. 169 x 90 mm.

Planche gravée et finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Bonnet de tulle et perkale, à pointes. Camisole de perkale.

1811. 173 x 90 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Capote de velours en satin. Douillette de Florence.

1807. 172 x 92 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Chapeau de velours frisé. Robe de mérinos.

1812. 172 x 91 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Chapeau de velours épinglé. Redingote de mérinos garnie en pluche de soie.

1812. 173 x 93 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Coiffure à la chinoise. Robe de satin. Ceinture de velours.

1812. 170 x 91 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Coiffure à l'enfant, lissée par un peigne forment demi-cercle.

1811. 173 x 92 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Couronne de lis. Robe de crèpe.

1814. 172 x 93 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Demi-parure. Costume dessiné à Lonchamp.

1807. 170 x 91 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Peigne en couronne. Robe de gaze, à raies de satin.

1809. 170 x 88 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Toque de satin ornée de plumes de vautour. Robe de mérinos.

1812. 173 x 92 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS.

[PREMIER EMPIRE] Toque de velours. Redingote de velours.

1811. 172 x 91 mm.

Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.

COSTUMES PARISIENS & BERTY (B.).

[CHAPEAUX] Modèles de Marcelle Demay.

1913. 162 x 90 mm.

Planche dessinée par B. Berty, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Légères rousseurs marginales.

COSTUMES PARISIENS & FABIUS.

Robe de taffetas et voile de soie rayé.

1914. 166 x 90 mm.

Planche dessinée par Fabius, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

COUDERT (Bernard).

Jeu de l'oie, renouvelé des Grecs. Jeu de plaisir et de récréation.

Paris, Watilliaux, 1878. 450 x 600 mm ; en deux sections montées sur carton et pouvant être repliées ; étiquette de titre lithographiée au dos, et illustrée de deux oies.

Jeu de l'oie en 63 cases, dessiné par Bernard Coudert, lithographié en couleurs par Nicolas Henri Jannin, et publié à Paris par Charles Watilliaux en 1878. La date figure après le nom de l'auteur. De facture très classique, on y retrouve les cases avec les figures des oies, du pont, de l'hôtel, du puits, du labyrinthe, de la prison ou de la mort, qui sont autant d'obstacles ou d'avantages au cours du jeu. la mort est représentée par un squelette tenant une faux et un sablier. Les angles sont illustrés de scènes d'enfants jouant à des jeux d'adresse : lancer de balles sur un plateau à trous, jeu de quilles, tennis et jeu de tir. Ce jeu a été publié par Charles Watilliaux, successeur de la maison Coqueret en 1874. Watilliaux a fabriqué et publié de nombreux jeux de société et de jouets de 1874 jusqu'à son rachat en 1908 par Revenaz & Tabernat. Frottements et piqûres, dos passé avec manques à l'étiquette, coins et coupes usagés. D'Allemagne, Le Noble jeu de l'oie en France, de 1640 à 1950, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950) par René Poirier, 1950, p. 203.

COURENQ.

[BILLARD] Règles du jeu de la carambole.

Toulouse, Courenq, [circa 1795]. 698 x 415 mm.

Grand placard imprimé sur papier fort, donnant la règle du jeu de la carambole ou billard français. Il a été publié par le marchand d'estampes et libraire Courenq à Toulouse vers 1795. Ce jeu se joue à deux, sur une table sans trou, avec trois billes, deux blanches et une rouge nommée carambole ; le but du jeu est de caramboler, c’est-à-dire toucher les deux autres billes avec la sienne ; le premier des deux joueurs à marquer vingt points gagne la partie. La partie basse du placard donne la règle du jeu de la guerre, qui se joue à plusieurs, chaque joueur ayant une bille «de différentes marques». Au sommet de l'estampe figurent les armoiries de la Première République française (1792-1804). Le billard carambole ou billard français fit son apparition au milieu du XVIIIe siècle. En 1772, le Sieur Luzin, maître paumier à Orléans, proposait à la vente «des tapis de drap fin en pièce pour billards ; des billes, queues & masses, & des règles pour le jeu de la Carambole & de la Poule, imprimées» (Annonces, affiches, nouvelles et avis divers de l'Orléanois du vendredi 14 aoust 1772, 1772, p. 136). À Paris, ce placard était probablement destiné à être affiché dans les cafés et les salles de billard des galeries du Palais-Royal. Le marchand d'estampes toulousain Courenq est cité dans le n°101 du Journal universel du département de la Haute-Garonne, et Affiches de Toulouse et du Languedoc, du samedi 17 décembre 1791, page 1. Bel exemplaire, replié. Petit trou dans les marges gauche et droite. L'Auta, Que bufo un cop cado dus meses, Organe de la société les Toulousains de Toulouse, 1912, p. 14.

CROCHON (François).

[Page de dédicace dans un encadrement architectural].

[milieu du XIXe siècle]. 51 x 37,5 cm.

Dessin à l'encre brune, montrant un portique avec quatre colonnes corinthiennes et un fronton triangulaire, orné en tête du portrait de Saint François de Sales en médaillon. Bel exemple d'un travail d'élève, probablement le feuillet de dédicace d'un album de calligraphie.

CRÉPY (Étienne-Louis).

[JEU de l'OIE] L'École de la vérité pour les nouveaux convertis.

Paris, Crépy, [circa 1750]. 394 x 510 mm.

Seconde édition de ce rare jeu de l'oie de 63 cases, conçu dans le but de transmettre le catholicisme aux protestants contraints d’abandonner leur religion après la révocation de l’édit de Nantes en 1685. La première édition a été publiée par Jollain en 1685. Pour jouer, on se servira non pas de deux dés, mais d'un cochonnet de 12 points, "par ce que les dez doivent estre en horreur aux bons chrestiens". Les 63 cases voient alterner des branches d’oliviers et de palmiers (allusion au dimanche des rameaux) avec de courtes phrases qui constituent l’enseignement catholique à retenir. Sachant l’attention portée à l’Écriture sainte par les réformés, l’auteur a pris soin, dans la plus grande partie des cas, de les justifier par des référence bibliques. Les oies sont remplacées (à une exception près) par des conversions célèbres issues du Nouveau Testament. La case 35 porte le texte suivant : "Louis le Grand Roy très chrestien abbat les hauts lieux et les temples des hérétiques en l’an 1685". Celui qui a la chance de tomber dessus peut se rendre directement à la case 59 "où est Jerusalem, par ce que c'est luy qui a beaucoup travaillé à la réunion" : "Jerusalem vision de Paix où les catholiques assemblez n'ont qu'un cœur qu'une âme et qu'une langue (Act. 4)". Autrement dit le Paradis, quatre cases avant la dernière intitulée Le Palais de la Vérité. L’équivalent du puits ou de la prison est la case 41, ainsi formulée : "La Foy sans les bonnes œuvres est morte. Jacq. 2". La case 53 correspondant à la mort porte le texte suivant : "Le mauvais riche, enfant d’Abraham par la Foy : damné faute de bonnes œuvres. Luc. 16". Cette obsession des bonnes œuvres est si forte qu’il est conseillé au gagnant ayant atteint le Palais de la Vérité "de donner aux pauvres ce qu'il aura gagné, pour demander à Dieu l'augmentation de la foy pour les nouveaux convertis". Dans les angles figurent des versets de la Bible. (A. Arrif, J. Baudry, E. Chapron, P.M.Delpu, L.-S. Fournier, et al., Jeu de l’oie : Histoire et métamorphoses, 2019, pp. 27-28). Très rare édition inconnue des bibliographies usuelles. Exemplaire uniformément bruni, nombreuses rousseurs et traces de pliures, mouillure dans la marge droite et en bas à gauche. Schéfer, Catalogue des estampes, dessins et cartes composant le cabinet des estampes de la bibliothèque de l'Arsenal, 1894, p. 742, 34 ; De Vinck, pp. 10-11 (édition de Jollain).

DELHALT (Alfred).

Jeu de l'oie.

Nancy, Imagerie Delhalt, [vers 1895]. 240 x 365 mm ; monté sur bristol.

Planche lithographiée en couleurs d'un jeu de l'oie traditionnel en 63 cases avec la règle au milieu. En 1879, Jean Jules Delhalt succéda à Paulin Didion à la tête de la maison Nicolas Gangel à Metz, imprimeur spécialisé dans la production d'images populaires et religieuses. En 1892, elle passa sous la direction d'Alfred Delhalt, et quitta Metz pour Nancy (Bouquin & Parinet, Dictionnaire des imprimeurs-lithographes du XIXe siècle). Papier jauni, déchirures sans manque grossièrement renforcées par du papier adhésif.

DEYROLLE (Émile).

El lino y el cañamo [Le lin et le chanvre].

Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 600 mm.

Grande et belle planche lithographiée en couleurs consacrée au lin et au chanvre, avec titre et légendes en espagnol. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bel exemplaire. Petites déchirures en bordure des marges restaurées.

DEYROLLE (Émile).

Frutas [Fruits].

Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 571 x 454 mm.

Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Les arbres fruitiers représentés sont le goyavier, l'avocatier, le citronnier, l'ananas, et le bananier. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bel exemplaire.

DEYROLLE (Émile).

La limpieza [La propreté].

Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 600 mm.

Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en espagnol. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire.

DEYROLLE (Émile).

O aquecimento [Le chauffage].

Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 784 x 599 mm.

Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bel exemplaire.

DEYROLLE (Émile).

O gaz e a electricidade [Gaz et électricité].

Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 598 mm.

Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire.

DEYROLLE (Émile).

Os ninhos [Les nids].

Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 598 mm.

Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire. Déchirures restaurées.

DINEUR (Fernand).

Spirou s'en va-t-en guerre.

[1946]. 34,5 x 50 cm.

Jeu de stratégie sur la Seconde Guerre mondiale, illustré par Fernand Dineur, et publié après-guerre par le journal Spirou. Le jeu se présente comme un plateau de jeu de l'oie, mais il est composé de quatre spirales, et l'on peut y jouer de deux à quatre joueurs. La règle du jeu se trouve au milieu de la planche. Chaque joueur dispose de quatre pions (absents), représentant la marine, l'artillerie, l'infanterie et l'aviation, et ne peut les poser que sur certaines cases en fonction de leur couleur. Parmi les illustrations se trouvent des chars, des drapeaux, des avions, ainsi que des portraits de Mussolini et de Hitler. Papier bruni, petite mouillure dans la marge haute, déchirures restaurées, petit manque au niveau de l'encadrement, manque de papier dans la marge gauche. Le Journal de Spirou, champion de la bonne humeur, 8e année, n°415, 28 mars 1946, p. 13 (annonce du jeu).

EIGER & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°171. Chapeaux par Arlette Carus : 1. en taffetas bleu et gancé garni fleurs ; 2. en liseré garni satin noir et perruche ; 3. en satin noir garni de numidie ; 4. en satin blanc garni fantaisie pintade argentée ; 5. en satin noir et blanc fantaisie crosse ; 6. en liseré garni couteaux ; 7. en satin noir garni fantaisie crosse et aigrette.

1914. 169 x 93 mm.

Planche dessinée par Eiger, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

FLOREZ (Llano) & FEUILLETS d'ART.

Robe portée par Mme Charlotte directrice de la Maison Premet.

[1919]. 274 x 185 mm.

Superbe planche gravée et finement coloriée au pochoir, avec rehauts d'argent, issue des Feuillets d'art, luxueuse revue des débuts de la période Art Déco, publiée entre 1919 et 1922, et consacrée à la littérature, au théâtre, aux arts plastiques et aux arts décoratifs, à la musique et à la mode. Bel exemplaire.

FOUILHOUZE (Félix).

[Paysage de montagne].

1872. 22,4 x 29,7 cm.

Aquarelle sur papier, représentant un paysage de montagne non localisé, avec une forêt de conifères, une bergerie et deux personnages en train de converser. Signé et daté en bas à droite. Né à Saint-Dié vers 1800, Félix Fouilhouze fut élève de Bellel et Ouvrié à Paris. Il avait son atelier à Luvigny dans la vallée de Celles-sur-Plaine. Passionné par le spectacle de la montagne, il figura au Salon de Paris de 1836 à 1882, avec Vue prise dans les Vosges (1838), Vue prise des environs de Saint-Dié (1875), Effet de neige dans les Vosges (1878). En 1849, il présenta cinq œuvres au Salon de Nancy. On cite de lui : Le lac de Brientz, Vue prise dans la vallée de Meyringen, Vallée de Rochesson, Souvenir de Suisse. Il a beaucoup peint des paysages du Dauphiné, de Suisse, d'Italie et du Grand Duché de Bade. Bonne condition.

FRANC-NOHAIN (Madeleine-Amélie) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°140. Un lutin.

1914. 167 x 91 mm.

Planche dessinée par Madeleine-Amélie Franc-Nohain, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

FRANC-NOHAIN (Madeleine-Amélie) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°44. Manteau de ratine blanche, garniture écossaise jaune et blanc. Marin blanc et noir, fox blanc et noir.

1913. 170 x 100 mm.

Planche dessinée par Madeleine-Amélie Franc-Nohain, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.

FRANC-NOHAIN (Madeleine-Amélie) & COSTUMES PARISIENS.

Costumes parisiens. Planche n°87. Robe de crépon blanc à pois jaune. Robe de fillette en écossais cerise et vert.

1913. 171 x 91 mm.

Planche dessinée par Madeleine-Amélie Franc-Nohain, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.