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ACKERMANN (René).
[JEU de l'OIE] Gänse-Spiel.
Wissembourg, R. Ackermann, [circa 1900]. 303 x 389 mm.
Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 63 cases numérotées. Les règles du jeu sont données au centre du jeu. Les coins sont illustrés de scènes d'enfants. Bel exemplaire.
ACKERMANN (René).
[JEU de l'OIE/JEU CHINOIS] Chinesen-Spiel.
Wissembourg, R. Ackermann, [circa 1900]. 394 x 314 mm.
Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 63 cases numérotées, certaines figurant des personnages ou bâtiments chinois. La dernière case au centre montre un Chinois fumant une pipe à opium. Les règles du jeu sont données au bas du jeu. Bel exemplaire.
ACKERMANN (René).
[JEU de l'OIE] Neues Gänsespiel.
Wissembourg, [circa 1900]. 393 x 310 mm.
Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 100 cases numérotées. Bel exemplaire.
ACKERMANN (René).
[JEU de l'OIE] Neues Hintz- und Peter-Spiel.
Wissembourg, R. Ackermann, [circa 1900]. 370 x 300 mm.
Jeu de l'oie en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 85 cases de quatre couleurs. La dernière case au centre représente les deux personnages Hintz et Peter avec le commentaire "Bravo ! Le gros lot a été remporté !". Les règles du jeu sont données au bas du jeu. Bel exemplaire.
ACKERMANN (René).
[JEU] Mensch ärgere dich nicht ! Ne te fâche jamais !.
[Wissembourg, circa 1910]. 363 x 301 mm.
Jeu en allemand et en français, lithographié en couleurs. Le jeu "Mensch ärgere dich nicht", en français "Ne vous fâchez pas" ou "T'en fais pas" est un jeu dont le titre même s'attaque à la colère que peuvent provoquer les jeux de société. Le principe est simple : le premier joueur à déplacer toutes ses pièces de l'autre côté du plateau gagne. Le jeu a été inventé entre 1907 et 1908 par l'allemand Josef Friedrich Schmidt. Bel exemplaire.
ADAM (Victor-Jean).
La Chaise de poste. La Silla de posta. Post chaise.
Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 333 x 446 mm.
Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam. Signée en bas à droite. Exemplaire à très grandes marges. Petites rousseurs claires dans les marges.
ADAM (Victor-Jean).
La Diligence. La Diligencia. Stage coach.
Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 333 x 447 mm.
Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam. Sur la diligence figure le nom de "Rue Notre Dame des Victoires", d'où partaient les messageries impériales. Signée en bas à gauche. Exemplaire à très grandes marges. Petites rousseurs claires, essentiellement dans les marges.
ADAM (Victor-Jean).
La Malle-poste. El Coche correo. Post chaise with 5 horses.
Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 332 x 446 mm.
Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam, figurant la malle-poste de Saint-Etienne. Signée en bas au centre. Bel exemplaire à très grandes marges.
ADAM (Victor-Jean).
L'Estafette. La Estafeta. Mail coach.
Paris, L. Turgis J.ne, vers 1830. 337 x 448 mm.
Lithographie en coloris de l'époque d'après un dessin de Victor Adam. Signée en bas à gauche. Exemplaire à très grandes marges. Rousseurs claires.
AUBRY (Charles).
[COSTUMES MILITAIRES] Uniforme des grenadiers du (...) régiment d'infanterie de la garde royale.
1823. 364 x 251 mm.
Belle planche de personnages en costumes militaires, lithographiée en couleurs par Motte d'après un dessin de Charles Aubry. Bel exemplaire.
AUBRY (Charles).
[COSTUMES MILITAIRES] Uniforme des voltigeurs et soldats du centre du (...) régiment d'infanterie de la garde royale.
1823. 370 x 250 mm.
Belle planche de personnages en costumes militaires, lithographiée en couleurs par Motte d'après un dessin de Charles Aubry. Bel exemplaire.
AUBRY (Charles).
[COSTUMES MILITAIRES] Uniforme du (...) régiment des grenadiers à cheval de la garde royale.
1823. 374 x 256 mm.
Belle planche de personnages en costumes militaires, lithographiée en couleurs par Motte d'après un dessin de Charles Aubry. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges).
Laissez-moi-seule.
1919. 265 x 183 mm.
Superbe planche gravée et finement coloriée au pochoir, avec rehauts d'or, issue des Feuillets d'art, luxueuse revue des débuts de la période Art Déco, publiée entre 1919 et 1922, et consacrée à la littérature, au théâtre, aux arts plastiques et aux arts décoratifs, à la musique et à la mode. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°104. Robe de linon imprimé.
1913. 170 x 91 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°112. Manteau de velours blanc brodé de perles. Robe de damas blanc. Souliers roses.
1913. 170 x 91 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°150. Petit manteau de velours, robe de linon.
1914. 168 x 91 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°15. Robe de plage en foulard garni de tussor gros grain, chapeau en Suède rouge.
1912. 164 x 99 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°164. Costume de yacht : veste de drap, jupe de toile, chapeau de cuir.
1914. 170 x 91 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°179. Toilette de taffetas imprimé. Chapeau de paille.
1914. 170 x 90 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°21. Robe de drap blanc bordé d'un ourlet couleur de rose. Ceinture de roses au crochet.
1912. 167 x 96 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°30. Manteau de zibeline à col et poignets de renard blanc.
1912. 167 x 100 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°35. Manteau de damas rose garni de renard bleu. Coiffure de paradis noirs.
1912. 170 x 89 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°39. Robe de crêpe de Chine blanc garnie de renard. Manteau de loutre et skunks.
1912. 169 x 90 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°3. Toilette d’été. Blouse de linon sur jupe de foulard.
1912. 170 x 90 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°51. Pour S.t Moritz. Ratine blanche garnie de skunks et brodée de laines.
1913. 166 x 95 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°71. Manteau de théâtre.
1913. 167 x 90 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°80. Robe de charmeuse noire avec corsage et panier formés d'un obi drapé.
1913. 171 x 91 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°84. Grande robe du soir en tulle et satin. Écharpe de velours à glands de perles.
1913. 170 x 92 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°91. Robe de taffetas gris à col et manchettes de linon, et gilet de satin à boutons d'émail.
1913. 170 x 91 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & GAZETTE du BON TON.
Rugby. Costume tailleur de Redfern.
Avril 1914. 220 x 135 mm, tranche supérieure dorée.
Planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant un tailleur de Redfern en cheviot neigeuse, orné de parements et de brandebourgs noirs. Le petit gilet et le col de la veste sont en ottoman. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
BARBIER (Georges) & IRIBE (Paul) & COSTUMES PARISIENS.
[ÉVENTAILS] Costumes parisiens. Planche n°42. Éventails de Paquin d'après G. Barbier et Paul Iribe.
1912. 170 x 90 mm.
Planche dessinée par Georges Barbier et Paul Iribe, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BASSET (Paul André).
[JEU de l'OIE] Nouveau Jeu historique et chronologique de la Monarchie française.
Paris, Basset, [1815]. 454 x 605 mm.
Rare jeu de l'oie dédié à l'histoire de France, composé de 63 cases illustrant la chronologie des rois de France, avec un portrait en médaillon et une scène de son règne. Le jeu commence avec le baptême de Clovis, roi des Francs en l'an 481, et se finit avec l'entrée de Louis XVIII à Paris le 3 mai 1814. Cette dernière case montrant la statue équestre de Henri IV sur le Pont Neuf et une montgolfière, est décorée d'attributs militaires et des armoiries de la France erntourées des allégories de la Renommée et de la Victoire. Napoléon est logiquement absent de la chronologie. Les règles du jeu indiquent qu'on ne peut s'arrêter sur les huit cases qui sont ornées d'une fleur de lys. Le joueur arrivant sur la case 57, montrant l'assassinat de Henri III, perd tous ses points et recommence la partie. Les coins sont décorés des portraits de Pharamond, de Clodion Le Chevelu, de Childéric Ier et de Mérovée. Bon exemplaire. Grand-Carteret, Vieux papiers Vieilles images, p. 265 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, 1815, p. 449 ; Poirier, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950), p. 214 ; Catalogue général d'imagerie, estampes, en noir et en couleur, principes d'écriture et de dessin pour la figure, l'ornement et le paysage, et cartes géographiques composant le Fonds de Basset, 1822, p. 8.
BENITO (Garcia).
Dogaresse.
[vers 1930]. 369 x 269 mm.
Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.
BENITO (Garcia).
Florentin.
[vers 1930]. 370 x 270 mm.
Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.
BENITO (Garcia).
Geisha.
[vers 1930]. 370 x 270 mm.
Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.
BENITO (Garcia).
Noailles-duc.
[vers 1930]. 371 x 271 mm.
Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.
BENITO (Garcia).
Scheherazade.
[vers 1930]. 369 x 270 mm.
Superbe planche gravée sur bois, coloriée au pochoir et rehaussée à l'or, issue de l'album publicitaire La dernière lettre persane, présentant des modèles de fourrures de la maison Max de Paris, dessinés par Benito. Bel exemplaire.
BONNOTTE (L.).
Sirène. Modèle de Francis.
[1919-1920]. 237 x 130 mmn.
Belle planche gravée et coloriée au pochoir, issue de La Guirlande. Album mensuel d'art et de littérature, publié par Brunelleschi et Georges Barbier. Bel exemplaire.
BORELLI-VRANSKA (M.).
[COSTUME de BAIN].
[1914]. 184 x 149 mmn.
Belle planche gravée et coloriée au pochoir. Bel exemplaire.
BORELLI VRANSKA (Zoé de) & GAZETTE du BON TON.
La Tendre Nourrice.
Juillet 1914. 206 x 133 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant un costume de nourrice tiré des habillements des paysans dalmates. La robe est en bure bordée et garnie de laine, et la chemise en toile écrue. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
BOUASSE-LEBEL.
[BOTANIQUE] Éléments de botanique.
Paris, Bouasse-Lebel Édit. Imp., et Anc.ne M.son Basset réunies, [1865]. 495 x 636 mm.
Beau tableau synoptique de botanique, lithographié en couleurs pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié en 1865 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. L'exemplaire est dans de très beaux coloris de l'époque. Ce tableau présente deux-cent-vingt-sept espèces de végétaux, classés en cinq parties : racines, feuilles, fleurs, fruits et tiges. Chaque espèce est numérotée et nommée dans le texte explicatif, qui comprend également un tableau de la classification du botaniste Jussieu. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque. Extrait du catalogue de la Maison A. Éloffe se trouvant à la fin de l'ouvrage de Perrot, Courses géologiques, Localités les plus favorables pour étudier les terrains du bassin de Paris, 1865, p. 47.
BOUASSE-LEBEL.
[CHAMPIGNONS] Champignons. Encyclopédie Bouasse-Lebel.
Paris, Maison Bouasse-Lebel, Édit. Imp. et Anc.ne Maison Basset réunies, [1862]. 465 x 617 mm.
Beau tableau de classification des champignons, lithographié en couleurs pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié en 1862 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. L'exemplaire est dans de très beaux coloris de l'époque. Cent vingt-cinq espèces de champignons sont représentées. A chaque espèce est attribuée une lettre : C pour comestible, S pour suspect, et V pour vénéneux. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire dans de beaux coloris de l'époque. La Science pittoresque, Tablettes mensuelles, 4 avril 1862, 1862, p. 2.
BOUASSE-LEBEL.
[MÉCANIQUE] Mécanique élémentaire. Encyclopédie Bouasse-Lebel n°121.
Paris, Bouasse-Lebel,[circa 1860]. 507 x 616 mm.
Belle et rare planche consacrée à la mécanique, issue de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publiée par la Maison Bouasse-Lebel vers 1860. L'exemplaire a été finement colorié à l'époque. Cette planche illustre la mécanique dans le domaine hydraulique. Parmi les illustrations, on trouve des pompes à piston, des puits artésiens, une vis d'Archimède, une pompe foulante à système, des pompes rotatives, une balance hydrostatique Galilée vers 1600, un hémisphère de Magdebourg, un baromètre Torricelli de 1643, et des aérostats. Les illustrations sont accompagnées de définitions sur les principes d'hydrostatique et d'hydrodynamique appliqués à l'hydraulique. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
BOUASSE-LEBEL.
[PAPILLONS] Le Collectionneur de papillons. Encyclopédie Bouasse-Lebel.
Paris, M.son Bouasse Lebel, Imp. Édit et A.nc M.son Basset, réunies, [1865]. 495 x 649 mm.
Belle planche conçue pour les collectionneurs de papillons, issue de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publiée en 1865 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. L'exemplaire est dans de très beaux coloris de l'époque. Soixante-deux espèces de lépidoptères sont représentées, divisées en trois familles, les diurnes, les crépusculaires et les nocturnes, et neuf genres. Toutes sont numérotées et nommées dans la légende. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire dans de superbes coloris de l'époque. Extrait du catalogue de la Maison A. Éloffe se trouvant à la fin de l'ouvrage de Perrot, Courses géologiques, Localités les plus favorables pour étudier les terrains du bassin de Paris, 1865, p. 46 ; Bulletin d'insectologie agricole, Journal mensuel de la Société centrale d'apiculture et d'insectologie, 1876, p. 14.
BOUTET de MONVEL (Bernard) & GAZETTE du BON TON.
La Commode en laque. Robe du soir de Worth.
Mai 1914. 208 x 130 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une robe du soir de Worth se composant d'une longue tunique en mousseline de soie sur une jupe en crêpe de Chine. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
BREPOLS & DIERCKX.
[JEU de l'OIE] Het nieuw vermakelijk Ganzenspel - Le nouveau Jeu d'Oie.
[Turnhout, Brepols & Dierckx, circa 1880]. 372 x 312 mm.
Rare jeu de l'oie en flamand et en français, lithographié en couleurs. Il est composé de 63 cases numérotées et séparées par des colonnes, et orné de trois vignettes montrant des joueurs autour d'une table, un homme jouant de la trompette et une femme avec une oie. Bel exemplaire.
BRISSAUD (Pierre) & GAZETTE du BON TON.
"Rentrez vos Blancs Moutons". Une Bergère par Chéruit.
Février 1913. 207 x 135 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une bergère vêtue par Madeleine Chéruit d'une jupe panier en velours prunelle. La casaque décolletée, en carré et découpée en larges pans, est taillée dans une grosse peau de soie. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
BRUNELLESCHI (Umberto) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°103. Toilette d'après-midi.
1913. 170 x 92 mm.
Planche dessinée par Umberto Brunelleschi, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BRUNELLESCHI (Umberto) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°10. Robe de promenade en Surah à damiers et taffetas peint à la main, bordée de velours noir. Chapeau de paille orné d'un panache en duvet de cygne.
1912. 167 x 94 mm.
Planche dessinée par Umberto Brunelleschi, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BRUNELLESCHI (Umberto) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°181. Robe à volant de satin brodé.
1914. 167 x 91 mm.
Planche dessinée par Umberto Brunelleschi, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
BRUNELLESCHI (Umberto) & GAZETTE du BON TON.
La Fleur et Le Miroir. Robe du soir de Chéruit.
Décembre 1912. 204 x 136 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une robe du soir de Madeleine Chéruit, en satin souple blanc et en drap d'or, garnie d'un panier de tulle noir sur une fausse jupe en grosses perles de jais. Le corsage est de soie ancienne brochée d'or. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
BURCKARDT (Charles).
[JEU de la CHASSE au LIÈVRE] Neues Hasen-Spiel.
Wissembourg, C. Burckardt, [circa 1880]. 350 x 299 mm.
Jeu en langue allemande, lithographié en couleurs, composé de 73 cases sur le thème de la chasse au lièvre. La dernière case au centre représente un chasseur montrant fièrement son gibier. Les règles du jeu sont données au bas du jeu. Bel exemplaire.
BURCKARDT (Charles).
Les quatre Saisons.
Wissembourg, [circa 1880]. 4 planches, chacune 355 x 484 mm.
Quatre planches figurant les quatre saisons, lithographiées en couleurs et publiées par Burckardt à Wissembourg. Titres en 5 langues. Beaux exemplaires. Lègères rousseurs marginales à la planche de l'automne.
CHATELAIN (Henry Abraham).
[BLASONS] Carte du blason ou la sience de la noblesse avec des instructions pour conduire à cette connoissance.
Amsterdam, circa 1720. 490 x 598 mm.
Bel exemplaire.
CHATELAIN (Henry Abraham).
[PAVILLONS] Carte des pavillons accompagnée d'observations pour en faire comprendre le blazon et les différentes devises aussy bien que d'une table alphabétique pour les trouver facilement.
Amsterdam, circa 1720. 490 x 585 mm.
Planche contenant les pavillons arborés par 88 pays dont Malte, Alger, Venise, la Chine, etc. Marge gauche brunie, sinon bel exemplaire.
COSTUMES PARISIENS.
Manteau d'après-midi en duvetyn citron, avec une boucle de moire.
1914. 169 x 90 mm.
Planche gravée et finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Bonnet de tulle et perkale, à pointes. Camisole de perkale.
1811. 173 x 90 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Capote de velours en satin. Douillette de Florence.
1807. 172 x 92 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Chapeau de velours frisé. Robe de mérinos.
1812. 172 x 91 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Chapeau de velours épinglé. Redingote de mérinos garnie en pluche de soie.
1812. 173 x 93 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Coiffure à la chinoise. Robe de satin. Ceinture de velours.
1812. 170 x 91 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Coiffure à l'enfant, lissée par un peigne forment demi-cercle.
1811. 173 x 92 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Couronne de lis. Robe de crèpe.
1814. 172 x 93 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Demi-parure. Costume dessiné à Lonchamp.
1807. 170 x 91 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Peigne en couronne. Robe de gaze, à raies de satin.
1809. 170 x 88 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Toque de satin ornée de plumes de vautour. Robe de mérinos.
1812. 173 x 92 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS.
[PREMIER EMPIRE] Toque de velours. Redingote de velours.
1811. 172 x 91 mm.
Planche issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
COSTUMES PARISIENS & BERTY (B.).
[CHAPEAUX] Modèles de Marcelle Demay.
1913. 162 x 90 mm.
Planche dessinée par B. Berty, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Légères rousseurs marginales.
COSTUMES PARISIENS & FABIUS.
Robe de taffetas et voile de soie rayé.
1914. 166 x 90 mm.
Planche dessinée par Fabius, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
CREPY (Etienne-Louis).
[JEU de l'OIE] Les Travaux de Mars, ou Nouveau Jeu de la Guerre, dédié à la jeune noblesse de France.
Paris, Crépy, 1767. 428 x 541 mm.
Rare jeu de l'oie à thème militaire, composé de 66 cases contenant des termes techniques et des opérations militaires, et pour certaines des illustrations. Le jeu peut se jouer de deux méthodes, l'une respectant les règles du jeu de l'oie, l'autre étant plus libre. Les règles du jeu sont décorées d'attributs militaires et d'une vignette montrant Louis XV, fondateur de l'École Royale Militaire en 1751. Exemplaire monté sur carton fin. Grand-Carteret, Vieux papiers Vieilles images, p. 265 ; Poirier, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950), p. 221.
CROCHON (François).
[Page de dédicace dans un encadrement architectural].
[milieu du XIXe siècle]. 51 x 37,5 cm.
Dessin à l'encre brune, montrant un portique avec quatre colonnes corinthiennes et un fronton triangulaire, orné en tête du portrait de Saint François de Sales en médaillon. Bel exemple d'un travail d'élève, probablement le feuillet de dédicace d'un album de calligraphie.
DEYROLLE (Émile).
El lino y el cañamo [Le lin et le chanvre].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 600 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs consacrée au lin et au chanvre, avec titre et légendes en espagnol. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bel exemplaire. Petites déchirures en bordure des marges restaurées.
DEYROLLE (Émile).
El thé [Le thé].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 600 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs consacrée au thé, avec titre et légendes en espagnol. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire. Petites déchirures en bordure des marges, petite manque dans la partie gauche près de la marge.
DEYROLLE (Émile).
Frutas [Fruits].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 571 x 454 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Les arbres fruitiers représentés sont le goyavier, l'avocatier, le citronnier, l'ananas, et le bananier. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bel exemplaire.
DEYROLLE (Émile).
La limpieza [La propreté].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 600 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en espagnol. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire.
DEYROLLE (Émile).
O aquecimento [Le chauffage].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 784 x 599 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bel exemplaire.
DEYROLLE (Émile).
O gaz e a electricidade [Gaz et électricité].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 598 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire.
DEYROLLE (Émile).
Os ninhos [Les nids].
Paris, Les Fils d'Émile Deyrolle, [circa 1900]. 790 x 598 mm.
Grande et belle planche lithographiée en couleurs, avec titre et légendes en portugais. Fondée en 1831 par Jean-Baptiste Deyrolle, la maison Deyrolle est une institution dans le domaine des sciences naturelles et de la pédagogie. Elle s'installa définitivement le 1er avril 1888 au 46, rue du Bac, sous la direction d'Émile Deyrolle, petit-fils du fondateur, rapidement relayé par son fils Achille Deyrolle. C’est vers 1871 qu’Émile Deyrolle commença à développer l'édition de planches murales colorées destinées à l’enseignement, publiées sous le nom de "Musée scolaire Deyrolle", dans des domaines aussi variés que la botanique, la zoologie, l’entomologie, la géographie, l’anatomie humaine, l’instruction civique, la physique, la chimie, la géologie, la minéralogie, la biologie, etc. Dès les années 1870, plusieurs centaines de sujets sont déjà traités et l'État devient le principal client de la Maison. Deyrolle devient alors le premiere fournisseur de l'Instruction publique et équipe les écoles de ses planches pédagogiques. Ces planches traverseront même les frontières et seront notamment traduites en espagnol, portugais et arabe. Bon exemplaire. Déchirures restaurées.
EIGER & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°171. Chapeaux par Arlette Carus : 1. en taffetas bleu et gancé garni fleurs ; 2. en liseré garni satin noir et perruche ; 3. en satin noir garni de numidie ; 4. en satin blanc garni fantaisie pintade argentée ; 5. en satin noir et blanc fantaisie crosse ; 6. en liseré garni couteaux ; 7. en satin noir garni fantaisie crosse et aigrette.
1914. 169 x 93 mm.
Planche dessinée par Eiger, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
FLOREZ (Llano) & FEUILLETS d'ART.
Robe portée par Mme Charlotte directrice de la Maison Premet.
[1919]. 274 x 185 mm.
Superbe planche gravée et finement coloriée au pochoir, avec rehauts d'argent, issue des Feuillets d'art, luxueuse revue des débuts de la période Art Déco, publiée entre 1919 et 1922, et consacrée à la littérature, au théâtre, aux arts plastiques et aux arts décoratifs, à la musique et à la mode. Bel exemplaire.
FOUILHOUZE (Félix).
[Paysage de montagne].
1872. 22,4 x 29,7 cm.
Aquarelle sur papier, représentant un paysage de montagne non localisé, avec une forêt de conifères, une bergerie et deux personnages en train de converser. Signé et daté en bas à droite. Né à Saint-Dié vers 1800, Félix Fouilhouze fut élève de Bellel et Ouvrié à Paris. Il avait son atelier à Luvigny dans la vallée de Celles-sur-Plaine. Passionné par le spectacle de la montagne, il figura au Salon de Paris de 1836 à 1882, avec Vue prise dans les Vosges (1838), Vue prise des environs de Saint-Dié (1875), Effet de neige dans les Vosges (1878). En 1849, il présenta cinq œuvres au Salon de Nancy. On cite de lui : Le lac de Brientz, Vue prise dans la vallée de Meyringen, Vallée de Rochesson, Souvenir de Suisse. Il a beaucoup peint des paysages du Dauphiné, de Suisse, d'Italie et du Grand Duché de Bade. Bonne condition.
FRANC-NOHAIN (Madeleine-Amélie) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°140. Un lutin.
1914. 167 x 91 mm.
Planche dessinée par Madeleine-Amélie Franc-Nohain, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
FRANC-NOHAIN (Madeleine-Amélie) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°44. Manteau de ratine blanche, garniture écossaise jaune et blanc. Marin blanc et noir, fox blanc et noir.
1913. 170 x 100 mm.
Planche dessinée par Madeleine-Amélie Franc-Nohain, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
FRANC-NOHAIN (Madeleine-Amélie) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°87. Robe de crépon blanc à pois jaune. Robe de fillette en écossais cerise et vert.
1913. 171 x 91 mm.
Planche dessinée par Madeleine-Amélie Franc-Nohain, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
GAZETTE du BON TON & BARBIER (Georges).
Vichy (II) ou Le Jeu des Marionnettes.
Eté 1915. 213 x 320 mm.
Belle et grande planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant dix modèles de robes : 11. Robe de mousseline de soie blanc gris sur fourreau gris. Deux volants de dentelle forment tunique. Ceinture de moire noire. Costume de Callot. Chapeau de Georgette. 12. Linon rose brodé de motifs de fine dentelle. Ceinture de peau de daim blanche. Costume de Jenny. Chapeau de Georgette. Bottes de Généra. 13. Robe en tulle et faille rose ancien, col bordé d'hermine. Costume de Paquin. 14. Soie et voile "canari" alternés à la jupe et au corsage, fine broderie au corsage. Costume de Martial et Armand. Chapeau de Camille Roger. 15. Douillette pour bébé en broderie et soie blanche. Costume de Callot. 16. Robe en crêpe satin noir recouverte de tulle-dentelle blanc. Ceinture de poult de soie bleu ancien, bordé de petites roses roses. Costume de Dœuillet. Chapeau de Magdeleine. 17. Robe de bébé, en forme de gandourab de soie blanche traversée de deux bandes de cachemire or sur rouge. Costume et chapeau de Lanvin. Souliers de Couquet. 18. Robe de crépon de soie blanche bordée de bleu sombre. Des manières de poches en broderie bleu Delf de chaque côté de la ceinture. Costume et chapeau de Lanvin. Souliers de Couquet. 19. Jupe de crêpe français "tilleul" inégalement arrondie au bas et ornée de plis "religieuse." Boléro de pékin bleu et vert sombre sur corsage de crêpe. Costume de Paquin. Chapeau de Camille Roger. 20. Étamine rose découpée en dents carrées brodées de soutaches blanches. Costume et chapeau de Lanvin. Souliers de Couquet. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
GAZETTE du BON TON & BARBIER (Georges).
Vichy (I) ou Soyez tous bien sages.
Eté 1915. 212 x 320 mm.
Belle et grande planche gravée et finement coloriée au pochoir, avec rehauts d'or, présentant dix modèles de robes : 1. Robe de bébé en tulle blanc, veste de taffetas bleu. Costume de Paquin. 2. Batiste jaune disposée en bouillonnés, des épaules au bas des hanches. Les pans de la redingote sont incrustés de dentelle blanche et dégagent une jupe plissée très finement. Costume de Doucet. Chapeau de Georgette. 3. Robe de linon blanc, très ample, incrustée de fonds de bonnets au point de Beauvais. Boléro de soie grasse bleu marine à revers de velours bleu. Costume de Beer. Chapeau de Lewis. Bottes de Greco. 4. Redingote en satin ivoire à godets exagérés sur les côtés, une ceinture en pareil. Col de petit gris. Costume de Chéruit. 5. Taffetas bleu ciel très ample, avec plis cerceaux sur les côtés seulement. Le corsage s'échancre en rond sous un col Franz Hals en linon brodé à jours. Costume de Martial et Armand. Chapeau de Camille Roger. Bottes de Ducerf. 6. Aube de tulle et mousseline, brodés et plissés sur un fond de taffetas bleu passé. Costume de Chéruit. 7. Chemise de Marceline chair brodée d'argent. Costume de Chéruit. 8. Robe de lingerie blanche en mousseline brodée à la main ; la jupe est à deux étages rayés de ganses blanches. Ceinture en ruban pékiné de trois tons. Costume de Premet. Chapeau de Maria Guy. 9. Robe de lingerie blanche sur fond de satin bleu. Les deux volants de la jupe sont faits d'applications sur tulle et le corsage de tulle uni. Costume de Callot. 10. Robe-chemise en tussor rose incrusté de broderies blanches. Chapeau de Callot. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
GAZETTE du BON TON & BRISSAUD (Pierre).
Une Chinoise. Costume de divertissement par Dœuillet.
Février 1913. 203 x 132 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant un manteau chinois rouge et noir de Georges Dœuillet, doublé de soie et couvrant un panier de satin sur une jupe de soie brodée d'une guirlande. La robe de dessous est en crêpe de Chine. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
GAZETTE du BON TON & DAMMY (H. Robert).
Le soir tombe... Robe du soir de Doucet.
[Décembre 1912]. 206 x 134 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une robe de soirée de Jacques Doucet en satin noir bordé de skungs et recouverte d'une tunique drapée de Malines. Le manteau de velours noir est doublé d'une soie à ramages. Le col et les manches sont en renard blanc. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
GAZETTE du BON TON & GOSÉ (Francisco Javier).
Un Loup en cage - Costume de "Maya" par Worth.
Février 1913. 205 x 136 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant une "Maya" habillée par Worth, vêtue d'une robe à panier de taffetas changeant bordé de ruche, sur une jupe de Tartalane blanche à girandole de roses de velours. Elle est coiffée d'une mantille noire sur ses cheveux poudrés où est piquée une rose. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
GOERING-SCHMIDT.
[CANNE à SUCRE & COTON] Zuckerrohr - Saccharum officinarum [et] Baumwolle.
Leipzig, F.E. Wachsmuth, [circa 1890]. 660 x 870 mm chacune ; montée sur toiles, entre deux baguettes de bois.
Belles planches pédagogiques lithographiées en couleurs, dessinées par Goering-Schmidt pour la série intitulée Ausländische Kulturpflanzen ou Cultures étrangères, et publiées à Leipzig par la maison d'édition de F.E. Wachsmuth, spécialisée dans l'édition de planches illustrées destinées à l'enseignement scolaire, active entre 1870 et 1910. La première illustre la culture de la canne à sucre. La scène se déroule dans une plantation de canne à sucre, que l'on peut situer au Brésil ou aux Antilles. Au premier plan, un groupe d'hommes coupe la canne à sucre, sur la gauche, le broyage de la canne à sucre se fait sous un abri, dans le fond, une charrette à bœufs entièrement chargée. Le coin inférieur gauche est occupé par une illustration de la plante de canne à sucre et de sa fleur. L'illustration est intitulée Saccharum officinarum, nom latin de la canne à sucre. Bon exemplaire. Petit manque au milieu de l'estampe, déchirures dans la partie droite, exemplaire empoussiéré. L'inscription "La canne à sucre" au feutre rouge au dos est visible sur le recto. Vesna Rapo, Kolorirane litografije, 2012, n°284. La seconde illustre la culture du coton. La scène se déroule dans une plantation aux Antilles. Elle montre des esclaves cueillant le coton dans un grand champ de cotonniers. Dans un hangar à proximité, le coton est ensuite mis en balles pour être transporté. La partie haute est occupée par une illustration du cotonnier herbacé, avec notamment une branche montrant la progression de la maturité, avec une fleur qui s'ouvre progressivement pour donner à maturité une boule constituée de fibres blanchâtres. L'illustration est intitulée Gossypium herbaceum L., nom latin pour le coton. Bon exemplaire. Deux mouillures, exemplaire empoussiéré. L'inscription "Coton" au feutre rouge au dos est visible sur le recto.
GOERING-SCHMIDT.
[THÉ] Thee - Thea viridis.
Leipzig, F.E. Wachsmuth, [circa 1890]. 660 x 870 mm ; montée sur toile, entre deux baguettes de bois.
Belle planche pédagogique lithographiée en couleurs, illustrant la culture du thé. Elle a été dessinée par Goering-Schmidt pour la série intitulée Ausländische Kulturpflanzen ou Cultures étrangères, et publiée à Leipzig par la maison d'édition de F.E. Wachsmuth, spécialisée dans l'édition de planches illustrées destinées à l'enseignement scolaire, active entre 1870 et 1910. La scène se déroule en Chine, et montre les différentes étapes de la culture du thé noir : les feuilles sont cueillies à la main, elles sont ensuite légèrement fumées au-dessus de fourneaux pour faire ressortir le parfum, puis elles sont disposées à l'air libre sur des plateaux d'osier. La partie haute est occupée par une illustration de la fleur et du fruit du thé. L'illustration est intitulée Thea viridis, ou thé noir. Bon exemplaire. Déchirures dont une dans la partie gauche de l'estampe, exemplaire empoussiéré. Vesna Rapo, Kolorirane litografije, 2012, n°286.
HONORÉ (Henri) & COSTUMES PARISIENS.
Costumes parisiens. Planche n°115. Robe de duvetin bleu vitrail brodée au point lancé et garnie de loutre.
1913. 170 x 92 mm.
Planche dessinée par Henri Honoré, gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
JACOB (J.).
[PERSPECTIVE] Tableau de perspective universelle à l'usage des personnes qui se destinent aux Arts.
Paris, Maison Basset, [1843]. 458 x 634 mm.
Beau et rare tableau sur la technique de la perspective en peinture, conçu par J. Jacob pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié par la Maison Basset en 1843. L'exemplaire a été finement aquarellé à l'époque. La technique de la perspective est expliquée en douze tableaux accompagnés de texte. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Rare. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire de cette planche dans les collections publiques. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 10 juin 1843, 1843, p. 299, 893.
JEAN (Pierre).
[JEU de l'OIE] Le jeu de l'Oye renouvellé des Grecs.
Paris, Jean, [circa 1810]. 364 x 430 mm.
Rare jeu de l'oie traditionnel composé de 63 cases. Exemplaire aquarellé à l'époque. Doublé d'une toile fine, tampons de propriétaire au dos. Poirier, Iconographie des jeux de l'oie (1638-1950), p. 202.
JEU de l'OIE.
Game of the skating-rink – Jeu du skating-rink.
Paris, Saussine, [circa 1900]. 526 x 695 mm.
Belle et rare planche de jeu dédiée au patinage, chromolithographiée et publiée à Paris vers 1900. Ce "jeu de la patinoire", élaboré sur le principe du jeu de l'oie, est composé de deux parcours ou pistes de 63 cases, la dernière étant située à l'entrée de la patinoire. Les règles du jeu, placées au bas du plateau, sont données en anglais et en français. Les deux parcours se croisent aux cases 10, 40, 14, 51, 18, 59 et 24. Si deux joueurs se rencontrent sur l'une de ces cases, les patineurs chutent et doivent retourner à la case n°1. Le joueur arrivant sur les cases 7 bleue (ici en noir) ou 6 rouge est un excellent patineur et avance de 10 cases ; celui qui arrive sur les cases 48 bleue (ici en noir) ou 16 rouge, correspondant au bar, doit payer 5 jetons à la caisse pour sa consommation et attendre 3 tours ; ou encore celui qui se retrouve sur les cases 16 bleue (ici en noir) ou 49 rouge, est un patineur maladroit et doit payer 5/8 jetons pour la casse. Deux autres textes accompagnent ce plateau : le premier, intitulé Images d'ombres, explique comment réaliser des ombres chinoises ; le second, intitulé Les Grenouilles qui demandent un Roi, d'après une fable de Jean de La Fontaine, est un jeu d'adresse. Il existe une autre version de cette planche sans ces deux textes. Ce jeu, au ton humoristique, est illustré de nombreux personnages évoluant avec plus ou moins de succès sur la glace, tandis que d'autres regardent en spectateurs ou se désaltèrent au bar. Bel exemplaire. Petite déchirure restaurée dans la marge supérieure.
JOURNAL des DAMES et des MODES.
Costumes parisiens. Le nouveau tissu marbre de MM. Mouly et Schulz.
1914. 160 x 205 mm.
Échantillon de tissu, issu du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
JOURNAL des DAMES et des MODES.
Costumes parisiens. Planche n°66. Robe de crépon blanc. Casaque de taffetas soufre. Bonnet de taffetas pékiné.
1913. 170 x 92 mm.
Planche gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
JOURNAL des DAMES et des MODES.
Costumes parisiens. Planche n°88. Papillons naturels montés en diamants par Morgan.
1913. 167 x 91 mm.
Planche gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
JOURNAL des DAMES et des MODES.
Costumes parisiens. Planche n°92. Gants de Suède et de chevreau glacé.
1913. 170 x 91 mm.
Planche gravée et très finement coloriée au pochoir. Elle est issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.
JOURNAL des DAMES et des MODES.
Costumes parisiens. Planche n°9. Ombrelles nouvelles. 1. En soie kaki et cretonne imprimée pékin. 2. En crêpe de Chine peint à la main. 3. Ombrelle de jeune fille en taffetas rose. 4. En mousseline imprimée fond blanc. 5. En mousseline à fleurs nouvelles. 6. En cretonne imprimée à carreaux et fleurs.
1912. 167 x 100 mm.
Planche gravée et très finement coloriée au pochoir, issue du Journal des dames et des modes, l’une des plus belles revues de mode françaises, publiée entre 1797 et 1839, puis reprise en 1912 par Georges Barbier, et arrêtée en 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale. Bel exemplaire.