Livres anciens - Livres de voyages - Cartes géographiques anciennes
Plan de la ferme de la Soupelière appartenant à M. le baron M.J.A. Pron.
[vers 1865]. En 18 sections montées sur toile et pliées, de 58 x 91 cm.
Plan manuscrit, encre noire et aquarelle, sur calque et monté sur papier, puis entoilé, de la ferme de la Soupelière, à mi-chemin entre Verneuil d'Avre et Rueil-la-Gadelière, dans l'Eure. Sur fond du plan cadastral (certifié conforme), a été ajouté le plan de la ferme et de son jardin. Les propriétés du baron Pron sont aquarellées, et les parcelles voisines portent le nom de leur propriétaire. Des numéros sur le plan se réfèrent à une légende indiquant les noms et surfaces des parcelles. Le propriétaire en est Marie-Joseph-Auguste Pron (1820-1903), juriste et préfet de plusieurs départements durant sa carrière, et propriétaire du château de Sainte-Radegonde, à Lanneray, à environ 50 km au sud de la ferme. En 1877, il prit le nom de Pron-Cugnot de Sainte-Radégonde, en ajoutant le nom de sa mère à celui de son père. Belle condition.
Plan de la partie méridionale de la ville de Thiers.
[vers 1780]. 53 x 70,5 cm.
Grande et belle carte manuscrite, à l'encre brune et lavis d'aquarelle, du quartier de l'abbaye, au sud de la ville de Thiers. Y sont figurés la rivière de la Durolle ainsi qu'une île, les rues de l'abbaye (actuelle rue du Moutier), de la Mallorie et du Pavet (correspondant aux rues actuelles de Gambetta et de Rouget-de-L'Isle), un pont sur la Durolle dit du Moutier, l'église, le château et le moulin de l'abbaye, les toits des bâtiments et le tracé des jardins. Un trait rouge, avec deux tours, symbolise la partie du mur de la ville visible sur le plan, et un trait jaune montre la limite entre les justices de la baronnie et celles de l'abbaye de Thiers. Des lettres sur le plan renvoient à une légende dans laquelle on apprend qu'il ne s'est pas vendu de blé dans la halle du même nom (située côté ville), depuis "un arrest du Conseil Supérieur de Clermont qui fait défense à M.de la comtesse de Béthune de faire percevoir la leyde dans la Justice du Moutier", et que les grains sont vendus sur une place (côté Moustier) "depuis la fin de l'année 1774 ou le commencement de l'année 1775". La leyde était un impôt levé sur les marchandises vendues sur les marchés et due par les marchands forains ou étrangers à la ville. La carte est orientée, l'échelle est en toises. Traces de pliures avec de petits trous à leurs croisements, petites taches et déchirures dans les marges, sans atteinte au dessin.
Plan de la ville [d'Aigues-Mortes].
[vers 1880]. 39 x 56 cm.
Carte manuscrite, encre noire et aquarelle, de la ville d'Aigues-Mortes, portant le détail de l'enceinte, avec ses portes et ses tours, la tour de Constance, les rues, et le parcellaire avec les parties bâties. L'échelle est en mètres, au 1/1250e. Belle condition.
Plan de la ville et du château de St Malo.
1812. 24,5 x 29,5 cm, sur une feuille de 29,5 x 34,5 cm.
Joli plan, encre et aquarelle, de la ville de Saint-Malo. Y sont figurés les remparts et le plan de la ville, deux ponts les reliant à la terre ferme, le sillon, et les forts du Grand Bé (orthographié Baye) et National (alors nommé Royal). Mention manuscrite sous le titre : "commencé vendredi 28 août 1812, fini le samedi 6 septembre 1812, à Baigneux-les-Juifs." Quelques piqûres.
Plan de Lille de la citadelle et banlieue de la ville et de ses environs.
1784. 550 x 765 mm.
Très beau plan figurant la ville et la citadelle de Lille, orné d'un grand cartouche de titre et d'une vue de la ville prise du côté de la Porte des Malades. Sur les côtés figure une liste numérotée renvoyant aux bâtiments principaux des 7 paroisses de la ville et à ceux de la citadelle. Très bel exemplaire, replié.
Plan de St Malo.
1813. 27 x 41 cm, sur une feuille de 30,5 x 46 cm.
Joli plan, encre et aquarelle, de la ville de Saint-Malo. Y sont figurés les remparts et le plan de la ville, le sillon, et les forts du Grand Bé et National. Plan très proche du précédent, sans aucune mention manuscrite de l'époque autre que le titre. Quelques piqûres, petite mouillure, et une petite déchirure sans manque dans la partie inférieure.
Plan d'une ville fortifiée dans le style de Vauban.
1764. 47 x 39 cm, encadré sous verre moderne.
Dessin manuscrit, encre brune et aquarelle, du plan d'une place forte, dans un encadrement tenu par deux allégories féminines et surmonté d'un aigle. Le dessin montre une région où serpente une rivière avec des îles et des affluents. Y sont figurés les chemins, les ponts, le plan des bâtiments, les zones cultivées et les zones boisées (figurées par de petits sapins). Le plan de la ville est hexagonal, avec une place centrale carrée et des rues en damier. L'enceinte qui la protège montre le système de fortification bastionnée développé par Vauban, avec six bastions, fossés, demi-lunes et défenses avancées. Le relief est marqué par des hachures. Signé en bas à droite Amadée Friederich Ythi (?) et daté de 1764. Papier jauni, très petites mouillures.
[Plan géométral de Brinon].
[fin du XVIIIe siècle]. 61 x 93 cm, sur une feuille de 63 x 95,5 cm.
Beau plan manuscrit, encre noire et aquarelle, de la ville de Brinon-sur-Sauldre, dans le Cher. Y sont figurés le parcellaire de la ville et de ses environs, avec les bocages, l'emplacement des habitations, de l'église avec son cimetière, et du château, l'étang du bourg et le ruisseau de l'étang. Située en Sologne, la commune de Brinon se trouve près de la rivière la Grande Sauldre, et est entourée de forêts que l'on voit représentées sur les bords du plan. La carte est orientée, l'échelle est en perches. Beaux coloris, très frais. Froissement le long de la pliure centrale, petites déchirures marginales.
[PUY-de-DÔME] Carte de la généralité de Riom servant à l'indication des lieux pour le passage des troupes marchant par étape.
[fin du XVIIIe siècle]. 43 x 33 cm.
Carte manuscrite, encre noire avec rehauts de rouge, figurant le schéma d'une région à cheval sur les actuels départements du Puy-de-Dôme, du Cantal et de la Haute-Loire. Y sont figurées les villes, symbolisées par un petit plan de leurs fortification ou un clocher, et les routes les reliant, marquées par un trait droit. Le titre est inscrit dans un cartouche, la carte est orientée, l'échelle est en toises. Petits froissements dans la marge droite de la carte.
Rivière de Seine, et rivières y descendantes, avec partie des rivières de Meuse et de Moselle, ensemble les costes et rivières de Picardie et Normandie.
[fin du XVIIIe siècle]. 70 x 93 cm, sur six feuilles jointes de 80 x 97 cm.
Belle et grande carte manuscrite, encre brune et aquarelle, du bassin de la Seine. Y sont figurés les côtes de la Manche, de Calais au Mont-Saint-Michel, le cours de la Loire (entre La Charité et Tours), celui de la Moselle (entre Toul et Thionville), les fleuves côtiers et le bassin de la Seine avec ses affluents. Le nom des rivières est noté en rouge, celui des villes en noir. Le cours des rivières est aquarellé en bleu. Certaines parties sont entourées d'un double trait vert et correspondent à des parties canalisées ou à des canaux, comme le canal de Bourgogne entre Dijon et Tonnerre, ou le canal de Briare, entre Briare (sur la Loire) et Montargis. Mais d'autres ne semblent que des projets, comme le canal entre Orléans et Corbeil qui fut abandonné. Carte repliée, avec de petits trous au niveau des pliures, traces jaunes le long de trois pliures.
[ROMAINVILLE] Commune de Romainville.
[1895]. 209 x 140 mm.
Plan de la commune de Romainville publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune de Romainville fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
[SAINT-DENIS] Commune de St. Denis.
[1895]. 303 x 243 mm.
Plan de la commune de Saint-Denis publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune de Saint-Denis fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
[SAINT-OUEN] Commune de St. Ouen.
[1895]. 208 x 180 mm.
Plan de la commune de Saint-Ouen publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune de Saint-Ouen fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
[SAÔNE-et-LOIRE] Carte de l'arrondissement de Chalon.
[vers 1850]. En 18 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 69 x 102,5 cm ; sous étui de papier marbré bordeaux, étiquette de titre de papier vert.
Belle et grande carte manuscrite, encre noire et aquarelle, de l'arrondissement de Chalon-sur-Saône, sous-préfecture du département de Saône-et-Loire. Y sont figurées la Saône et ses affluents, le canal du Centre, les routes et les chemins, les villes, bourgs et villages, mais pas le chemin de fer. Celui-ci étant arrivé à Chalon en 1851 (depuis Paris via Dijon), la carte à dû être réalisée peu de temps avant. Les limites des cantons sont rehaussées à l'aquarelle. Légende dans un cartouche à droite de la carte, contenant les symboles utilisés pour les routes nationales et départementales, les chemins classés ou en projet, les cours d'eau, etc. Belle condition. Toile au dos de la carte brunie avec de petites taches blanches. Coins et dos de l'étui frottés.
Souvenir de l'Exposition Universelle. Paris. 1878.
1878. 593 x 573 mm.
Belle et très rare vue lithographiée en couleurs, figurant l'un des sites de l'Exposition Universelle qui eut lieu à Paris en 1878. L'Exposition Universelle de 1878 fut la troisième exposition de Paris. Elle se déroula sur le Champ-de-Mars et la place du Trocadéro. La vue est prise depuis la rive gauche de la Seine, avec au premier plan le pont d'Iéna, puis la place du Trocadéro. C'est pour cet événement que fut construit le palais du Trocadéro, bâtiment majeur du site que l'on voit représenté ici, construit par l'architecte Gabriel Davioud et l'ingénieur Jules Bourdais. Il fut démantelé en 1935 en vue de l'Exposition universelle de 1937, afin de laisser la place à un nouvel édifice, le palais de Chaillot. Les jardins du palais sont occupés par les pavillons des puissances étrangères. Ainsi on peut voir les pavillons japonais, chinois ou encore égyptien. L'aménagement des espaces extérieurs fut confié à Adolphe Alphand, responsable des parcs et jardins de Paris. Dans le ciel, on aperçoit l'une des attractions de l'exposition. Il s'agit du grand ballon captif à vapeur, inventé par Henri Giffard. Situé aux Tuileries et attaché au sol par un câble, il pouvait transporter 40 à 50 passagers, et s'élever jusqu'à une hauteur de 600 mètres. Les bordures sont illustrées de personnages en costumes représentant les pays exposants. Rare. Il existe une version légèrement différente pour le dessin, et avec des bordures illustrées à gauche et à droite. Bon exemplaire. Restaurations près des marges, petits trous de ver par endroits, exemplaire doublé de papier Japon.
[STAINS] Commune de Stains.
[1895]. 210 x 193 mm.
Plan de la commune de Stains publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune de Stains fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
[TARN] Plan des possessions dépendantes de la mettairie d'en Darassou sittuée au lieu de Flamarens, commune de Lavaur.
[vers 1790]. 48 x 75 cm sur deux feuilles jointes.
Carte manuscrite, encre brune et rehauts d'aquarelle, d'un territoire situé dans une boucle de l'Agout, au lieu-dit en Darassou, à 4 km environ à l'est de Lavaur, dans le Tarn. Y sont figurés le plan de la métairie, les chemins et les pièces de terrains avec leur surface, le nom des propriétaires et le type de culture, ainsi qu'une partie de la grand route de Lavaur à Castres. Une note manuscrite postérieure au plan indique "le 3 (?) 1810 planté 12 (?) de vigne à cette partie". La carte est orientée, l'échelle est en cannes. Petites déchirures dans les marges et aux pliures, piqûres et quelques mouillures.
[VAUCLUSE] Carte itinéraire du département de Vaucluse où sont désignées les barrières établies sur les routes de ce département.
[vers 1790]. 62 x 62,5 cm.
Belle et grande carte manuscrite, encre noire, encre rouge et lavis vert, du département du Vaucluse. Y sont figurés le Rhône et la Durance, avec leurs nombreuses îles et leurs affluents dans le département, les villes principales et les routes qui les relient. Une abondante légende au bas de la carte détaille la localisation de toutes les barrières. La carte est orientée par une rose des vents ornée d'un bonnet phrygien. L'échelle est en mètres. Très belle condition.
[ÉPINAY-sur-SEINE ] Commune d'Épinay.
[1895]. 153 x 235 mm.
Plan de la commune d'Épinay publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune d'Épinay fut renommée Épinay-sur-Seine en 1920 et fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
[ÎLE de RÉ] L'Isle de Ré extraite et développée de dessus la carte de MM de l'Académie Royale par Jh R.... en 1815.
Saint-Martin-de-Ré, Les Éditions des Deux Îles, [vers 1980]. 590 x 872 mm, sur papier Arches.
Superbe reproduction dans de très belles couleurs, de très grand format, d'une carte manuscrite de l'Île de Ré, dessinée en 1815. Nos recherches dans les collections publiques ne nous ont pas permis de localiser la carte manuscrite originale. Celle-ci a probablement été dressée et dessinée d'après la carte de Cassini. Cette reproduction très décorative et de très belle qualité, a été publiée par les Éditions des Deux Îles, actives à Saint-Martin-de-Ré entre 1981 et 1995. Bel exemplaire.
[MORBIHAN] Plan du Port-Louis et de l'Orient, situé à la côte méridionale de Bretagne.
[circa 1815]. 495 x 335 mm.
Beau plan détaillé figurant les entrées de Port-Louis et de Lorient, dans le Morbihan. Tirage un peu faible, sinon bel exemplaire.
[BRETAGNE] Description du Pays Armorique à prés[ent] Bretaigne.
[Paris, Nicolas Buon, 1618]. 350 x 462 mm.
Très rare carte de la Bretagne, issue de la troisième édition de L'Histoire de Bretaigne, des roys, ducs, comtes, et princes d'icelle, depuis l'an 383 jusques au temps de Madame Anne Reyne de France dernière Duch.se de Bertrand d'Argentré, revue et augmentée par Charles d'Argentré de La Boissière, fils de l'auteur, et publiée en 1618. Verso blanc. Parue pour la première fois en 1582, la carte du juriste et historien breton Bertrand d'Argentré, est la plus ancienne carte connue de la Bretagne, et la première carte jamais tracée de cette province seule. En 1591, Maurice Bouguereau, libraire tourangeau, fait appel à Gabriel Tavernier pour en exécuter une nouvelle gravure pour son Théâtre Françoys, en apportant quelques modifications, notamment dans le titre et sa présentation, ou dans la toponymie, et en insérant son nom à droite de la ville de Nantes comme suit : Cæsaroduni Turonum in Ædibus Mauricij Boguerealdi (à Tours, chez Maurice Bouguereau). Il existe deux versions de la nouvelle gravure, l'une avec texte au dos, publiée dans le Théâtre Françoys, l'autre avec le verso blanc. C'est cette dernière version, conforme à notre exemplaire, qui sera utilisée en 1618 par l'éditeur Nicolas Buon pour illustrer la troisième édition de L'Histoire de Bretaigne, le cuivre de la carte originelle n'étant sans doute plus disponible. La Bretagne est divisée en deux régions géographiques et linguistiques, délimitées par une ligne en pointillés partant de Port toriao (Portrieux)au nord, jusqu'à Comblac (Escoublac)au sud : à l'ouest, la Basse-Bretagne, où l'on parle le breton (langue celtique), à l'est, la Haute-Bretagne, où l'on parle le gallo (langue romane). La Haute Bretagne était divisée en cinq évêchés (Dol, Nantes, Rennes, Saint- Brieuc et Saint Malo), et la Basse Bretagne en quatre évêchés (Quimpercorentin, Saint Pol de Léon, Tréguier et Vannes). Ce sont ces neuf évêchés qui représentent aujourd'hui les neuf bandes du drapeau breton, le Gwenn ha du. La carte est ornée des armoiries de la Bretagne, entourées du collier de l'ordre de l'Hermine et de l'Épi, avec la devise de l'ordre "À ma vie", de trois roses des vents indiquant les jours de lunaison, les phases de la lune, les heures des pleines mers et des basses mers. L'échelle, en lieues de Bretaigne, est représentée sous la forme d'une obélisque. La carte s'étend au nord jusqu'à Granville, Avranches et le Mont Saint-Michel, avec l'îlot Tombelaine, orthographié Tombellaye, et au sud jusqu'à l'île de Noirmoutier, orthographiée Narmortier, le lac de Grand-Lieu et le village de La Gravelle. La presqu'île de Quiberon est ici représentée comme une île. L'Atlantique, nommé La Grande Mer Occéane, est décoré de rinceaux, partant des baies vers les roses des vents. Bel exemplaire, replié. Marges courtes, excepté pour la marge haute. Gaudillat, planche n°7 (version avec texte au dos pour le Théâtre Françoys) ; Cordier, Jean-Yves, Florilège de la Bibliothèque d'Étude de Brest. Bertrand d'Argentré et la carte de la Bretagne, 2013.
[BRETAGNE] Rennes ville capitale de Bretagne et siège du Parlement.
[Paris, Nicolas Buon], 1616 [1618]. 310 x 405 mm.
Très rare vue cavalière de la ville de Rennes, dite "plan de d'Argentré". À l'instar de sa carte de la Bretagne, le plan de Rennes de d'Argentré est considéré comme le tout premier plan de la ville. Il est issu de la troisième édition de L'Histoire de Bretaigne, des roys, ducs, comtes, et princes d'icelle, depuis l'an 383 jusques au temps de Madame Anne Reyne de France dernière Duch.se de Bertrand d'Argentré, revue et augmentée par Charles d'Argentré de La Boissière, fils de l'auteur, et publiée en 1618. Cette troisième édition de L'Histoire de Bretaigne est la seule renfermant ce plan, ce qui explique sa rareté. Il a été spécialement réalisé à la demande de Charles d'Argentré pour cette édition, comme l'indique le cartouche au bas de la vue : Redon. communi hanc poligraphiam V. C. Carol. d'Argentré P. D. D. Anno 1616, qui devrait pouvoir se traduire comme suit : Vue de la ville de Rennes par Charles d'Argentré 1616. Le plan a été dessiné par G. Closche ou Cloche, dont le nom apparaît en bas à droite (Weigert, Inventaire du fonds français. Graveurs du XVIIe siècle. Tome III, Chauvel-Duvivier, 1954, p. 14). Il est orné, en haut à gauche, des armoiries de la ville de Rennes, en haut à droite, des armoiries du royaume de France. La ville est entourée de son enceinte fortifiée, dont les sept portes sont nommées : P. Mordelaize, P. Sct Michel, P. des Foulons, P. de Sct Georges, P. Blanche, P. de Toussainctz, et P. Champ Dolent. On remarque que le nord de la ville, ou Ville Haute, est nettement plus dense que le sud, ou Ville Basse, proche de la Vilaine et inondable. Bon exemplaire. Les marges gauche et droite sont très courtes, et une partie de la bordure à droite a été coupée. Leroux, Bulletin de géographie historique et descriptive, 1894 p. 364, n°72 ; Péhant, Catalogue méthodique de la bibliothèque publique de la ville de Nantes, Volume 5, 1870, p. 422, n°49023.
[PAYS BASQUE] Biarritz - Le Palais Impérial (ou la villa Eugénie).
Paris circa 1850 150 x 221 mm.
Vue de la ville de Biarritz dessinée et lithographiée à deux tons par Arnout pour la série France en miniature. Infimes rousseurs dans la marge inférieure.
[PAYS BASQUE] Biarritz - Vue générale prise du phare.
Paris circa 1850 150 x 218 mm.
Vue de la ville de Biarritz dessinée et lithographiée à deux tons par Arnout pour la série France en miniature. Petites rousseurs dans la marge gauche.
Vue générale de Rouen prise du quai St. Sever.
vers 1850 315 x 415 mm.
Belle vue animée du port de Rouen, dessinée et lithographiée par Jules Arnout. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
Excursions aériennes. Paris en ballon. Vue prise du Pavillon Marsan (Château des Tuileries).
Paris, Jeannin, Londres, Gambart, Junin & Co., 1846. 327 x 444 mm.
Belle vue aérienne de Paris, dessinée d'après nature et lithographiée à deux teintes par Louis Jules Arnout. La vue est prise au-dessus du Pavillon de Marsan, en regardant vers le sud. Au premier plan, les jardins du Carrousel et des Tuileries, animés de nombreux promeneurs ; puis la place de la Concorde, avec son obélisque et ses deux fontaines, la Fontaine des Fleuves et la Fontaine des Mers, installées entre 1835 et 1840 par l'architecte Jacques Hittorff ; et enfin les Champs-Élysées jusqu'à l'Arc de Triomphe. Sur la gauche, on voit la Seine, le Palais Bourbon et l'Hôtel des Invalides ; sur la droite, la rue de Rivoli. Dans le ciel, l'auteur a représenté sa montgolfière survolant Paris. Le Pavillon de Marsan faisait partie du Palais des Tuileries. Après l'incendie et la destruction du Palais des Tuileries lors de la Commune le 24 mai 1871, le Pavillon de Marsan fut reconstruit à entre 1875 et 1878. Il est aujourd'hui un élément du palais du Louvre, et abrite le Musée des Arts décoratifs. Le peintre et lithographe Louis Jules Arnout fut l'élève de Jean Sébastien Rouillard, et exposa à Paris, au Salon, de 1852 à 1867, des vues de grandes villes françaises et européennes. Tout comme son contemporain Alfred Guesdon, il voyageait en France et en Europe à bord d'une montgolfière, et dessinait ses vues aériennes depuis la nacelle. Il représentait sa montgolfière sur chacun de ses dessins, comme on peut la voir ici au-dessus de Paris. En 1845, le journal L'Iconographe décrivait ce tout nouveau procédé en ces termes : « Cette ingénieuse et toute nouvelle idée, exécutée avec une exquise perfection, aura une vogue immense ; c’est la première fois que des vues de villes ont été prises par ce moyen étourdissant ; aussi l’aspect en est-il des plus extraordinaires [...] leur exactitude scrupuleuse et leur exécution exquise, font, de chaque vue, un admirable panorama. Cette excellente idée sera appliquée à tous les points culminants du globe : capitales, villes importantes, ou fêtes intéressantes ». Bel exemplaire. Cachet à froid de l'artiste Jules Arnout. Salissures dans l'angle inférieur droit. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1846, p. 107 ; Dutertre, L’Iconographe, Journal des imprimeurs-lithographes et des marchands d’estampes, 1846, p. 198.
Excursions aériennes. Paris en ballon, vue prise au dessus du quartier François Ier.
Paris, Jeannin, Londres, Gambart, Junin & Co. 1846 323 x 441 mm.
Belle vue aérienne de Paris, dessinée d'après nature et lithographiée à deux teintes par Louis Jules Arnout. La vue est prise au-dessus du quartier François Ier sur la rive droite, à hauteur du pont des Invalides et du début de l'avenue des Champs-Élysées, en regardant vers l'est. Au premier plan sur la gauche, on peut voir le grand espace arboré qui accueillera le Palais de l'Industrie pour l'Exposition universelle de 1855, palais qui sera détruit en 1896 pour laisser place aux Petit et Grand Palais ; sur la droite, l'ancien pont suspendu des Invalides avec ses deux portiques, construit entre 1828 et 1829, qui sera démoli et reconstruit pour l'Exposition universelle de 1855. Dans le ciel, l'auteur a représenté sa montgolfière survolant Paris. Le peintre et lithographe Louis Jules Arnout fut l'élève de Jean Sébastien Rouillard, et exposa à Paris, au Salon, de 1852 à 1867, des vues de grandes villes françaises et européennes. Tout comme son contemporain Alfred Guesdon, il voyageait en France et en Europe à bord d'une montgolfière, et dessinait ses vues aériennes depuis la nacelle. Il représentait sa montgolfière sur chacun de ses dessins, comme on peut la voir ici au-dessus de Paris. En 1845, le journal L'Iconographe décrivait ce tout nouveau procédé en ces termes : « Cette ingénieuse et toute nouvelle idée, exécutée avec une exquise perfection, aura une vogue immense ; c’est la première fois que des vues de villes ont été prises par ce moyen étourdissant ; aussi l’aspect en est-il des plus extraordinaires [...] leur exactitude scrupuleuse et leur exécution exquise, font, de chaque vue, un admirable panorama. Cette excellente idée sera appliquée à tous les points culminants du globe : capitales, villes importantes, ou fêtes intéressantes ». Bel exemplaire. Cachets à froid de l'éditeur Henri Jeannin et de l'artiste Jules Arnout. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1846, p. 107 ; Dutertre, L’Iconographe, Journal des imprimeurs-lithographes et des marchands d’estampes, 1846, p. 198.
Excursions aériennes. Paris et ses fortifications. Vue prise en ballon au dessus du Mont Valérien.
Paris, Jeannin, Londres, E. Gambart, Junin & Co. 1847 329 x 443 mm.
Superbe et rare vue aérienne de Paris, dessinée d'après nature et lithographiée à deux teintes par Louis Jules Arnout, et coloriée à l'époque. Cette vue générale de Paris est prise au-dessus de la colline où se trouve le fort du Mont Valérien, à l'ouest de Paris, et nous donne un bel aperçu des fortifications et des forts détachés situés tout autour de Paris en 1847. Ainsi on peut voir l'enceinte de Thiers encerclant la ville. L'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, fut construite entre 1841 et 1844, à la demande de Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable. Constituée de 94 bastions, elle englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes : Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, Passy, etc. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts de l'Est, de Vanves, du Mont Valérien, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc), tous visibles sur l'estampe, tels que celui du Mont Valérien que l'on voit ici au premier plan. L'enceinte de Thiers et les forts ont été aquarellés à l'époque en rouge-orangé. Le peintre et lithographe Louis Jules Arnout fut l'élève de Jean Sébastien Rouillard, et exposa à Paris, au Salon, de 1852 à 1867, des vues de grandes villes françaises et européennes. Tout comme son contemporain Alfred Guesdon, il voyageait en France et en Europe à bord d'une montgolfière, et dessinait ses vues aériennes depuis la nacelle. Il représentait sa montgolfière sur chacun de ses dessins, comme on peut la voir ici au-dessus de Paris. En 1845, le journal L'Iconographe décrivait ce tout nouveau procédé en ces termes : « Cette ingénieuse et toute nouvelle idée, exécutée avec une exquise perfection, aura une vogue immense ; c’est la première fois que des vues de villes ont été prises par ce moyen étourdissant ; aussi l’aspect en est-il des plus extraordinaires [...] leur exactitude scrupuleuse et leur exécution exquise, font, de chaque vue, un admirable panorama. Cette excellente idée sera appliquée à tous les points culminants du globe : capitales, villes importantes, ou fêtes intéressantes ». Bel exemplaire. Cachet à froid de l'artiste Jules Arnout. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1847, p. 22 ; Dutertre, L’Iconographe, Journal des imprimeurs-lithographes et des marchands d’estampes, 1846, p. 240.
Plan de Béthune.
1727/1728. En deux feuilles jointes de 485 x 703 mm.
Très beau plan, encre et aquarelle, montrant la ville de Béthune avec les remparts de la ville qui furent renforcés sous la direction de Vauban. Le plan de la ville indique les principaux bâtiments publics, des chiffres et des lettres renvoient à une légende qui en donne les noms. À l’extérieur des fortifications sont figurés le château et le parc d’Annezin (aujourd’hui disparus), les faubourgs de la Porte d’Arras, du Rivage et de la Porte Neuve, quelques moulins, plusieurs fermes et les redoutes des Grenouilles et du Pont-Barrois. L'auteur appartient à la famille Le Royer de La Sauvagère d'Artezay (ou Artezet) qui a donné plusieurs ingénieurs militaires. Il s’agit vraisemblablement de Félix Le Royer de La Sauvagère (1707-1782), ingénieur du roi et capitaine dans le corps royal du génie, en poste à Béthune en 1727-1728. Il fit toute sa carrière dans le corps du génie et fut également connu pour sa passion pour les antiquités et les nombreux ouvrages qu’il publia sur ce sujet. L'échelle est en toises. Trace de pliure, et trace de décharge du dessin le long de cette pliure au niveau du plan de la ville. Petite déchirure anciennement doublée en bas de la feuille mais ayant légèrement «brouillé» une petite zone du dessin. Petits trous d'épingle aux angles du dessin.
Chambord. Château royal de Chambord.
Paris F. Sinnett circa 1855 236 x 277 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
Chaumont. Le château de Chaumont.
Paris F. Sinnett circa 1855 235 x 275 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
Chenonceaux. Le château de Chenonceaux.
Paris F. Sinnett circa 1855 232 x 275 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[DINAN] Place des Cordeliers à Dinan.
Paris F. Sinnett circa 1855 250 x 267 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[DINAN] Place Duguesclin à Dinan.
Paris F. Sinnett circa 1855 245 x 264 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[DINAN] Vue de Dinan prise de la Vallée des Noyers.
Paris F. Sinnett circa 1855 250 x 263 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[LA ROCHE BERNARD] Pont de La Roche Bernard.
Paris F. Sinnett circa 1855 242 x 280 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Rousseurs légères.
[LAVAL] Vue de Laval.
Paris F. Sinnett circa 1855 242 x 275 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[NANTES] Pont de la Poissonnerie à Nantes.
Paris F. Sinnett circa 1855 240 x 275 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Rousseurs légères.
Orléans. Vue prise de la rive gauche de la Loire.
Paris F. Sinnett circa 1855 242 x 275 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Rousseurs légères.
[PLOERMEL] Eglise de Plöermel.
Paris F. Sinnett circa 1855 302 x 202 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[RENNES] Hôtel de Ville de Rennes.
Paris F. Sinnett circa 1855 247 x 276 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Très légères rousseurs.
[RENNES] Palais de l'université à Rennes.
Paris F. Sinnett circa 1855 240 x 275 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Très légères rousseurs.
[RENNES] Vue de la place du Palais de justice à Rennes.
Paris F. Sinnett circa 1855 237 x 276 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Très légères rousseurs.
[RENNES] Vue du Calvaire à Rennes.
Paris F. Sinnett circa 1855 242 x 276 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
[RENNES] Vue du théâtre, à Rennes.
Paris F. Sinnett circa 1855 235 x 276 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Très légères rousseurs.
[RENNES] Vue générale de Rennes, prise de Mail d'Onges.
Paris F. Sinnett circa 1855 243 x 274 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
Rouen. Façade de l'église St. Ouen et Hôtel de la mairie.
Paris F. Sinnett circa 1855 242 x 276 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
Rouen. Vue de Rouen prise de St. Sever.
Paris F. Sinnett circa 1855 242 x 276 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bon exemplaire.
[VANNES] La Cathédrale de Vannes.
Paris F. Sinnett circa 1855 235 x 272 mm.
Estampe dessinée et lithographiée en couleurs par Asselineau. Elève de Roehn à Paris, Léon-Auguste Asselineau exposa au Salon de 1836 à 1847. Il fut connu surtout comme illustrateur et travailla pour le Moyen-Age pittoresque, dirigé par Viollet Le Duc. Bel exemplaire.
La ville, cité, université de Paris.
[Paris, Imprimerie Nationale, circa 1552-1880]. En deux feuilles pouvant former un plan de 653 x 780 mm.
Magnifique et grand plan de Paris, reproduit en héliogravure sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. Le plan de Paris de l'architecte Jacques Androuet du Cerceau, traditionnellement appelé "plan de Saint-Victor", du nom de la bibliothèque parisienne qui conservait au XVIIIe siècle l'unique exemplaire alors connu, a été gravé vers 1552. Au cours du XIXe siècle, cinq exemplaires de ce plan ont été localisés, dont deux sont encore conservés aujourd'hui. Paris est représentée vers 1550, avec le récent Pont Saint-Michel (1547), le nouvel Arsenal (1549), ou encore la porte de Nesle (1550). La rangée de maisons construites en 1552 sur le Petit Pont y figure, mais le front bastionné entre l'Arsenal et la Bastille, entrepris en 1552, est absent. Le plan est orné, en haut à gauche, des armoiries de France, entourées du collier de Saint-Michel, et en haut à droite, des armoiries de Paris, tandis que les angles sont décorés de quatre têtes d'anges aux joues gonflées, symbolisant les vents. Bel exemplaire. Légères rousseurs. Boutier, 8a, Fac-similé.
Plan général de la ville, cité, université, isles et faubourgs de Paris.
[Paris, Imprimerie Nationale, 1648-1880]. En deux feuilles pouvant former un plan d'environ 760 x 744 mm.
Superbe plan de Paris par Jean Boisseau, reproduit en héliogravure et réduit au 1/4 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan, de toute rareté, fut publiée en 1648. Il est orné d'un cartouche de dédicace aux échevins de la ville, et des armoiries de Louis XIV et d'Anne d'Autriche, la ville de Paris, de François de l'Hôpital, gouverneur de la ville, de Jérôme Fréron, prévôt des marchands de 1646 à 1649, des procureur, greffier et receveur de la ville, et des 4 échevins élus en 1647 et 1648. Le nord est placé au bas du plan. Géographe et généalogiste français, Jean Boisseau était enlumineur du roi. Bel exemplaire. Boutier, 76, Fac-similés. (autre exemplaire avec les feuilles jointes et entoilées disponible sur demande)
Plan de Paris. Levé par les ordres du Roy. Et par les soins de Messieurs les Prévost des Marchands et Eschevins.
[Paris, Imprimerie Nationale, 1676-1880]. En deux feuilles pouvant former un plan d'environ 885 x 894 mm.
Magnifique plan de Paris dit de Bullet et Blondel, reproduit en héliogravure et réduit au 1/2 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan, commandé par la prévôté des marchands et exécuté par Pierre Bullet sous la direction de François Blondel, fut publiée en 1676. Important pour la topographie de Paris sous Louis XIV, le plan de Bullet et Blondel fut le premier "plan projet", c'est-à-dire confectionné pour étudier des projets et les y reporter. Y figurent les édifices et les monuments tels que les couvents, les établissements publics et surtout les hôtels particuliers, présentés en vues perspectives. Un trait en pointillé marque la division de la ville en vingt quartiers de police, telle qu'elle a été fixée par édit en décembre 1701, avec les noms de chaque quartier. Le plan est encadré d'une large bordure de feuilles de chêne, et illustré de grandes vignettes figurant les 4 principales portes de Paris, de 2 médaillons contenant un portrait de Louis XIV et une allégorie de Lutèce, d'un plan des fontaines et d'une carte des environs de Paris. Bel exemplaire. Boutier, 115B, Fac-similé.
Le nouveau plan de Paris dressé sur les mémoires de M.r Jouvin de Rochefort, trésorier de France. Corigé, augmenté, et enrichi des veües de Versailles, et de ses bosquets, de Meudon, Fontaine-Bleau, St. Germain, et de quelques autres maisons royalles, situées aux environs.
Paris, Imprimerie Nationale, [1697-1880]. En 2 feuilles jointes de 605 x 782 mm.
L'un des plus beaux plans de Paris au XVIIe siècle, reproduit en héliogravure et réduit au 1/3 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. Ce plan, dont l'édition originale fut publiée en 1697, figure les limites des 17 quartiers de police avec les noms de leur commissaire de police, tels qu'ils existaient avant la réforme de 1702. Il est dédié à Marc René de Voyer de Paulmy, marquis d'Argenson, nommé lieutenant général de police en 1697, et orné de 25 vignettes, accompagnées chacune d'une description, représentant différents aspects des résidences royales de Versailles, Marly, Fontainebleau, Saint-Cyr, Saint-Germain-en-Laye, Meudon et Clagny. Selon la presse du moment, il est le premier plan à représenter les limites des quartiers parisiens. Bel exemplaire. Boutier, 139A, Fac-similé.
Lutetia - Paris.
[Paris, Imprimerie Nationale, 1652-1880]. En quatre feuilles pouvant être jointes pour former un plan d'environ 1,10 x 1,35 m.
Superbe plan de Paris par Jacques Gomboust, reproduit en héliogravure et réduit au 1/4 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan fut publiée en 1652. Levé en 1649, le plan de Gomboust fut le premier plan à grande échelle de Paris. Il est orné d'une vue de Montmartre, d'une vue du Louvre, et de vues des maisons royales et remarquables aux environs de Paris, décorées des armoiries royales et des armoiries du chancelier Séguier. La carte est entourée d'une frise de feuillage, avec des armoiries aux quatre angles : du maréchal de l'Hôpital, gouverneur de Paris, de Louis Séguier, sieur de Saint-Brisson, prévôt de Paris, d'antoine Le Febvre, prévôt des marchands, et de la ville de Paris. Les bordures extérieures sont occupées par une description de la ville intitulée "De l'antiquité, grandeur, richesses, gouvernement, &c. de la ville de Paris". Bel exemplaire. Mouillures marginales légères. Boutier, 84, Fac-similés, a. (autre exemplaire avec les feuilles jointes et entoilées disponible sur demande)
Paris et ses environs.
[Paris, Imprimerie Nationale, 1672-1880]. En quatre feuilles pouvant former un plan d'environ 1,10 x 1,35 m.
Superbe plan de Paris par Jouvin de Rochefort, reproduit en héliogravure et réduit au 1/4 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan fut publiée entre 1672 et 1674. Jouvin de Rochefort fut le premier à présenter Paris dans un axe Nord-Sud, la Seine étant représentée à l'horizontale, mais aussi à représenter les localités environnantes comme Montmartre ou Charonne au nord. Le plan est encadré d'une bordure florale et orné de deux vues de Notre-Dame et de l'Hôtel de Ville. Le grand cartouche de dédicace est richement orné des armes du dédicataire Simon Arnaud Seigneur de Pomponne, et de trois anges. En bas à droite figure une grande carte des environs de Paris, décorée des armoiries royales et de la ville de Paris, et entourée de cinq anges. Les monuments principaux sont représentés en élévation. Mouillures marginales, rousseurs à deux feuilles. Boutier, 112, Fac-similé. (autre exemplaire avec les feuilles jointes et entoilées disponible sur demande)
Paris en 1380.
[Paris, 1880]. 600 x 698 mm.
Grand plan dressé par Henri Legrand, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. Le plan figure Paris en 1380, date à laquelle fut construite l'enceinte de Charles Quint, l'une des 7 grandes enceintes ayant entouré Paris. Le nord est placé à gauche du plan. Bel exemplaire.
Carte ou description nouvelle de la ville, cité, universitée, et fauxbours de Paris. 1609.
[Paris, Imprimerie Nationale, 1609-1880]. En deux feuilles pouvant former un plan d'environ 872 x 890 mm.
Superbe et très grand plan de Paris par François Quesnel, reproduit en héliogravure et réduit au 2/5 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan, d'une extrême rareté, fut publiée en 1609. Le plan est orné d'un cartouche de titre, d'un portrait équestre d'Henri IV avec les armoiries de France, des représentations allégoriques de la Foi, de la Loi et de la Renommée, avec les armes de Paris, et d'un portrait en médaillon de François Quesnel. Les coins sont décorés de quatre têtes d'anges aux joues gonflées, symbolisant les vents. Le plan de Paris est la seule oeuvre cartographique majeure de Quesnel connue à ce jour. Bel exemplaire. Boutier, 41, Fac-similé. (autre exemplaire avec les feuilles jointes et entoilées disponible sur demande)
Le plan de la ville, cité, université, fauxbourgs de Paris avec la description de son antiquité.
Paris, Imprimerie Nationale, [1630-1880]. En 2 feuilles jointes et montées sur toile, formant un plan de 553 x 725 mm.
Magnifique vue de Paris à vol d'oiseau au XVIIe siècle, reproduite en héliogravure sur papier fort, publiée en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. Cette vue, dont l'édition originale, d'une extrême rareté, fut publiée en 1630, est ornée en haut à gauche des armes de France et de Paris, dans un cartouche porté par deux angelots ; en bas à droite et à gauche, deux cartouches ornés encadrent chacun un sizain. La bordure supérieure est ornée de huit vignettes, figurant de gauche à droite, le roi Louis XIII, des gentilhommes, des marchands, des "crocheteurs et villageois", des paysannes, des bourgeoises, des dames, et enfin la reine, Anne d'Autriche. Le plan de Tavernier est une mise à jour du plan de Merian de 1615, où figurent désormais le pont Marie, le pont de bois et le pont Royal, les constructions sur l'île Notre-Dame, le nouvel Hôtel du luxembourg, le nouveau Palais du Louvre, l'hôpital de la Charité, et le lotissement des "Marets du Temple". Le plan original est accompagné d'un large texte qui n'a pas été reproduit pour ce fac-similé. Bel exemplaire. Boutier, 58, Fac-similé a.
Portrait de la ville, cité, et université de Paris avec les faubours di celle.
Paris, Imprimerie Nationale, [1609-1880]. En deux feuilles jointes et montées sur toile de 620 x 776 mm.
Magnifique plan de Paris en 1609 par Vassallieu dit Nicolay, reproduit en héliogravure et réduit au 1/5 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan, d'une extrême rareté, fut publiée vers 1645. Il est orné en haut à gauche du monogramme d'Henri IV, sous les armes de France et de Navarre, entourées du grand cordon de l'Ordre du Saint-Esprit et surmontées d'une couronne fermée, en bas à droite des armes de Paris. En haut à droite figure un portrait équestre d'Henri IV : le roi vainqueur, ceint d'une couronne de laurier et monté sur un cheval caparaçonné, fait son entrrée (le 22 mars 1594 ?) dans la capitale qu'il vient de prendre, à la tête de ses troupes ; il est accueilli par une femme, revêtue d'une robe fleurdelisée, qui lui offre de sa main gauche un bateau miniature toutes voiles dehors, symbole de Paris, alors qu'elle porte sa main droite à son coeur ; un soldat à genoux implore sa clémence, au milieu des cadavres de ses compagnons d'armes. La vie et l'activité professionnelle de Nicolay restent mal connues. Ingénieur du roi dès 1585, il est l'auteur d'un important traité d'artillerie, resté manuscrit. Son plan de Paris propose sans nul doute la vision d'un ingénieur militaire : ce n'est plus la symétrie majestueuse, autour de la Seine, qui organise la représentation de Paris, comme dans les plans du siècle précédent. C'est la ville solidement fortifiée qui est ici mise en évidence : l'orientation choisie pour le plan permet en effet de grossir les fortifications récentes qui protègent la ville au nord, alors que l'université est toujours protégée par les murailles de Charles V. Quelques très légères rousseurs, petites mouillures affectant la toile au dos du plan sans incidence au recto. Boutier, 42A, Fac-similé.
Plan de la ville de Paris avec sa nouvelle enceinte. Levé géométriquement sur la méridienne de l'Observatoire. Par le C.en Verniquet. Parachevé en 1791. Dessiné et gravé par les C.ens P.T. Bartholomé, et A.J. Mathieu.
[Paris, Imprimerie Nationale, 1799-1880]. En six feuilles pouvant former un plan d'environ 1,41 x 1,65 m.
Plan monumental de Paris par Verniquet, reproduit en héliogravure et réduit au 1/3 sur papier fort, publié en 1880 dans l'Atlas des anciens plans de Paris, important atlas consacré aux plans de Paris ayant marqué l'histoire de la topographie de la ville entre 1530 et 1799. L'édition originale de ce plan fut publiée en 1799. De tous les plans du XVIIIème siècle, celui de l'architecte Edme Verniquet est le seul qui offre une vue mathématiquement exacte de la capitale, et en fait l'un des plus célèbres plans de l'histoire de la cartographie parisienne. C'est le premier plan géométral de Paris fondé sur des calculs trigonométriques, et le premier à représenter fidèlement le tracé des «rues, places publiques, marchés, quais et culs-de-sac» et les plans des édifices publics ou privés. Le plan de Verniquet, le dernier dressé au XVIIIème siècle, servit de fond topographique à la plupart des plans du XIXème siècle. L'architecte Edme Verniquet (1727-1804) débute sa carrière en Bourgogne, à la suite de son père, avant d'être appelé à Paris par Buffon (1772) qui le charge de travaux d'agrandissement sur les bâtiments du Jardin des Plantes. En 1774, il achète l'une des quatre charges de commissaire général de la voirie près le bureau des finances de Paris et commence, dès 1775 et à ses frais, les relevés nécessaires pour établir un plan des rues de Paris. De privé, le projet devient public ; il emploiera jusqu'à 60 ingénieurs et plus de 80 aides pour les opérations de relevé trigonométrique. Rousseurs, mouillure à 4 feuilles. Boutier, 369a, Fac-similés.
[ALGÉRIE/ARZEW] Port d'Arzew.
1889. 415 x 556 mm.
Plan détaillé du port d'Arzew, publié dans l'Atlas des ports de France. Petite décoloration dans les marges gauche et droite. Exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/BENI SAF] Port de Beni-Saf.
1889. 406 x 548 mm.
Grand plan détaillé du port de Berni Saf, publié dans l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/CHERCHELL & TIPAZA] I. Cherchell - II. Tipaza.
1889. 580 x 375 mm.
Plans détaillés des ports de Cherchell et de Tipaza, publiés dans l'Atlas des ports de France. Petite décoloration dans la marge haute. Exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/DELLYS] Port de Dellys.
1891. 571 x 358 mm.
Grand plan détaillé du port de Dellys, publié dans l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/GHAZAOUET & MERS-EL-KÉBIR] I. Nemours - II. Mers-El-Kébir.
1888. 580 x 383 mm.
Plans détaillés des ports de Nemours, aujourd'hui Ghazaouet, et de Mers-El-Kébir, publiés dans l'Atlas des ports de France. Petite décoloration dans les marges haute et basse. Exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/JILEL] Port de Djidjelli.
1890. 386 x 539 mm.
Plan détaillé du port de Djidjelli ou Jilel, publié dans l'Atlas des ports de France. Petite décoloration dans les marges gauche et droite. Exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/STORA & SKIKDA] I. Stora - II. Philippeville - III. Carte de la baie de Philippeville.
1892. 587 x 840 mm.
Plans détaillés des ports de Stora et de Philippeville, aujourd'hui Skikda, publiés dans l'Atlas des ports de France. Petite décoloration dans les marges gauche et droite. Exemplaire aquarellé à l'époque.
[ALGÉRIE/TÉNÈS] Port de Ténès.
1889. 577 x 372 mm.
Grand plan détaillé du port de Ténès, publié dans l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[BAIE de SEINE] Carte de Fécamp à Luc. - Baie de Seine.
1878 573 x 827 mm.
Grande carte figurant les environs de la Baie de Seine, avec les départements de la Seine-Inférieure, renommé Seine-Maritime en 1955, du Calvados et de l'Eure, lithographiée en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Elle s'étend au nord jusqu'à Fécamp, au sud jusqu'à Lisieux, à l'ouest jusqu'à Caen et à l'est jusqu'à Rouen. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[BASSIN d'ARCACHON] Bassin d'Arcachon et port de la Teste-de-Buch.
1886. 578 x 372 mm ; sous cadre.
Belle et rare carte du Bassin d'Arcachon, avec un plan du port de La-Teste-de-Buch, issue de l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics.. Elle s'étend au nord jusqu'à Ignac, au sud jusqu'aux Dunes des Préfonds, et à l'est jusqu'à Audenge. À l'intérieur du bassin figurent les chenaux et l'Île des Oiseaux. À gauche figure la presqu'île du Cap Ferret. La carte montre également le phare d'Arcachon, les débarcadères, les réservoirs à poissons, les postes de douane, les maisons forestières, ainsi que certains domaines comme la Villa Pauillac, le Chalet Lesca Piquey et la villa algérienne de l'Herbe, construite en 1865 par Léon Lesca et détruite en 1966. Elle est orientée par une rose des vents. La carte a été dressée par Georges Clavel, ingénieur des Ponts-et-Chaussées nommé ingénieur du service maritime de la Gironde en 1882, puis agent en chef du département de la Gironde en 1888. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Société historique et archéologique d'Arcachon et du Pays de Buch, Cartes anciennes du Bassin d'Arcachon, pp. 125 et 138, fig. 170.
[BAYONNE] Port de Bayonne.
1886. 405 x 537 mm.
Grand et beau plan détaillé du port de Bayonne, issu de l'Atlas des ports de France. En carton figure une carte du département des Basses-Pyrénées, centrée sur Bayonne et l'Adour. Le département sera renommé Pyrénées-Atlantiques en 1968. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[BIARRITZ] Port de Biarritz.
1885. 558 x 378 mm.
Beau plan du port de Biarritz, issu de l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[BORDEAUX] Port de Bordeaux.
1886. En deux feuilles pouvant être jointes pour former un plan de 1,28 x 0,54 m.
Très grand et beau plan détaillé du port et de la ville de Bordeaux, de près d'1,30 m de hauteur, issu de l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[BOULOGNE-sur-MER] Port de Boulogne.
1872. 415 x 533 mm.
Beau plan du port de Boulogne-sur-Mer, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[CAEN] Port de Caen.
1875. 395 x 528 mm.
Beau plan du port de Caen, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[CALAIS] Port de Calais.
1872. 565 x 358 mm.
Beau plan détaillé du port de Calais, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Le plan montre également la citadelle et la ville, avec la Place d'armes. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[CAMARGUE] Aigues-Mortes et Le Grau-du-Roi.
1891. 570 x 356 mm.
Plans détaillés des ports du Grau-du-Roi et d'Aigues-Mortes, publiés dans l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[CAMARGUE] I. Saint-Louis-du-Rhône. - II. Golfe de Fos.
1893. 840 x 560 mm.
Très grand et beau plan du port de Saint-Louis-du-Rhône en Camargue, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. En carton figure une carte détaillée du golfe de Fos. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[CANNES & ANTIBES] I. Cannes. - II. Antibes.
1894. 593 x 382 mm.
Beaux plans des ports de Cannes et d'Antibes, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[CHERBOURG] Port de Cherbourg.
1878. 846 x 537 mm.
Très grand et beau plan détaillé du port de Cherbourg, publié dans l'Atlas des ports de France. En carton figure une carte des environs de Cherbourg. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[CORSE/AJACCIO] Port d'Ajaccio.
1889. 568 x 362 mm.
Beau plan du port d'Ajaccio, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Le plan, très détaillé, montre notamment la citadelle, la ville avec ses rues, le château Conti, l'hospice Eugénie, la gendarmerie, la préfecture, le Palais de Justice, et la gare. Bel exemplaire en coloris de l'époque. Mouillure claire dans le coin inférieur droit.
[CORSE/BASTIA] Port de Bastia.
1889. 555 x 358 mm.
Très beau plan du port de Bastia, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Le plan, très détaillé, montre notamment la citadelle, la ville avec ses rues, le Palais de Justice, l'hôpital militaire, la gare, l'usine à gaz, les forts de la Croix et de Straforello, et les hauts-fourneaux de Toga. Bel exemplaire en coloris de l'époque. Mouillure claire dans le coin inférieur droit.
[CORSE/PORTO-VECCHIO] I. Porto-Vecchio. - II. Bonifacio. - III. Propriano.
1888. 568 x 380 mm.
Beaux plans détaillés des ports de Porto-Vecchio, Bonifacio et Propriano, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Le plan de Bonifacio montre notamment la citadelle, la caserne, l'hôpital, l'hospice, les écoles, et la douane. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[CORSE/SAINT-FLORENT] I. Saint-Florent. - II. Centuri. - III. Tollari. - IV. Barcaggio. - V. Macinaggio. - VI. Luri. - VII. Porticciolo. - VIII. Erbalunga.
1888. 566 x 355 mm.
Beau plan détaillé du port de Saint-Florent, entouré des plans des ports de Centuri, Tollare, Barcaggio, Macinaggio, Luri, Erbalunga et Porticciolo, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Le plan de Saint-Florent montre notamment la citadelle, les marais, et au large, la tourelle du Tignoso. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[DUNKERQUE] Port de Dunkerque.
1873. 843 x 530 mm.
Très grand et beau plan détaillé du port de Dunkerque, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[FOURAS] Port de Fouras.
1882. 575 x 370 mm.
Beau plan du port de Fouras, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Exemplaire en coloris de l'époque. Rousseurs.
[HONFLEUR] Port de Honfleur.
1875. 395 x 531 mm.
Beau plan du port de Honfleur, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[LANDERNEAU] Port de Landerneau.
1879. 395 x 531 mm.
Beau plan du port de Landerneau dans le Finistère, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[LA ROCHELLE] Port de La Rochelle.
1885. 857 x 547 mm.
Grand et beau plan détaillé du port et de la ville de La Rochelle, issu de l'Atlas des ports de France. En carton figure une carte des environs de La Rochelle, montrant une partie de l'île de Ré. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[LE CROISIC] Port du Croisic.
1879. 572 x 365 mm.
Beau plan du port du Croisic, issu de l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[LE HAVRE] Port du Havre.
1874. 563 x 807 mm.
Très grand et beau plan du port du Havre, lithographié en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[LE POULIGUEN & PORNIC] I. La Turballe. - II. Le Pouliguen. - III. Pornic.
1879. 580 x 375 mm.
Beaux plans des ports de La Turballe, Le Pouliguen et Pornic, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[MARTIGUES] I. Étang de Caronte. - II. Martigues.
1893. 386 x 540 mm.
Belle planche figurant le port de Martigues et l'étang de Caronte, lithographiée en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. L’étang de Caronte est un ancien étang qui reliait la mer Méditerranée à l'étang de Berre, et Martigues à Port-de-Bouc. L'actuel canal de Caronte a été creusé sur cet ancien étang. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[MORBIHAN] I. Hennebont. - II. Port-Louis et Locmalo. - III. Auray.
1879. 570 x 380 mm.
Beaux plans des ports d'Hennebont, Port-Louis, Locmalo et Auray, dans le Morbihan, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[NANTES] Port de Nantes.
1883. 0,60 x 1,07 m.
Très grand et beau plan détaillé du port de Nantes de plus d'un mètre de largeur, issu de l'Atlas des ports de France. En carton figure un plan plus étendu de la ville, côté rive droite de la Loire. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[NOIRMOUTIER] Port de Noirmoutier.
1882. 395 x 531 mm.
Beau plan du port de Noirmoutier, issu de l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[OLÉRON] I. Le Chapus. - II. Le Château. - III. Le Douhet. - IV. Saint-Denis. - V. La Cotinière.
1884. 410 x 576 mm.
Beaux plans de cinq ports, dont quatre situées sur l'île d'Oléron, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Exemplaire en coloris de l'époque. Rousseurs.
[OUISTREHAM] I. Embouchure de l'Orne. - II. Oyestreham.
1871. 578 x 357 mm.
Beaux plans de l'embouchure de l'Orne et du port de Ouistreham, lithographiés en couleurs pour l'Atlas des ports de France, publié sous la direction du Ministère des Travaux Publics. Bel exemplaire en coloris de l'époque.
[ROCHEFORT] Port de Rochefort.
1885. 590 x 386 mm.
Beau plan détaillé du port de Rochefort, issu de l'Atlas des ports de France. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.