1288 résultats

AA (Pieter van der).

[ARTOIS] Carte d’Artois.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 223 x 296 mm.

Belle carte de l’Artois, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries de l’Artois et d’un paysage. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[BRETAGNE] Carte du gouvernement de Bretagne.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 222 x 298 mm.

Belle carte de la Bretagne, issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries de la Bretagne, et illustré d'un paysage de campagne. Bel exemplaire, replié. Gaudillat, 36.

AA (Pieter van der).

[GUYENNE & GASCOGNE] Carte du gouvernement de Guyenne et Gascogne.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 223 x 299 mm.

Belle carte de la Guyenne et de la Gascogne, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries de l’Aquitaine, d’attributs militaires et d’un paysage. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[LANGUEDOC] Carte du gouvernement de Languedoc.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 224 x 297 mm.

Belle carte du Languedoc, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries du Languedoc figurant la croix de Toulouse et d’un paysage. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[LORRAINE] Carte de Lorraine.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 227 x 297 mm.

Belle carte de la Lorraine, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré d’un paysage animé. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[LYONNAIS] Carte du gouvernement de Lyonnois.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 223 x 297 mm.

Belle carte du Lyonnais, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries de la ville de Lyon, de reliures, d’une figure allégorique et d’un paysage. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[ORLÉANAIS] Carte du gouvernement d’Orléanois.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 224 x 297 mm.

Belle carte de l’Orléanais, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries du Duché d’Orléans, d’un personnage en habit militaire et d’un paysage de montagne. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[PICARDIE] Carte du gouvernement de Picardie.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 222 x 296 mm.

Belle carte de la Picardie, dressée d’après les observations de l’Académie Royale des Sciences. Elle est issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré de deux personnages en habit militaire et d’un paysage. Bel exemplaire, replié.

AA (Pieter van der).

[PROVENCE] Carte du gouvernement de Provence.

Leide, Pierre Vander Aa, [1729]. 222 x 295 mm.

Belle carte de la Provence, issue de La Géographie moderne, naturelle, historique & politique, par Abraham du Bois, publiée par Pierre van der Aa en 1729. Elle est ornée d'un ravissant cartouche de titre décoré des armoiries de la Provence, et illustré d'un paysage maritime. Bel exemplaire, replié.

ADAM.

[ORLÉANS] Nouveau plan de la ville d'Orléans, en perspective cavalière. Dédié à Mr. le vicomte de Riccé, préfet du département du Loiret.

Orléans, Alphonse Gatineau, 1831. En deux feuilles jointes formant un plan de 588x 836 mm.

Grand et beau plan de la ville d'Orléans, dressé par Adam, géomètre de la ville d'Orléans, et lithographié par Pellée, gérant de l'imprimerie lithographique de Vergnaud-Romagnési à Orléans. Il est dédié au vicomte Gabriel Marie de Riccé, préfet du Loiret de 1819 à 1831. Ce plan cavalier montre tous les bâtiments, maisons individuelles, monuments, édifices publics et églises, en élévation. On remarque bien en particulier la cathédrale Sainte-Croix, dont le dessein est volontairement plus foncé que le reste des bâtiments. En haut à droite figurent une rose des vents et un tableau des 22 édifices, monuments et autres objets remarquables de la ville : cathédrale, préfecture, Hôtel Dieu, mairie, salle de spectacle, gendarmerie, jardin des plantes ou encore la poissonnerie. La ville est divisée en quatre quartiers, dont les limites ont été aquarellées. Le plan ne porte pas de mention d'éditeur, mais dans le coin inférieur droit figure le tampon d'Alphonse Gatineau, imprimeur-libraire à Orléans, qui publia également les plans d'Orléans par Charles Pensée. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque. Bulletin de la Société archéologique et historique de l’Orléanais, Plans et perspectives d’Orléans, 1994, pp. 9 & 11 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1831, p. 408, n°27.

AIGUES-MORTES. MANUSCRIT.

[Carte des marais et canaux entre Arles et Aigues-Mortes].

[circa 1750]. En 2 feuilles jointes de 0,39 x 1,12 m.

Grande carte manuscrite, encre noire et lavis, de la région comprise entre Arles à l'est, et Aigues-Mortes et le fort de Peccais à l'ouest, et portant la partie amont du Petit-Rhône, l'emplacement des villes, les étangs de Coute et d'Escamandre, les marais et le réseau de canaux qui les relient (du Bourgidou, la Grande Ravine, la Radelle, Varene, Sylveréal, robine de S. Gilles), et la Vistre. Titre au dos, d'une écriture postérieure: marais de Beaucaire et canaux de dessèchement. L'échelle est en toises. Belle condition, replié.

AIGUES-MORTES. MANUSCRIT.

[Fort de Peccais et marais salant de l’Abbé].

[circa 1720]. 430 x 384 mm.

Beau plan manuscrit, encre et aquarelle, d’une partie des marais de la Petite Camargue près d’Aigues-Mortes. Y figurent le plan du fort de Peccais (aujourd’hui en ruine) avec ses bastions, le plan des bâtiments intérieurs, et les deux fossés qui l’entourent, les jardins et cultures à l’est du fort, le chemin qui mène à Aigues-Mortes, la jonction des canaux de Bourgidou et de Sylvéréal, le marais de Calvière et une partie du salin de l’Abbé avec ses bassins (partènements et tables) et le plan de plusieurs bâtiments. En 1248, Saint-Louis acheta une partie des terres de Peccais à l'abbaye bénédictine de Psalmody (qui exploitait le sel sur ce territoire) et fit construire la ville d'Aigues-Mortes. L'abbaye créa alors un nouveau salin qui prit le nom de salin de l'Abbé. Puis le fort de Peccais fut construit en 1568 pour protéger les marais salants et les canaux qui permettaient le transport du sel, dont le roi avait le monopole de la distribution et dont il tirait des revenus importants grâce à l'impôt de la gabelle. Vers la même époque, l'abbaye de Psalmody fut sécularisée, ses bâtiments abandonnés, et le marais de l'Abbé devint propriété de l'évêché d'Alès, qui l'exploite toujours au moment où ce plan est réalisé. Quelques rousseurs et une tache d’encre noire.

AIGUES-MORTES. MANUSCRIT.

Plan géométrique du domaine de Labadier appartenant à Mrs les héritiers de Louis Mourgues.

[circa 1840]. 543 x 725 mm, sur papier calque et monté sur papier.

Plan manuscrit, encre brune et lavis, de la région comprise entre les canaux de Saint-Jean, de Peccais à Sylveréal, le Petit Rhône et la Méditerranée (correspondant à la Petite Camargue), et portant les étangs, les herbage, les pinèdes, les salines, et les chemins. Les limites des propriétés sont marquées d'un trait rouge avec le nom de leurs propriétaires. L'échelle est en mètres. Traces de pliures ; décharge de quelques indications inscrites à l'encre noire. Quelques petits trous dans le papier dus à l'encre noire utilisée.

AIR FRANCE.

AIR FRANCE. Réseau Aérien Mondial.

Paris, Perceval, 1956. Lithographie en couleurs de 477 x 704 mm.

Belle affiche publicitaire figurant le réseau aérien de la compagnie Air France dans le monde, réalisée et publiée en 1956. Les lignes en exploitation sont indiquées par un trait en continu, les lignes en projet par un trait en pointillé. Ces dernières concernent notamment les Etats-Unis et l'Australie. La carte est ornée d'une rose des vents avec le logo Air France en son centre, et de deux avions de ligne de la flotte Air France, le Super Constellation Lockheed, construit en 1952 pour les longs courriers, et le Vickers Viscount, construit en 1953 pour les moyens courriers. Au bas de la carte figure le slogan "Sur le plus long réseau du monde, les appareils les plus modernes", et en anglais "On the world's largest air network, the world's best new aircraft". Bel exemplaire, non entoilé.

AIR FRANCE.

Réseau Aérien Postal. Air France.

Paris, Perceval, 1948. Lithographie en couleurs de 585 x 955 mm.

Belle affiche publicitaire figurant le réseau aérien de la compagnie Air France dans le monde, réalisée et publiée en 1948. Elle est ornée d'une rose des vents avec le logo Air France en son centre. Les lignes en exploitation sont indiquées par un trait en continu, les lignes en projet par un trait en pointillé, parmi lesquelles Singapour-Sydney ou Canton-Manille. En haut à droite figure une carte plus détaillée du réseau aérien en Europe. Dessinateur, graveur, affichiste et illustrateur français, Lucien Boucher (1889-1971) est surtout connu pour sa longue collaboration avec la compagnie Air France, pour laquelle il a réalisé une série d'affiches publicitaires et de planisphères en couleurs destinés à décorer les bureaux de vente de la société. Quelques rousseurs dans la partie gauche de la carte. Exemplaire en pleins coloris de l'époque, non entoilé.

ALIBERT (Jean).

Nouveau Plan routier de la ville et faubourgs de Paris en 1780.

Paris, Alibert, Esnauts et Rapilly, 1780. En 24 sections jointes de 543 x 805 mm, monté sur toile.

Première édition de ce beau plan de Paris, orné d'un cartouche de titre aux armes de la ville de Paris, figurant un vaisseau, symbole de la corporation des marchands de l'eau qui donna ensuite naissance à la municipalité de Paris. Sur les côtés figure une table alphabétique des rues, paroisses, collèges, hôpitaux, édifices remarquables, places etc. Ce plan reproduit de très près le plan routier de Lattré publié entre 1768 et 1788 (Boutier, 286). Bon exemplaire. Boutier, 323A.

ALLARD (Carel).

[ÎLE DE RÉ] L'Isle de Ré avec ses environs ; où est représenté le bombardement de S.t Martin, et d'Olone, par l'armée navalle de Sa Majesté Britannique, le 15 & 16 juillet 1696.

Amsterdam, chez l'auteur, et chez Covens & Mortier, [circa 1700]. 496 x 579 mm.

Très rare et superbe représentation du bombardement de Saint-Martin-de-Ré et des Sables d'Olonne par la flotte anglo-hollandaise les 15 et 16 juillet 1696, lors de la guerre de la Ligue d'Augsbourg, qui opposa le roi de France Louis XIV à une large coalition européenne. La carte est ornée d'un titre posé sur une draperie portée par trois anges, décoré en tête de la représentation d'une explosion, de canons, bombardes et étendards. Elle s'étend au nord jusqu'à La Tranche-sur-Mer, au sud jusqu'à Angoulins, orthographiée Angolin, avec la ville de La Rochelle bien détaillée, et l'île de Ré. Les villes de Saint-Martin-de-Ré (place-forte conçue par Vauban entre 1681 et 1685) et de La Rochelle, ainsi que le fort du Martray, le fort de La Prée et le "fort démoli" (Fort Louis) près de La Rochelle, sont signalés par une enceinte fortifiée aquarellée en rouge. Au bas de la carte figure une vue du bombardement des Sables d'Olonne. Au large de Saint-Martin-de-Ré et de l'île d'Oye (Loix, aujourd'hui rattachée à Ré), figurent les vaisseaux de la flotte anglaise en ordre de bataille. Au nord-ouest de l'île se trouvent la liste et le nombre de vaisseaux de guerre, frégates, galiotes à bombes (bombardes) et brûlots (navires chargés d'explosifs lancés sur les vaisseaux ennemis). Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque, sur papier fort. Gaudillat, pp. 84-85 ; Delayant, Bibliographie rochelaise. Œuvre posthume de Léopold Delayant, 1882, p. 322, n°1104.

ALLARD (Carel).

[ÎLES d'HYÈRES/FORT de BRÉGANÇON] Les isles d'Hyères et le Fort de Brégançon, et autres forces de Provence etc.

Amsterdam, [circa 1700]. 225 x 261 mm.

Très rare et belle carte figurant la baie de Hyères avec les îles de Porquerolles, de Port-Cros et du Levant, également appelée île du Titan. Au centre de la baie s'élèvent l'île et le Fort de Brégançon, ici orthographié Brigançon. L'île est encerclée de trois voiliers. Dans la baie sont mentionnés la Pointe de Loube, actuel Cap de Léoube, la Pointe de l'Argentière, les salines, la Tour de Gapeau, le Port de Pradines ou de la Badine, et le Cap de l'Estérel. La carte montre également la presqu'île de Giens, la plage de l'Almanarre, ici appelée Plage de la Manarre, la Pointe Escampo-Barriou appelée Cap de Scampebariou, et un groupe d'îlots nommés Les Frères. La partie haute de la carte est occupée par des plans des citadelles d'Aix, Saint-Tropez, Nice et Embrun, et une carte du Golfe de Grimaud ou Golfe de Saint-Tropez. Chacune des vignettes est accompagnée d'un texte en néerlandais. Très rare. Coloris de l'époque. Exemplaire bruni, piqûres dans la marge droite, marge supérieure coupée.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe).

[PARIS 1er et 2ème arrondissements] 1.er arrond.t du Louvre - 2.e arrond.t de la Bourse.

Paris, [1878]. 570 x 720 mm.

Très grand plan des 1er et 2ème arrrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe).

[PARIS 3ème et 4ème arrondissements] 3.e arrond.t du Temple - 4.e arrond.t de l'Hôtel de Ville.

Paris, [1878]. 601 x 727 mm.

Très grand plan des 3ème et 4ème arrrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe).

[PARIS 7ème arrondissement] 7.e arrond.t du Palais Bourbon.

Paris, [1878]. 605 x 784 mm.

Très grand plan du 7ème arrrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Invalides, Saint Thomas d'Aquin, École Militaire et Gros Caillou. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe).

Plan indiquant les rues projetées par la Commission dite des Artistes en exécution de la loi du 4 avril 1793 pour la division des grandes propriétés nationales, l'embellissement et l'assainissement de la commune de Paris.

Paris, [1889]. 610 x 768 mm.

Beau plan figurant Paris en 1796. Il a été dressé par Bernard, géomètre de la Ville, sous la direction de l'historien Taxil, à l'occasion de l'Exposition universelle de 1889, et gravé par Wuhrer pour l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Le plan dit de la Commission des Artistes est un plan très particulier, reconstitué et peut-être fictif, son existence n'ayant pas été formellement établie. De 1793 à 1797, des architectes (les commissaires de la voirie et quelques architectes de plus grand renom), ont constitué une commission officielle regroupant donc les "Commissaires artistes préposés pour la division, l'embellissement et l'assainissement de la commune de Paris". Il s'agissait d'appliquer la loi du 4 avril 1793 selon laquelle les Biens nationaux pourraient être lotis. Un mois plus tard, un concours est organisé pour lotir la Terrasse des Feuillants, future rue de Rivoli. Les artistes vont proposer un certain nombre d'ouvertures de rues nouvelles à travers les couvents confisqués en 1790, afin de lotir leurs terrains. Lors de ses réunions, la Commission évoque fréquemment un "plan général" sur lequel seront reportés la "totalité des projets", ainsi qu'un "grand plan de la commune" sur lequel est effectué ce report. La principale opération concernera l'avenue de l'Observatoire, dont les travaux seront achevés en 1816. Parmi les projets très partiellement réalisés figurent de nombreux percements (parmi lesquels la future rue d'Ulm) dans les quartiers sud-est (où les couvents étaient nombreux), formant un réseau cohérent entre l'avenue de l'Observatoire et le Jardin des Plantes, l'aménagement des terrains des Célestins et de l'Arsenal, et évidemment la rue de Rivoli. Ce plan des Artistes a malheureusement disparu, ou n'a peut-être jamais existé. Le présent plan a donc été reconstitué d'après des textes d'archives et les procès-verbaux des séances du 3 Germinal et du 24 Fructidor An IV (23 mars et 10 septembre 1796). Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, p. 82.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[EAUX de PARIS] Eaux de Paris. Canalisation au 1er janvier 1889.

Paris, [1889]. 612 x 770 mm.

Remarquable plan de Paris figurant le réseau d'eau de la ville au 1er janvier 1889, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les eaux de source, de rivière (Seine, Marne et Ourcq), les conduites de refoulement, les aqueducs et les réservoirs sont distingués de six couleurs. Entre 1852 et 1869, sous l'impulsion des travaux du baron Haussmann et de l'ingénieur Belgrand, le réseau d'eau a augmenté de 850 km et sa longueur totale a doublé. Belgrand lance un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. En 1855 Haussmann et Belgrand ont l’autorisation de principe du Conseil de Paris pour alimenter la capitale en eau de source. Belgrand devient directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et met en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Le plan illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. Tout autour de la ville, on voit l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[EAUX de PARIS] Eaux de Paris. Canalisation au 1er janvier 1878.

Paris, [1889]. 612 x 770 mm.

Remarquable plan de Paris figurant le réseau d'eau de la ville au 1er janvier 1878, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les eaux de sources, de rivières (Seine, Marne et Ourcq), les conduites de refoulement, l'aqueduc de l'Ourcq et les réservoirs sont distingués de cinq couleurs. Entre 1852 et 1869, sous l'impulsion des travaux du baron Haussmann et de l'ingénieur Belgrand, le réseau d'eau a augmenté de 850 km et sa longueur totale a doublé. Belgrand lance un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. En 1855 Haussmann et Belgrand ont l’autorisation de principe du Conseil de Paris pour alimenter la capitale en eau de source. Belgrand devient directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et met en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Le plan illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. Tout autour de la ville, on voit l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[EAUX de PARIS] Les Eaux de Paris en 1854.

Paris, [1889]. 612 x 768 mm.

Remarquable plan de Paris figurant le réseau d'eau de la ville en 1854, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les eaux de l'Ourcq, de la Seine, du puits de Grenelle et des aqueducs des eaux d'Ourcq et de sources sont distingués de quatre couleurs. Les limites de Paris sont ici fixées par le Mur des Fermiers généraux, enceinte construite entre 1784 et 1790, et dont l'objectif était de permettre la perception, aux points de passage, d'un impôt sur les marchandises entrant dans la ville. Il fut détruit en 1860 lors de l'extension de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 11ème arrondissement] 11.e arrond.t de Popincourt.

Paris, [1878]. 602 x 742 mm.

Très grand plan du 11ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Folie Méricourt, Saint-Ambroise, Roquette et Sainte-Marguerite. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 12ème arrondissement] 12.e arrond.t de Reuilly.

Paris, [1878]. 630 x 798 mm.

Très grand plan du 12ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Bel Air, Picpus, Bercy et Quinze Vingts. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 13ème arrondissement] 13.e arrond.t des Gobelins.

Paris, [1878]. 620 x 786 mm.

Très grand plan du 13ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Salpêtrière, Gare, Maison Blanche et Croulebarbe. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 83 à 94 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 14ème arrondissement] 14.e arrond.t de l'Observatoire.

Paris, 1888. 618 x 773 mm.

Très grand plan du 14ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Mont Parnasse, Santé (renommé quartier du Parc-de-Montsouris en 1937), Petit Montrouge et Plaisance. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 75 à 84 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 15ème arrondissement] 15.e arrond.t de Vaugirard.

Paris, 1888. 622 x 774 mm.

Très grand plan du 15ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Saint-Lambert, Necker, Grenelle et Javel. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 68 à 77 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 16ème arrondissement] 16.e arrond.t de Passy.

Paris, 1888. 1,03 x 0,59 m.

Très grand plan dépliant du 16ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Auteuil, Muette, Porte Dauphine et Bassins (renommé quartier de Chaillot en 1896). Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 52 à 67 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le plan montre également une partie du bois de Boulogne. En 1852, la propriété du bois de Boulogne fut cédée par Napoléon III à la Ville de Paris, qui fut alors chargée d'aménager l'espace vert en quatre ans. Les travaux débutèrent l'année suivante, dirigés par Haussmann, qui créa pour son adjoint Jean-Charles Alphand, le Service des Promenades et Plantations de Paris. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 17ème arrondissement] 17.e arrond.t des Batignolles Monceaux.

Paris, [1878]. 615 x 743 mm.

Très grand plan du 17ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Ternes, Plaine Monceau, Batignolles et Épinette. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 40 à 52 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 18ème arrondissement] 18.e arrond.t de la Butte Montmartre.

Paris, 1888. 593 x 763 mm.

Très grand plan du 18ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Grandes Carrières, Clignancourt, Goutte d'Or et Chapelle. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 31 à 40 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 19ème arrondissement] 19.e arrond.t des Buttes Chaumont.

Paris, 1888. 650 x 765 mm.

Très grand plan du 19ème arrondissement de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. L'arrondissement est divisé en quatre quartiers : Villette, Pont de Flandre, Amérique et Combat. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. On voit sur ce plan une partie de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 18 à 33 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. On remarque également le parc des Buttes-Chaumont, aménagé par Adolphe Alphand, responsable des parcs et jardins de Paris, et inauguré le 1er avril 1867, à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 20ème arrondissement] 20.e arrond.t de Ménilmontant.

Paris, [1878]. 790 x 571 mm.

Très grand plan du 20ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Belleville, Saint-Fargeau, Père Lachaise et Charonne. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. La place de la Nation est ici encore appelée place du Trône. Elle prendra son nom actuel lors de la fête nationale du 14 juillet 1880. On voit sur ce plan l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (bastions 10 à 20 sur ce plan), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 5ème et 6ème arrondissements] 5.e arrond.t du Panthéon - 6.e arrond.t du Luxembourg.

Paris, 1888. 600 x 773 mm.

Très grand plan des 5ème et 6ème arrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Chacun des arrondissements est divisé en quatre quartiers. Les limites des arrondissements et des quartiers sont marquées par deux types de traits en rouge. Les propriétés ainsi que les projets de voirie sont numérotés et signalés en rouge. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris ont été créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux ont été annexés à Paris. L'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris est un atlas illustrant les Grands Travaux du baron Haussmann. Cette édition de 1888 a été publiée sous l'administration d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896, et sous la direction d'Adolphe Alphand. Le département de la Seine comprenait Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Vallée, 1218-1222 (pour les autres éditions).

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 8ème arrondissement] 8.e arrond.t de l'Élysée.

Paris, [1878]. 573 x 703 mm.

Très grand plan du 8ème arrondissement de Paris, divisé en quatre quartiers : Champs-Élysées, faubourg du Roule, Madeleine et Europe. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et est issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[PARIS 9ème et 10ème arrondissement] 9.e arrond.t de l'Opéra - 10.e arrond.t de l'Entrepôt.

Paris, [1878]. 604 x 812 mm.

Très grand plan des 9ème et 10ème arrondissements de Paris, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié en rouge et noir par Wuhrer, et issu de l'Atlas municipal des vingt arrondissements de la Ville de Paris. Les édifices publics sont en grisé. Les 20 arrondissements de Paris furent créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

Paris en 1854.

Paris, [1889]. 606 x 768 mm.

Beau plan figurant Paris en 1854, soit un an après la nomination du baron Haussmann en tant que préfet de Paris, et le début des grands travaux de rénovation, qui se poursuivront jusqu'en 1870. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer, et est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les opérations de voirie exécutées de 1789 à 1854 sont indiquées par des teintes jaunes et rouges, et accompagnées de l'année d'achèvement. Les limites de Paris sont ici fixées par le Mur des Fermiers généraux, enceinte construite entre 1784 et 1790, et dont l'objectif était de permettre la perception, aux points de passage, d'un impôt sur les marchandises entrant dans la ville. Il fut détruit en 1860 lors de l'extension de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

Paris en 1889.

Paris, [1889]. 612 x 770 mm.

Beau plan de Paris en 1889, date de l'Exposition Universelle, lors de laquelle fut inaugurée la Tour Eiffel. Il a été dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer, et est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Les opérations de voirie exécutées de 1871 à 1889 sont indiquées par des teintes jaunes et rouges, et accompagnées de l'année d'achèvement. Les noms des cimetières parisiens sont reportés dans les marges. Le plan illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. La ville est entourée de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[REVÊTEMENT des CHAUSSÉES] Mode de revêtement des chaussées dans Paris en 1889.

Paris, [1889]. 612 x 770 mm.

Beau plan de Paris dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Le plan figure les types de revêtement et de pavage des chaussées au 1er janvier 1889, distingués de 5 couleurs : asphaltes en bleu, bois en rouge, empierrements en jaune, pierre de deux traits noirs, et terre en vert. L'empierrement des chaussées en jaune domine nettement. Le plan illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. La ville est entourée de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[TRANSPORTS en COMMUN] Transports en commun. Itinéraires dans Paris en 1889.

Paris, [1889]. 616 x 770 mm.

Beau plan de Paris dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Le plan figure les types de transport parisiens à la date de 1889, distingués de 3 couleurs : en rouge, les 35 lignes d'omnibus, en bleu, les 37 lignes de tramways, en noir, les 10 lignes de chemins de fer, et en rouge à nouveau, les 3 lignes de bateaux sur la Seine (bateaux mouches, express et hirondelles). Il illustre également les Grands Travaux de Paris sous le second Empire, conduits de 1852 à 1870 par Napoléon III et le baron Haussmann, préfet de Paris. La ville est entourée de l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALPHAND (Jean-Charles Adolphe) & FAUVE (L.).

[ÉGOUTS de PARIS] Les Égouts de Paris en 1789.

Paris, [1889]. 608 x 768 mm.

Beau plan de Paris figurant le réseau d'égouts de la ville en 1789, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Le réseau est illustré de trois couleurs : en rouge, les égouts maçonnés, en bleu, les égouts découverts, et en vert, le cours de la rivière de Bièvre, exutoire des eaux d'égout d'une partie de la Rive gauche. On constate qu'en 1789, le réseau était quasiment inexistant, et couvrait essentiellement la rive droite de la Seine. Après cette date, et à partir du XIXe, il commença à se développer, mais il ne couvrait que le centre de Paris. Il faudra attendre les grands travaux du baron Haussmann pour que le réseau se développe dans toute la ville. Les limites de Paris sont ici fixées par le Mur des Fermiers généraux, enceinte construite entre 1784 et 1790, et dont l'objectif était de permettre la perception, aux points de passage, d'un impôt sur les marchandises entrant dans la ville. Il fut détruit en 1860 lors de l'extension de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.

ALVAR TOUSSAINT (Georges).

Paris divisé en 12 arrondissemens et 48 quartiers.

Paris, Dusillion, 1842. 0,75 x 1,11 m, replié.

Grand et beau plan de Paris, dressé par l'architecte Alvar Toussaint, revu et augmenté par Victor Levasseur, géographe et ingénieur-géomètre du cadastre. Il est orné d'une grande vue panoramique à 360° prise depuis le Pont Neuf, avec la statue équestre d'Henri IV de dos sur la gauche, et montrant la pointe de l'Île de la Cité. Il est accompagné d'une carte circulaire figurant les environs et fortifications de Paris, d'une longue table alphabétique des rues, places, passages, quais, barrières, etc, et d'une table des rues récemment créées, comme la rue de l'Hôtel de Ville (1835) ou la rue Sainte-Opportune (1836). Bon exemplaire, contours aquarellés à l'époque. Petites déchirures marginales, petit manque au niveau de deux pliures, manque de papier dans les marges inférieure et droite comblé avec du papier moderne. Vallée, 3052.

ANDREWS (John).

A Plan of the city of Paris.

Londres, J. Stockdale, 1800. 230 x 255 mm.

Beau plan de Paris, gravé par John Andrews, et issu de l'ouvrage A geographical, historical and political description of the empire of Germany, Holland, The Netherlands, Switzerland, Prussia, Italy, Corsica and Sardinia, publié par John Stockdale à Londres en 1800. Il est orné d'un cartouche de titre décoré d'attributs du commerce et des sciences. Dans les angles figurent 78 légendes numérotées pour les monuments et lieux principaux de la ville, écrites en anglais. Bel exemplaire. Petites déchirures marginales restaurées. Boutier, 300D.

ANDRIVEAU-GOUJON (Eugène).

Environs de Paris dans un rayon de 30 kilomètres.

Paris, E. Andriveau-Goujon, 1881. En 36 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 0,83 x 1,05 m, monté dans une reliure en percaline de couleur verte avec titre en lettres dorées sur le premier plat ; étiquette de l'éditeur au dos du plan.

Grande carte de Paris et ses environs, montrant, en rouge, les anciens forts, les nouveaux forts et batteries, les forts projetés, les chemins de fer exécutés, en construction ou projetés, ainsi que les lignes de tramways. Les anciens forts, au nombre de 16, furent érigés lors de la construction de l'enceinte de Thiers (du nom de l'homme politique qui conçut le projet), entre 1841 et 1844, à la demande de Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable. Constituée de 94 bastions, elle englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes : Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, Passy, etc. Les nouveaux forts furent quant à eux construits entre 1874 et 1885, à environ 20 kilomètres de Paris, selon le système Séré de Rivières, du nom de l'officier du génie Raymond Adolphe Séré de Rivières, surnommé le Vauban du XIXe siècle. Bel exemplaire en coloris de l'époque. Défauts d'usage à la reliure.

ANDRIVEAU-GOUJON (Eugène).

France.

Paris, E. Andriveau-Goujon, 1880. En quatre feuilles pouvant être jointes pour former une carte de 0,97 x 1,26 m.

Belle carte murale de la France, issue de l'Atlas universel publié par Eugène Andriveau-Goujon. En carton, la Corse. Bel exemplaire en coloris de l'époque.

ANDRIVEAU-GOUJON (Eugène).

Plan géométral de Paris et de ses agrandissements à l'échelle d'un millimètre pour 10 m (10,1000).

Paris, E. Andriveau-Goujon, 1860. En 36 sections jointes et montées sur toile, de 1 x 1,49 m.

Plan monumental de Paris, illustrant les travaux d'agrandissement du baron Haussmann. C'est l'un des tout premiers plans figurant le Paris moderne. La première édition date de 1858. La présente édition de 1860 a été revue et mise à jour par l'architecte Alfred Potiquet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque. Pinon & Le Boudec, p. 107.

ANDRIVEAU-GOUJON (Eugène).

Plan géométral de Paris et de ses agrandissements à l'échelle d'un millimètre pour 10 m (10,1000).

Paris, E. Andriveau-Goujon, 1862. En 36 sections jointes et montées sur toile, formant un plan de 1,04 x 1,54 m ; étiquette de l'éditeur au dos ; plan placé dans une chemise en percaline verte de l’éditeur avec une pochette contenant la liste des rues sur 27 pages, titre en lettres dorées sur le premier plat et sur le dos, marque de l’éditeur sur le second plat figurant un globe terrestre centré sur Paris, petites pinces métalliques retenant un ruban (détaché) sur le premier plat.

Beau plan monumental de Paris, illustrant les travaux d'agrandissement du baron Haussmann. Ce plan, publié en 1862, figure parmi les tout premiers plans du Paris moderne. La première édition date de 1858. La présente édition de 1862 a été revue et mise à jour par l'architecte Alfred Potiquet. Paris est divisée en vingt arrondissements. Ces derniers furent créés en 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Chaque arrondissement, aquarellé d'une couleur, est divisé en 4 quartiers. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque, accompagné de la nomenclature des rues, et dans une rare et jolie reliure ornée d'un globe terrestre. Vallée, 127 (édition de 1858).

ANDRIVEAU-GOUJON (Eugène).

Plan géométral de Paris à l'échelle de 0.001 pour 10 mêtres (1/10,000).

Paris, E. Andriveau-Goujon, 1879. En 32 sections jointes et montées sur toile de 1,05 x 1,56 m ; étiquette de l'éditeur au dos.

Plan monumental de Paris, illustrant les travaux d'agrandissement du baron Haussmann commencés en 1852, et l'un des premiers plans figurant le Paris moderne. Le plan montre la division de Paris en ses 20 arrondissements créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan montre les percées les plus importantes, telles que le boulevard Sébastopol, inauguré en 1858, dont la portion sur la rive gauche sera renommée boulevard Saint-Michel en 1867, et les plus récentes, comme l'avenue de l'Opéra, inaugurée en 1879. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.

ANDRIVEAU-GOUJON (Eugène).

[TRAVAUX d'HAUSSMANN] Plan d'ensemble des travaux de Paris.

Paris, E. Andriveau-Goujon, 1867. En 8 sections montées sur toile et pliées, formant un plan de 0,99 x 1,30 m.

Superbe plan monumental de Paris, figurant les travaux d'agrandissement du baron Haussmann depuis 1851, et l'un des premiers plans figurant le Paris moderne. Tous les travaux sont signalés à l'aquarelle rouge : en rouge uni, les voies ouvertes (avenue Daumesnil, boulevards Sébastopol, Magenta, Malesherbes, avenue de l'Empereur, future avenue du Trocadéro en 1871, boulevard et place Saint-Michel, créés en 1855, etc), en rouge hachuré, les voies modifiées (boulevards Saint-Jacques, de la Chapelle, de Grenelle, avenue du Roi de Rome, devenue avenue Kléber en 1879, etc), et par un double trait rouge, les voies projetées (boulevard Pereire, la portion du boulevard Arago entre la rue de la Santé et le boulevard de l'Hôpital, etc). Les monuments et bâtiments publics sont signalés en gris hachuré. Tout autour de la ville, on distingue très nettement l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Vallée, 94 ; Pinon & Le Boudec, pp. 110-111 (édition de 1868).

ANFRAY (Jean-François).

[GUINGAMP] Plan de la ville de Guingamp ancien comté, connu par ses toiles qui portent son nom, un des principaux lieux du duché de Penthièvre, à 7 lieues de Tréguier son évêché, 12 de Morlaix, 7 de S-Brieuc, 26 de Rennes.

Rennes, Ollivault, [circa 1770]. En 8 sections montées sur toile bordée de soie bleue et pliées, formant un plan de 371 x 475 mm.

Très rare et beau plan de la ville de Guingamp, dressé par Anfray, ingénieur des Ponts et Chaussées à Guingamp, dessiné par Ansquer et publié à Rennes par Ollivault. Il figure les aménagements et les projets ornementaux entrepris au XVIIIe siècle, lorsque les anciennes halles notamment furent détruites pour y aménager une nouvelle place de plan triangulaire appelée place Neuve sur le plan, actuelle place du Centre. Sur cette place figure la Pompe, devenue aujourd'hui Fontaine de la Plomée. Le cartouche de titre est orné des armoiries de la ville de Guingamp. Sous le plan figure la dédicace de l'éditeur Ollivault au Seigneur du Bourblanc, premier avocat général au Parlement de Bretagne, avec les armoiries du dédicataire. De chaque côté de la dédicace figure la liste des personnes inhumées au Couvent des Cordeliers de Guingamp entre 1283 et 1613. Mouillure claire et petites taches. Très rare.

[ANONYME].

Annonay et ses environs.

[vers 1870]. 27 x 41 cm, sur deux feuilles jointes de 40 x 55 cm.

Belle carte manuscrite de la ville et des environs d'Annonay, au confluent de la Cance et de la Déôme, en Ardèche. Y sont figurés le cours des deux rivières, le plan de la ville, les routes et chemins, les jardins et les champs. On y voit également le tracé de la ligne de chemin de fer du Rhône à Annonay, inaugurée en 1869, mais sans la prolongation de la ligne jusqu'à Firminy, ouverte en 1885. Dans un encart se trouve un petit plan de la ville en 1560, soit avant les destructions des guerres de religion. À gauche de la carte se trouvent une belle vue de la ville prise du pont de Tournon (sur la Cance), et deux profils des reliefs selon deux lignes tracées sur la carte. La carte est orientée, l'échelle est de 10 cm pour un km, le relief est marqué par courbes de niveau. Traces de pliures avec de petits frottements au niveau de la jonction des deux feuilles.

[ANONYME].

[ARIÈGE] Plan des maiteries de Génibat extrait du plan de la commune de Montoulieu.

[vers 1830]. En deux feuilles jointes de 52 x 118 cm.

Carte manuscrite, encre noire et aquarelle, de terres relevant d'une métairie située à Génibat, aujourd'hui Ginabat, hameau sur la commune de Montoulieu, à quelques km au sud de Foix, sur la rive gauche de l'Ariège, dans le département du même nom. Y sont figurés le cours de l'Ariège et de celui d'un petit affluent, le ruisseau de Montoulieu, les emplacements des maisons de Ginabat et d'une partie de Montoulieu, les chemins, et les parcelles de terrain numérotées. Réalisé d'après le cadastre, le plan englobe un territoire délimité par l'Ariège à l'est, le ruisseau de Montoulieu au sud-ouest, le chemin de Montoulieu à Foix à l'ouest, et la commune de Prayols au nord. Les parcelles relevant de la métairie sont aquarellées, et une légende à droite du plan en indique la superficie et le type de culture (pâture, pré, bois, labourable ou jardin) ; les quatre bâtiments de la métairie sont en un rouge un peu plus foncé que les autres bâtiments. Un beau dessin à la plume sous la légende représente deux hommes pêchant à la ligne. La carte est orientée. Rares piqûres et légères déchirures sans manque dans les marges. Le plan et roulé et la partie externe est empoussiérée.

ANONYME.

[AUBERVILLIERS] Commune d'Aubervilliers.

[1895]. 155 x 227 mm.

Plan de la commune d'Aubervilliers publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune d'Aubervilliers fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.

[ANONYME].

[AUVERGNE] Plan de la route de Thiers à Lion [?].

[début du XIXe siècle]. 34,5 x 49 cm.

Carte manuscrite, encre noire, encre rouge et lavis bleu, d'une portion de la route reliant Thiers à Lyon, au niveau de l'embranchement de la route vers Feurs, dans le Puy-de-Dôme. Y sont figurés le cours de la Durolle, la route et ses embranchements, le village de Chabreloche (orthographié Chaberloche), et les hameaux de Bras de Fer, Gouttebarge, La Trappe et L'Aubourdie, ainsi que, à l'encre rouge, les angles de levé de la carte. Titre inscrit au dos à l'encre. La carte est orientée, l'échelle est de 20 lignes pour 100 toises, le relief est figuré par des hachures. Traces de pliures, petites taches d'encre.

ANONYME.

[BAGNOLET] Commune de Bagnolet.

[1895]. 195 x 135 mm.

Plan de la commune de Bagnolet publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune de Bagnolet fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.

[ANONYME].

[BAGNÈRES-de-BIGORRE] Plan de Bagnères en Bigorre.

Paris, Lattré, 1789. 423 x 476 mm.

Très rare plan de la station thermale de Bagnères-de-Bigorre dans les Hautes-Pyrénées, publié par Lattré en 1789. Il est décoré d'un cartouche de titre orné des armoiries de la ville, et comprend 17 légendes et un tableau donnant les degrés de chaleur des sources minérales de la ville, observés en 1787 avec un thermomètre graduation de Réaumur. Les bains sont aquarellés en jaune. Le plan figure également les projets d'urbanisme : projet de percement d'une rue entre les Coustous et les Vignaux, projet de bâtiment pour les Bains de la reine, ou encore le projet d'une place dite "Boucheporn" à l'emplacement du casino actuel, qui n'a jamais vu le jour. Les édifices religieux (en vert) et les hospices, ainsi que les édifices publics, sont mentionnés : l'hôtel de ville, la salle de spectacle, les boucheries, la poste aux lettres, les halles, situées entre les rues du Poids du Beur et du Poids de la Laine, la tour de Maouhourat où sont situées les prisons, ou encore la place Saint-Martin où a été trouvée la Pierre Numini &ca qui est actuellement sur cette fontaine. Cette pierre dont il est fait mention est un autel païen datant du 1er siècle, dédié à la divinité de l'empereur romain Auguste, qui fonda la ville en 28 avant Jeìsus-Christ. Elle fut exhumée en 1641 et installée sur la fontaine publique située au niveau du Portail Dessus, ancienne porte de la ville. En 1867, l'autel fut transporté à l'établissement thermal, et orne aujourd'hui l'escalier des Grands Thermes (Explorations Pyrénéennes, Bulletin de la Société Ramond, Bagnères-de-Bigorre, Années 1924, 1925 et 1926, Les autels romains de Bagnères, 1924, pp. 45-47). Le cartouche de titre est orné des armoiries de la ville. L'échelle est de 100 toises de Paris contenant 108 cannes de Bagnères. Il existe une édition postérieure de ce plan, publiée chez Jean vers 1810. Cette édition semble être strictement identique à l'édition de 1789. Exemplaire restauré et doublé, uniformément bruni, brunissures plus prononcées par endroits, grande déchirure restaurée en haut à gauche, avec perte de quelques lettres de la légende. Vallée, Catalogue des planches gravées en tous genres, par les plus célèbres graveurs du XVe au XIXe siècle, composant le fonds de commerce d'éditeur d'estampes de Mme Veuve Auguste Jean, 1847, p. 66 (pour l'édition publiée chez Jean).

[ANONYME].

[BASSE-NAVARRE] Réduction à deux lignes pour cent toises de la carte des Aldudes par ordre de S.M.T.C. et de S.M.C. pour raprocher sous un seul point de vue l'étendue du pays en contestation entre les frontaliers de la Haute et de la Basse Navarre et pour servir à terminer tous différents au sujet dudit pays.

[vers 1770]. 53 x 54,4 cm.

Carte manuscrite, encre brune et aquarelle, d'une zone située à la frontière espagnole, appelée Montagnes des Aldudes ou du Quint, correspondant à la commune d'Aldudes et des territoires voisins, dans les Pyrénées-Atlantiques. Elle est délimitée au nord par le village de Baïgorry, aujourd'hui Saint-Étienne-de-Baïgorry, et le Château d'Echaux ou Etxauz, au sud par les villages de Roncevaux et de Burguete (Burguette en castillan, Auritz en basque), à l'ouest par le rocher d'Arguinzu, aujourd'hui Argintzu, et à l'est par les villages d'Arnéguy, de Luzaide et d'Undarola ou Ondarolle. Y sont figurés les rivières, les frontières entre la vallée d'Aldudes et la Haute-Navarre (en France) et la Basse-Navarre (en Espagne), ainsi que la vallée de Luzaide, et quelques villes ou villages. La vallée des Aldudes, qui est une voie de passage à travers les Pyrénées, de Bayonne à Pampelune, a fait partie du royaume de Navarre jusqu'au XVIe siècle, époque où le sud du royaume était rattaché à l'Espagne, et le nord, un royaume indépendant. En 1589, Henri III de Navarre devint roi de France sous le nom de Henri IV. Par la suite, les rois de France furent également rois de Navarre, mais la frontière entre la Navarre et l'Espagne fut contestée jusqu'au XIXe siècle. Plusieurs tentatives de conciliation eurent lieu entre les royaumes de France et d'Espagne, comme l'indique le titre complet de la carte : Réduction à deux lignes pour cent toises de la carte des Aldudes levée en 1769 par ordre de S.M.T.C. [Sa Majesté Très Chrétienne, soit le roi de France] et de S.M.C. [Sa Majesté Catholique, soit le roi d'Espagne] pour raprocher [sic] sous un seul point de vue l'étendue du pays en contestation entre les frontaliers de la Haute et de la Basse Navarre. L'une de ces tentatives eut lieu en 1770, entre le duc de Choiseul, secrétaire d'État à la Guerre de Louis XV, et le comte de Fuentes, ambassadeur d'Espagne. Elle donna lieu à l'établissement d'une carte dont notre exemplaire est une copie réduite. La carte est orientée (le nord est en bas), l'échelle est en toises, le relief est marqué par des ombres portées. Bel exemplaire, coloris très frais.

[ANONYME].

[BASSIN d'ARCACHON].

[circa 1890]. 405 x 439 mm.

Carte du Bassin d'Arcachon, imprimée en noir et rouge. Elle s'étend au nord jusqu'à Jeanne de Boy et Saint-Brice, au sud jusqu'aux bancs de Toulinguet (sud du Cap Ferret), et la forêt de Nézer, et à l'est jusqu'à Audenge. À l'intérieur du bassin figurent les chenaux, l'Île aux Oiseaux, les parcs à huîtres et les réservoirs à poissons. À gauche figure la presqu'île du Cap Ferret. Les noms d'Arcachon, des Abatilles, du Moulleau et de La Teste, ainsi que la dune du Pilat, orthographié Pyla, sont imprimés en rouge. Sur la presqu'île du Cap Ferret, on peut voir le domaine de la Villa Algérienne, construite en 1865 par Léon Lesca et détruite en 1966. Bon exemplaire. Brunissures légères.

[ANONYME].

[BASTIA] Plan de la ville et du château de Bastia (1738).

[XIXe siècle]. 49 x 69 cm.

Carte manuscrite, encre noire et aquarelle, de la ville côtière de Bastia, au nord-est de la Corse. Y sont figurés le littoral, le plan de la ville et de la citadelle, le port et les environs immédiats dont le fort La Croix, le couvent des Capucins et le couvent Saint-Joseph. Des numéros et lettres (35 au total) sur le plan renvoient à une légende dans la partie droite du plan. Ce plan est une copie du XIXe siècle d'un plan de 1738. La carte est orientée (avec le nord à droite), l'échelle est en toises. Trou comblé au niveau de la citadelle, déchirure sans manque sur quelques cm le long de la pliure centrale, petites taches et déchirures sans manque dans la partie basse, froissement dans la partie gauche.

[ANONYME].

[Belle-Île-en-Mer].

[Milieu du XVIIIe siècle]. 35 x 57,5 cm, sur une feuille de 37 x 60 cm.

Très belle carte manuscrite, encre noire et aquarelle, de Belle-Île-en-Mer, au large de Quiberon. Elle est divisée en trois parties, chacune avec un titre propre : - Plan de l'isle de Belle Isle, située sur la coste méridionale de Bretagne, par 47' 20'' de latt[itude] n[ord]. Jolie carte de l'île avec le tracé très fin des côtes, les ruisseaux, les villages et le nom de toutes les pointes. - Plan de la citadelle de Belle-Isle. Beau plan du port, de la ville et de la citadelle, avec le détail des fortifications et une légende. - Plan des Grands Sables. Plan de la grande plage sur la côte sud-est de l'île, au large de laquelle de gros vaisseaux peuvent mouiller. Le plan propose un projet de redoutes reliées par des courtines pour la protéger. La carte est orientée, l'échelle est en lieues de Bretagne. Très rare et précieux document manuscrit sur Belle-Île-en-Mer. Trace de pliure, petites déchirures et fente sans manque au milieu de la carte anciennement doublés, petites taches dans les marges, deux manques dans la partie haute et dans l'angle droit comblés et redessinés.

[ANONYME].

[BESANCON] Plan de Besançon.

Besançon, Ch. Marion, [vers 1880]. En 8 sections montées sur toile et pliées, formant un plan de 322 x 367 mm.

Plan de la ville de Besançon figurant les monuments antiques et modernes, dressé et lithographié d'après les plans de L. Rouzet, ingénieur-voyer de la ville. Trois éléments permettent de le dater vers 1880 : la synagogue, présente sur le plan, construite entre 1869 et 1871 ; en revanche la gare de la Mouillère, inaugurée en 1884, n'y figure pas, et la place de l'Abondance n'a pas encore été baptisée place de la Révolution, elle le sera en 1904. Avec liste des monuments antiques (signalés en rouge) et modernes. Bel exemplaire en coloris de l'époque.

[ANONYME].

Carte d'Auvergne.

[XVIIIe siècle]. 50,5 x 64 cm, sur une feuille de 53 x 66,5 cm.

Carte manuscrite, à l'encre noire, de l'Auvergne, délimitée en bas par Le-Puy-en-Velay, à gauche par le cours du Lot, et à droite par Vichy (de ce fait le nord sur la carte est à gauche). Y sont figurées les rivières, les montagnes et les principales villes ; les routes sont marquées en jaune ou en rouge, et les ponts par un double trait sur les rivières. L'échelle est en lieues. Traces de pliures, manque en bas à droite mais sans atteinte au texte, petits froissements dans les marges.

[ANONYME].

[Carte des environs de Paris].

[circa 1820]. En 40 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 0,77 x 1,25 m ; étiquette au dos de l'éditeur Simonneau.

Belle et grande carte très détaillée figurant Paris et ses environs, s'étendant du nord au sud entre Pontoise et Montlhéry, et d'ouest en est entre Rambouillet et Meaux. Les villes principales sont aquarellées en rose, avec au centre de la carte un plan de Paris aquarellé de même. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.

[ANONYME].

Carte générale du canton de Sagro, district de Bastia.

[début du XIXe siècle]. 46,6 x 68,4 cm, sur une feuille de 51 x 70,5 cm.

Jolie carte manuscrite, à l'encre de Chine, lavis d'encre de Chine et rehauts de rouge et de brun, du canton de Sagro (actuelle partie est du canton de Sagro-di-Santa-Giulia), au nord de Bastia, en Haute-Corse. Y sont figurés les cours d'eau, les routes et chemins, les bourgs et villages, et les limites du canton, des communes, et des trois vallées formant le canton (ces vallées sont nommées communautés sur la carte). Le canton de Sagro, créé en 1789, reprend les limites de l'ancien piève de Brando, lui-même constitué de trois communautés : Brando, Sisco, et Pietracorbara ; ce sont ces trois noms qui sont repris sur la carte, bien que le terme de communauté ne corresponde plus à une unité administrative au début du XIXe siècle. Le canton de Sagro reprit le nom de Brando en 1828, avant de fusionner, en 1973, avec le canton voisin de Santa-Giulia. La carte est orientée, l'échelle est en toises et en verges, le relief est marqué par des hachures. Anciennes pliures doublées, petites déchirures comblées sans manques en dehors des marges.

[ANONYME].

Carte pour la concorde de la géographie des provinces et des départements de la France.

[vers 1792-1793]. 48,5 x 61,5 cm, sur une feuille de 51,2 x 66,5 cm.

Belle et grande carte manuscrite, encres noire et rouge, lavis et aquarelle, figurant la France avec le tracé des départements superposé à celui des anciennes provinces. Le titre est inscrit dans un beau cartouche drapé. Les mers sont décorées de vaisseaux et de petites embarcations avec des personnages. Curieuse carte présentant l'état des départements vers 1792/1793, avec un département du Vaucluse, créé le 25 juin 1793, un département du Rhône-et-Loire, divisé en Rhône et en Loire le 12 août 1793, mais sans le département du Mont-Blanc, créé le 27 novembre 1792, après l'annexion du duché de Savoie. Très belle condition.

[ANONYME].

Champigni, Moulin Neuf, et terres de Gros Bois.

[fin du XVIIIe siècle]. En deux feuilles pouvant être jointes pour former une carte de 91 x 87,7 cm.

Carte manuscrite, encre noire et aquarelle, d'une partie du cours de la rivière le Beuvron, à quelques km au nord de Brinon-sur-Sauldre, dans le Cher. Y sont figurés le cours de la rivière, les chemins, les ruisseaux, les cultures, et les hameaux, fermes, ou moulins de Gros Bois, Clouteaux, Champigni, et les Guillaumes. Le titre est inscrit au dos. La carte est orientée, l'échelle est en perches. Taches d'encre bleu dans la partie supérieure de la première feuille, fente le long de la pliure centrale de la seconde, mouillures dans les marges avec petites atteintes au dessin.

[ANONYME].

[CHER/BERRY] [Carte des fouilles de La Tourate].

[vers 1860]. 39 x 54 cm.

Carte manuscrite, encre brune, encre rouge et rehauts de pastel, d'une partie nord-ouest du territoire de la commune de Dun-sur-Auron, dans le Cher. Y sont figurés le cours de l'Auron et le canal du Berry, qui sont plus ou moins parallèles, le ruisseau du Marais, les hameaux de Cors, La Touratte, La Doué et Sainte-Radegonde, les chemins et talus. Des lettres sur le plan renvoient à une légende en bas du plan, qui détaille les découvertes faites par MM. Duroisel (conducteur des Ponts-et-Chaussées) et de La Chaussée, lors de travaux suivis de fouilles, autour du hameau de La Touratte de 1848 à 1857, ayant révélé un aqueduc romain, un mur romain, des monnaies romaines et même un fragment de statue. En revanche la légende ne mentionne pas la Société archéologique fondée en 1864 à Dun-sur-Auron, pour effectuer des fouilles sur le site de La Touratte. Petits froissements et légères déchirures sans manque dans les marges, petites mouillures et piqûres dans la marge inférieure.

[ANONYME].

[DRÔME] Carte du baillage de Buis.

[fin du XVIIIe siècle]. 36 x 47,5 cm.

Belle carte manuscrite, encre brune et aquarelle, du bailliage de Buis-les-Baronnies, actuellement dans le sud du département de la Drôme. Y sont figurées les villes, les rivières et les limites du bailliage ; la ville de Buis est figurée par le dessin de sa citadelle. La carte est ornée d'un élégant cartouche de titre, surmonté de la liste alphabétique des lieux compris dans le bailliage, et d'un second titre : Parlement de Grenoble. Généralité de Grenoble. L'échelle est en lieues, le relief est marqué par de petites montagnes. Belle condition.

[ANONYME].

Dunkerque en Flandres.

[vers 1810]. 21 x 20 cm, sur une feuille de 24 x 23 cm.

Beau plan manuscrit, encre noire et aquarelle, de la ville de Dunkerque, dans le Nord. Y sont figurés le canal de jonction à la mer du Nord, les bassins du port, le plan de la ville et celui de la basse ville, le détail des fortifications les protégeant, les routes et les canaux. Devenue définitivement française en 1662, la ville de Dunkerque fut profondément modifiée et fortifiée par Vauban, qui en fit le plus grand port de guerre du royaume. Belle condition.

[ANONYME].

France comparative en provinces et en départemens. Pour l'intelligence de l'Histoire.

[circa 1790]. 372 x 411 mm.

Carte de la France montrant les provinces et les départements. Elle est ornée de 14 pavillons des principales puissances, comprenant celui des États-Unis. Ce drapeau, créé en 1777 et utilisé jusqu'en 1795, est le premier drapeau des États-Unis. Présentant les 13 étoiles en cercle sur canton bleu, il est connu sous le nom de drapeau Betsy Ross, du nom de l'Américaine qui l'aurait confectionné pendant la Guerre d'Indépendance. Les bordures de gauche et inférieure sont illustrées de vignettes montrant des monuments, armes et costumes des Gaulois. La Corse est représentée en carton en bas à droite. Bel exemplaire, replié. Les pavillons sont en coloris de l'époque.

[ANONYME].

France divisée en 86 départements.

[vers 1840]. 59 x 42,5 cm environ ; encadrement sous verre en pitchpin.

Carte manuscrite à l'encre noire, avec un titre en lettres gothiques ornées et un bel encadrement orné d'oiseaux, de draperies et de fleurs. La carte de France comprend 86 départements, correspondant à la géographie française après le traité de Vienne de 1815. Le mention de la Belgique et l'absence des départements de la Savoie, permettent de dater le dessin entre 1830 et 1860. Papier insolé.

[ANONYME].

[HAUTE-MARNE] [Ensemble de trois plans de Poinson-lès-Grancey].

[début du XIXe siècle]. 43 x 55 cm chacune.

Trois cartes manuscrites, encre noire et aquarelle, de parties de la commune de Poinson-lès-Grancey, en Haute-Marne, à la frontière avec la Côte-d'Or. Sur le premier plan sont figurés une grande partie du village de Poinson, avec l'ancien château, ses douves et son jardin, le nouveau château dit château du haut, l'église, le cours de l'Ource, les chemins, prairies et terre cultivées. Le second plan (qui est en double exemplaire), se place à l'ouest du premier, sans être jointif. Y sont figurés quelques maisons à l'extrémité du village, une prairie entourée d'une haie et traversée par un ruisseau, et nommée Enclos de la Praye Basse, et un bois nommé la Petite Garenne. Les plans sont orientés, l'échelle est en mètres. Quelques piqûres, marges des deux plans identiques froissées avec de petites déchirures et légers manques.

[ANONYME].

[HAUTE-MARNE] [Plan d'un canton contesté entre deux parties].

1783. 24 x 34 cm.

Carte manuscrite, encre brune et aquarelle, d'une terre à la limite des communes de Rochetaillée et de Voisines, à moins de 20 km à l'ouest de Langres, en Haute-Marne. Y sont figurés un chemin, les différentes parcelles de terrain avec leurs cultures (friche, champs, prairie...), et, au centre, une terre délimitée de rouge et nommée "canton ". D'après le texte d'explication accompagnant le plan, il ressort que celui-ci a été réalisé le 21 mai 1783, pour résoudre un litige au sujet de la propriété dudit canton, situé à la limite des finages de Rochetaillée et de Voisines. Après arpentage de la pièce et consultation des habitants, les rédacteurs estiment que "d'où dérive la conséquence nécessaire que le canton dont il s'agit n'est point un communal, et que les habitans dès lors ont le droit et qualité pour le réclamer". Le plan a été réalisé le 21 mai 1783. Notre exemplaire en est une copie, faite le 13 juin de la même année, comme indiqué dans la marge basse. La carte est orientée, l'échelle est de 6 pouces pour 90 perches, le relief est marqué par des hachures. Cachet légèrement effacé de la Généralité de Dijon. Traces de pliures, marge inférieure renforcée.

[ANONYME].

[HAUTES-ALPES] Carte des baillages de Briançon et d'Embrun.

[fin du XVIIIe siècle]. 37 x 45,5 cm.

Belle carte manuscrite, encre brune et aquarelle, des bailliages voisins de Briançon et d'Embrun, correspondant à peu près au sud-est du département des Hautes-Alpes. Y sont figurées les villes, les rivières et les limites du bailliage ; les deux villes principales sont figurées par le dessin de leur citadelle. À noter la représentation de ponts sur le Guil, en amont de Mont-Dauphin jusqu'à la frontière avec le bailliage de Briançon. Aucun autre pont n'est noté sur la carte. On remarque également la présence d'un double trait reliant les villages de Ceillac (orthographié Seillac) et de Molines[-en-Queyras], intitulé Passage du canon. La carte est ornée d'un élégant cartouche de titre. Sur la gauche se trouve un grand cartouche donnant la liste alphabétique des lieux compris dans les deux bailliages. Le relief est marqué par de petites montagnes. Belle condition.

[ANONYME].

[HAUTES-ALPES] Carte du baillage de Gap.

[fin du XVIIIe siècle]. 38 x 49 cm.

Belle carte manuscrite, encre brune et aquarelle, du bailliage de Gap, actuellement au centre du département des Hautes-Alpes. Y sont figurées les villes, les rivières avec trois lacs, et les limites du baillage. Les ville de Gap et de Sisteron (qui ne fait pas partie du bailliage) sont figurées par le dessin de leur citadelle. La carte est ornée d'un élégant cartouche de titre. Sur la gauche figure un grand cartouche donnant la liste alphabétique des lieux compris dans le bailliage. Le relief est marqué par de petites montagnes. Belle condition.

[ANONYME].

[ISÈRE] Carte du baillage présidial de Grenoble.

[fin du XVIIIe siècle]. 41 x 49 cm, plus une partie mobile de 7 x 20 cm repliée en haut de la carte.

Belle carte manuscrite, encre brune et aquarelle, du bailliage de Grenoble, correspondant plus ou moins au sud-est du département de l'Isère. Y sont figurées les villes, les rivières, quelques parties boisées et les limites du bailliage ; les trois villes principales de Grenoble, Voiron et Fort Barreaux, sont figurées par le dessin de leur citadelle. La carte est ornée d'un élégant cartouche de titre. Sur la droite figure un grand cartouche donnant la liste alphabétique des lieux compris dans le bailliage. Le relief est marqué par de petites montagnes. A la fin du XVIIIe siècle, le bailliage était une unité territoriale et juridique ; le terme présidial indique que le parlement du Dauphiné, dont relève le bailliage de Grenoble, siège à Grenoble. Belle condition.

[ANONYME].

[ISÈRE] Plan des possessions du fief d'Estape, paroisse du Versou, appartenant à M.r Rolland.

[XVIIIe siècle]. En 3 feuilles jointes de 58,5 x 96 cm.

Grande carte manuscrite, encre noire et aquarelle, des propriétés de M. Rolland, situées sur la commune du Versoud et au lieu-dit Pruney, à une dizaine de km au nord-est de Grenoble, en Isère. Y sont figurés les routes et chemins, dont la grande route de Grenoble en Savoie par Pontcharra, qui sépare le plan en deux parties. La partie basse (ou nord-ouest), porte, à l'encre noire, le parcellaire ; les terrains appartenant à M. Rolland sont marqués d'un chiffre en rouge ; pour les autres terrains, le nom du propriétaire est indiqué. Dans la partie haute, qui correspond à une zone de forte pente, les parcelles de terrain sont aquarellées et sont constituées de vergers et de bois, ainsi que d'un petit jardin entourant un château. Une légende sur la partie gauche détaille les noms et surfaces des parcelles. La carte est orientée, l'échelle est en toises. Bonne condition. Petit manque à une pliure.

[ANONYME].

[ISÈRE/RHÔNE] Carte du baillage de Vienne.

[fin du XVIIIe siècle]. 40 x 53 cm.

Belle carte manuscrite, encre brune et aquarelle, du bailliage de Vienne, couvrant un territoire aujourd'hui situé entre les départements du Rhône et de l'Isère. Y sont figurées les villes, les rivières, les parties boisées ainsi que la limite du bailliage. Les villes de Lyon (en dehors du bailliage), Vienne, Bourgoin (actuelle Bourgoin-Jallieu) et Pont-de-Beauvoisin, sont figurées par le dessin de leur citadelle. La carte est ornée d'un élégant cartouche de titre. Sur la gauche se trouve un grand cartouche donnant la liste alphabétique des lieux compris dans le bailliage. En haut de la carte se trouve un second titre : Parlement de Grenoble. Généralité de Grenoble. Le relief est marqué par de petites montagnes. Belle condition.

[ANONYME].

[Languedoc].

[vers 1700]. 64 x 57 cm, sur une peau de vélin de 78 x 65 cm environ.

Belle carte manuscrite, à l'encre brune et rehauts de couleur, du Languedoc. Les limites sont Le-Puy-en-Velay et Aurillac au nord, les Pyrénées et la Méditerranée au sud, Cahors à l'ouest et le Rhône à l'est. Y sont figurées les rivières avec les ponts, les villes et les montagnes. Les rivages de la Méditerranée et l'étang de Thau sont en bleu, et quelques ponts sont passés au rouge. Précieux document sur vélin. Traces de pliures, quelques froissements dans les marges, fente (dans la marge) anciennement recousue.

ANONYME.

[LE PRÉ-SAINT-GERVAIS] Commune du Pré St. Gervais.

[1895]. 151 x 108 mm.

Plan de la commune du Pré-Saint-Gervais publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune du Pré-Saint-Gervais fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.

ANONYME.

[LES LILAS] Commune des Lilas.

[1895]. 145 x 110 mm.

Plan de la commune des Lilas publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune des Lilas fut créée en 1867 par scission de Bagnolet, Pantin et Romainville, et fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.

[ANONYME].

Les Montaux et Doisne.

[fin du XVIIIe siècle]. 53,5 x 87 cm, sur une feuille de 62,5 x 95,5 cm.

Plan manuscrit, encre noire et aquarelle, d'un petit territoire situé au nord de Brinon-sur-Sauldre et de l'ancien canal de la Sauldre, dans le Cher. Y sont figurés les chemins, les cours d'eaux, les lacs, les hameaux de Doisne (orthographié Doüainne sur la carte, mais Doisne au verso), des Brosses et des Monteaux, ainsi que le type de végétation sur les parcelles. Le titre est inscrit au dos. La carte est orientée, l'échelle est en perches, le relief est marqué par des ombres portées. Mouillures dans la marge inférieure avec atteinte au papier, sans mordre de façon importante sur le dessin.

[ANONYME].

Le vieux Belleville.

[début du XXe siècle]. 76 x 125 cm, sur toile enduite.

Grand plan manuscrit, encre noire et de couleur, de la ville de Belleville au XVIIIe siècle, copié d'après le grand plan gravé de Roussel de 1731, intitulé Paris, ses fauxbourgs et ses environs. Il s'agit d'une copie fidèle, agrandie et mise en couleurs par rapport à l'original, et comprenant le plan de Belleville avec ses nombreux jardins, le plan de l'hôpital Saint-Louis à l'ouest et celui du parc et du château de Ménilmontant à l'est. Belleville est l'une des 11 communes dont le territoire fut entièrement annexé à Paris en 1859, lors de la création des 20 arrondissements. Traces de pliures et de frottements ; quelques tâches.

[ANONYME].

[LIMOUSIN] [Carte d'une partie du cours de la Vienne].

[vers 1700]. 28,5 x 39,6 cm.

Carte manuscrite à l'encre brune, d'une partie du cours de la Vienne, entre Limoges et Lussac-les-Châteaux, comprenant une partie des départements de la Vienne et de la Haute-Vienne, et délimitée par les villes de Lussac-les-Châteaux et Montmorillon au nord, L'Isle-Jourdain à l'ouest, et Limoges au sud-est (le nord est placé à droite de la carte). Y sont figurés les affluents de la rive gauche de la Vienne, le cours de la Gartempe et ses propres affluents, et les villes. L'écriture est difficile à déchiffrer. Traces de pliures. Carte dessinée par Jacques Fougeu, maréchal des logis d'Henri IV, circa 1590. La BnF en possède plusieurs.

[ANONYME].

Lionnois Forez.

[vers 1700]. 58 x 86 cm, sur 2 feuilles jointes.

Grande carte manuscrite à l'encre brune, d'une zone située sur la rive gauche de la Saône puis du Rhône (depuis La-Chapelle-de-Guinchay au nord jusqu'à Arras-sur-Rhône au sud), correspondant au bassin de la Loire de Monistrol-sur-Loire jusque vers Marcigny. Y sont figurées les villes et les rivières ; de petits arbres signalent les forêts. La carte n'est pas orientée mais le nord se trouve à gauche. Le relief est marqué par des hachures. Titre inscrit à l'encre au dos de la carte. Traces de pliures, petits trous sans manque à leurs jonctions, petites taches brunes.

[ANONYME].

[LOT-et-GARONNE] [Carte du canton de Casteljaloux].

[début du XIXe siècle]. 16 x 33,5 cm pour les plus grandes dimensions de cette carte au format irrégulier.

Carte manuscrite, encre brune et rehauts de rouge, du canton de Casteljaloux, en Lot-et-Garonne. Y sont figurés les communes et les très nombreux hameaux, les routes et chemins. Les limites du canton et celles des communes sont rehaussées de rouge. La carte montre les communes distinctes de Montcassin et de Leyrits qui ont fusionné en 1839. Le canton de Casteljaloux a été regroupé avec quatre autres cantons, et fait actuellement partie du canton des Forêts de Gascogne. Le quadrillage et les petits trous réalisés pour exécuter la carte sont toujours visibles. Le papier a été découpé suivant les contours de la carte. Tache brune dans la partie basse et tache d'encre rouge dans la marge droite.

[ANONYME].

Nouveau plan d'Orléans augmenté de ses faubourgs.

[vers 1810]. 20,5 x 27 cm, sur une feuille de 25 x 31 cm.

Plan manuscrit, encre noire et aquarelle, de la ville d'Orléans, préfecture du Loiret. Y sont figurés la Loire, le plan de la ville avec les églises, les hôtels particuliers et les jardins, le mur d'enceinte, le pont et les faubourgs. Copie manuscrite d'une gravure du même titre publiée à la fin du XVIIIe siècle à Orléans par Letourmy. Le copiste en a abrégé le titre et conservé le cartouche de légende même s'il ne l'a pas inscrite, y mettant l'échelle, en toises, à la place. Mention manuscrite dans la marge inférieure "1813, Ch.-H.-Pierre Prudent". Quelques piqûres, petit trou dans la marge supérieure.

ANONYME;

Nouveau plan géométral de la ville de Lyon.

1789 443 x 422 mm.

Rare plan gravé de la ville de Lyon dédié aux citoyens de la ville. Il figure les projets d'aménagement et d'agrandissement des deux architectes lyonnais Jean-Antoine Morand et Antoine-Michel Perrache, concernant notamment le faubourg de la Guillotière et le quartier de Perrache. Le cartouche de titre est orné de deux blasons. À gauche du plan, dans un encadré, figure une notice historique de la ville et une description de quelques édifices publics. Très bel exemplaire.

[ANONYME].

[OISE] Plan d'une partie du terroir de Tracy, vers Attichy.

1770. 42,5 x 59 cm.

Plan manuscrit, encre brune et lavis rose, de terrains situés sur la commune de Tracy-le-Mont, près d'Attichy, à quinze km au nord-est de Compiègne, dans l'Oise. Y sont figurés deux chemins, l'un reliant les fermes de Moranvale et de l'Ecafaut (orthographiée Escaffaut), et l'autre allant de la ferme de Moranval au lieu-dit Margosset, puis à Moulin-sous-Touvent), et les nombreuses parcelles de terres situées à proximité de ces deux chemins, avec le nom des terroirs limitrophes. À noter la présence d'une borne de la commanderie de Maupas. La carte est orientée par une rose des vents. Traces de pliures, froissements dans les marges et petite déchirure restaurée dans la marge inférieure le long d'une pliure. Quelques piqûres.

[ANONYME].

Orléanais.

[milieu du XIXe siècle]. 45,3 x 60,5 cm ; monté sur carton et sous passe-partout.

Carte manuscrite, encre noire et contours à l'encre rouge, de l'Orléanais, ancienne province française correspondant plus ou moins aux trois départements d'Eure-et-Loire, Loir-et-Cher et Loiret. Y sont figurés la Loire et la Seine avec leur affluents, les villes principales, les limites des trois départements cités, ainsi que ceux des départements limitrophes. Deux vignettes en bas de la carte montrent des vues, à l'aquarelle, du château de Chambord (depuis l'ouest) et de la ville de Gien avec son pont. La carte a été élégamment montée sous passe-partout. Mouillures dans la marge gauche, petite mouillure au bas de la vue de Chambord, frottements sur la vue de Gien.

ANONYME.

[PANTIN] Commune de Pantin.

[1895]. 225 x 179 mm.

Plan de la commune de Pantin publié en 1895. Elle faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce département fut supprimé en 1968. La commune de Pantin fut intégrée à la Seine-Saint-Denis en 1968. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.

[ANONYME].

Pareis vom Konig Navarro belegert, und entsatz durch den Princz von Parma. Anno domini 1590 19 Augusti.

1590?. 210 x 276 mm.

Très rare plan en élévation de Paris, probablement élaboré d'après le plan de Braun et Hogenberg, identifiable par la présence de l'enceinte de Philippe-Auguste sur la rive droite, et sur lequel a été porté le Pont Neuf achevé, représenté détaché de l'Île de la Cité. L'orientation du plan de Braun a toutefois été inversée, le nord étant désormais à droite, et la Seine coulant de bas en haut. Il ne comporte que trois indications topographiques : la Bastille, Graneille (Grenelle), et S. Anthonis (Saint-Antoine). Paris est représentée en 1590, alors qu'elle est assiégée par les troupes d'Henri IV, roi de France et de Navarre. La ville est alors entre les mains de la Ligue catholique commandée par le duc de Nemours, et sa population s'obstine à garder les portes closes au souverain protestant. Au nord de la ville se tiennent les troupes d'Henri IV. En bas à droite, arrivant par l'est, les troupes alliées de Nemours commandées par Alessandro Farnese, duc de Parme et gouverneur des Pays-Bas espagnols, protègent un long convoi de ravitaillement qui entre dans Paris par la porte Saint-Antoine. Ce plan fait partie d'un ensemble de gravures, publiées d'abord isolément, puis réunies ensuite en un recueil dénommé Hogenbergs Geschichtsblätter, publié à Cologne ou à Anvers dans les années 1600-1630. Très bon exemplaire. Petit manque dans la marge inférieure. Boutier, 23 ; Vallée, 2271.

[ANONYME].

[Partie de Brinon, Grandvau, les Réaux].

[fin du XVIIIe siècle]. 53,5 x 87 cm, sur une feuille de 63 x 94 cm.

Belle carte manuscrite, encre noire et aquarelle, d'une partie du cours de la Grande Sauldre, au sud de Brinon-sur Sauldre, dans le Cher. Y sont figurés les chemins, les cours d'eau, les lieux-dits de Grandveau, La Maranderie, Les Pointards, plusieurs fermes, un moulin et les parcelles cultivées. Titre manuscrit au dos ; le nom de Brinon se réfère à la localité la plus proche, Grandveau figure sur la carte, quant aux Réaux, il s'agit d'un hameau à l'ouest de Grandveau, en dehors de la carte. Cette carte se situe au sud de la précédente, mais est à une plus grande échelle. La carte est orientée, l'échelle est en perches. Bonne condition.

[ANONYME].

Plan de Béthune.

[milieu du XVIIIe siècle]. 51 x 76,5 cm, sur une feuille de 53,5 x 79 cm.

Très beau et grand plan, encre noire et aquarelle, de la ville et des environs immédiats de Béthune, dans le Pas-de-Calais. Y sont figurés le plan de la ville, le détail de ses fortifications, tous deux avec des renvois vers la légende à droite du plan. À l’extérieur des fortifications se trouvent le château et le parc d’Annezin (aujourd’hui disparus), les faubourgs de la Porte d’Arras, du Rivage, de la Porte Neuve, et de la porte de Saint-Prix, quelques moulins, plusieurs fermes et les redoutes des Grenouilles et du Pont-Barrois. La carte est orientée par une rose des vents, l'échelle est en toises, le relief est marqué par des hachures. Carte repliée. Mouillure dans la partie gauche du dessin, petites déchirures et manques dans les marges anciennement doublés.

[ANONYME].

Plan de Dieppe.

[vers 1810]. 26,5 x 33,5 cm, sur une feuille de 30,5 x 37,8 cm.

Plan manuscrit, encre noire et aquarelle, du port et de la ville de Dieppe, en Seine-Maritime, à l'embouchure du fleuve côtier l'Arques. Y sont figurés la Manche, les bras de l'Arques et les bassins du port, le détail de ses fortifications et le plan de la ville (mais pas ceux du château et des faubourgs de la Barre et du Pollet laissés en blanc). Piqûres dans la partie gauche.

[ANONYME].

[Plan de Dieppe et du cap d'Antifer].

[vers 1780]. 22 x 33,7 cm.

Carte manuscrite sur papier, encre et aquarelle, portant, sur trois parties, un plan de la ville de Dieppe avant le bombardement, un projet de port au cap d’Antifer, et plusieurs figures de profils côtiers et de digues pour en limiter l’ensablement. En 1694, lors de la Guerre de Neuf Ans, la ville de Dieppe fut bombardée par la flotte anglo-néerlandaise ; incendiée et presque entièrement détruite, elle sera progressivement reconstruite au début du XVIIIe siècle par l’architecte Ventabren selon les plans de Vauban. Notre plan peut trouver place dans le cadre des études de Jacques-Élie Lamblardie, ingénieur des ponts et chaussées à Dieppe, qui, dans son « Mémoire sur les côtes de la haute Normandie » présenté en 1782 à l’Académie des Sciences, préconisait de construire un nouveau port à Antifer pour remédier au problème de l’érosion des côtes. Très belle condition.

[ANONYME].

[Plan de Fort-Louis].

[milieu du XVIIIe siècle]. 28,5 x 43 cm sur une feuille de 33 x 47 cm.

Plan manuscrit, encre noire et aquarelle, du fort et de la ville de Fort-Louis, dans le Bas-Rhin, à une quinzaine de km à l'est de Haguenau. Y sont figurés les bras du Rhin avec ses bancs de sable, l'île sur laquelle Fort-Louis a été construite avec son fort carré, le plan de la ville et de ses jardins, ainsi que les fortifications les protégeant, le pont vers la rive gauche et le fort d'Alsace qui le garde, les chemins, jardins et zones cultivées. Fort-Louis est l'une des dix villes créées par Vauban. Sa construction fut décidée en 1686 pour surveiller le Rhin en aval de Strasbourg et protéger cette ville conquise en 1681. Elle fut construite sur une île du Rhin et pourvue de deux forts de protection sur chacune des deux rives du fleuve. À l'issue de la guerre de la ligue d'Augsbourg (1688-1697), le traité de Ryswick laissa l'Alsace à Louis XIV, mais ce dernier dut rendre ses conquêtes sur la rive droite du Rhin et démanteler le fort de Fort-Louis se trouvant sur cette rive. Ce qui explique que l'on ne voit qu'un seul fort, celui de la rive gauche, sur notre dessin. Le cartouche en bas à gauche a été laissé en blanc. Trace de pliure avec de petits froissements et brunissures près de cette dernière, petites déchirures sans manque au milieu du dessin et dans la marge inférieure.

[ANONYME].

Plan de la ferme de la Soupelière appartenant à M. le baron M.J.A. Pron.

[vers 1865]. En 18 sections montées sur toile et pliées, de 58 x 91 cm.

Plan manuscrit, encre noire et aquarelle, sur calque et monté sur papier, puis entoilé, de la ferme de la Soupelière, à mi-chemin entre Verneuil d'Avre et Rueil-la-Gadelière, dans l'Eure. Sur fond du plan cadastral (certifié conforme), a été ajouté le plan de la ferme et de son jardin. Les propriétés du baron Pron sont aquarellées, et les parcelles voisines portent le nom de leur propriétaire. Des numéros sur le plan se réfèrent à une légende indiquant les noms et surfaces des parcelles. Le propriétaire en est Marie-Joseph-Auguste Pron (1820-1903), juriste et préfet de plusieurs départements durant sa carrière, et propriétaire du château de Sainte-Radegonde, à Lanneray, à environ 50 km au sud de la ferme. En 1877, il prit le nom de Pron-Cugnot de Sainte-Radégonde, en ajoutant le nom de sa mère à celui de son père. Belle condition.