Référence :LBW-7791

Précis aux commissaires auxquels l'Assemblée Nationale a renvoyé l'examen de la demande faite par les représentans de la colonie, pour obtenir provisoirement la liberté de ce pocurer des farines, dont elle manque absolument.

GOUY d'ARSY (Louis-Marthe, marquis de).

Versailles, Baudouin, 1789. In-8 de 12 pp.; cartonnage de papier marbré marron, pièce de titre rouge (reliure moderne).

Député de Saint-Domingue, l'auteur publie ce petit opuscule pour préciser et appuyer une demande faite auprès de l'Assemblée Nationale. Il y pose quatre questions, et par ses réponses entend prouver que la colonie a un fort besoin de farine pour sa consommation, qu'elle n'a pratiquement plus de réserve, et que le plus simple et le plus rapide serait d'en importer depuis les ports américains. Il demande donc qu'un nouveau décret stipule que "l'ordonnance rendue le 27 mai dernier, par le sieur marquis du Chilleau, sera provisoirement rétablie". Bon exemplaire. Max Bissainthe, 7478. — Roquincourt, 1339. — Ryckebusch, 3604. — Inconnu de Sabin.

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